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Le Maroc a mis le cap sur le développement de l'offshoring, un secteur qui ne cesse de confirmer l'expansion de son activité à travers le monde développé, en réalisant un chiffre d'affaires en perpétuelle croissance, a indiqué le ministre du Commerce, de l'Industrie et de la Mise à niveau de l'économie, Salaheddine Mezouar.
Intervenant lors d'une conférence organisée, jeudi à Casablanca, par le Centre d'analyses socio-économiques de la Fondation ONA sur le thème "E-Marketing au service du développement économique du Maroc", le ministre a tenu à préciser que le choix de transformer le Maroc en plate-forme incontournable d'offshoring "n'est, en aucun cas, une simple initiative improvisée mais une stratégie visionnaire reposant sur une anticipation calculée à long terme".
Des chiffres anticipatifs à l'appui, ce secteur connaîtra un rythme d'évolution estimé à 30 % entre 2001 et 2008, soit un chiffre d'affaires en volume de 346 milliards de dollars, a estimé M. Mezouar, soulignant que de telles perspectives ne peuvent laisser le Royaume en position de neutre ou de spectateur devant un secteur offrant des opportunités marketing inestimables.
Le développement de cette activité se fait sur la base d'une cartographie ciblant trois villes noyaux à savoir Casablanca, Marrakech et Tanger, constituant ainsi des relais complémentaires dans le cadre de la réalisation des volets du Plan Emergence, a-t-il précisé. Pour l'aboutissement des objectifs fixés à ce chantier qui n'est en fait qu'un volet parmi d'autres programmés dans le cadre du Plan Emergence, plusieurs actions ont parallèlement été mises en œuvre dont on peut citer notamment les équipements d'infrastructures appropriées à la nature de ces industries (automobile, aéronautique, électronique..), l'instauration des pôles de formation adaptée et l'ajustement fiscal à l'instar des pays pionniers en industrie offshoring, a assuré M. Mezouar.
La décision gouvernementale de transformer le Maroc en un pôle d'industries et de services offshoring a trouvé, a-t-il ajouté, un écho favorable auprès des structures financières et des établissements de formation étrangers. Ce qui a encouragé son département d'entrer en négociation avec, entre autres, la Compagnie Axa, BNP-Paribas, CA, Renault et le Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), organismes français qui ont préalablement montré leur intérêt de contribuer à la concrétisation de ce programme industriel à haute valeur ajoutée et générateur d'emploi. Cette journée de réflexion sur le bilan cumulatif de l'utilisation de l'outil Internet en tant que vecteur d'attraction des investissements étrangers et de développement du tourisme au Maroc, a été marquée par la présentation de plusieurs exposés mettant en relief la place qu'occupe Internet dans le quotidien des Marocains.
Pour dégager une vision claire et réaliste sur l'adhésion du Maroc à la révolution des technologies émergentes, les participants ont pu suivre plusieurs présentations axées sur des thèmes qui mettent en relief le cadre juridique et le niveau d'utilisation d'Internet par les Marocains, notamment "L'aménagement du cadre favorable aux pratiques du web marketing" au Maroc, "L'usage de l'Internet comme outil stratégique de Marketing, le cas du Maroc", "L'utilisation de l'Internet pour l'attraction des investissements étrangers" et "Le développement du tourisme et sa promotion par le biais de l'Internet".
Intervenant lors d'une conférence organisée, jeudi à Casablanca, par le Centre d'analyses socio-économiques de la Fondation ONA sur le thème "E-Marketing au service du développement économique du Maroc", le ministre a tenu à préciser que le choix de transformer le Maroc en plate-forme incontournable d'offshoring "n'est, en aucun cas, une simple initiative improvisée mais une stratégie visionnaire reposant sur une anticipation calculée à long terme".
Des chiffres anticipatifs à l'appui, ce secteur connaîtra un rythme d'évolution estimé à 30 % entre 2001 et 2008, soit un chiffre d'affaires en volume de 346 milliards de dollars, a estimé M. Mezouar, soulignant que de telles perspectives ne peuvent laisser le Royaume en position de neutre ou de spectateur devant un secteur offrant des opportunités marketing inestimables.
Le développement de cette activité se fait sur la base d'une cartographie ciblant trois villes noyaux à savoir Casablanca, Marrakech et Tanger, constituant ainsi des relais complémentaires dans le cadre de la réalisation des volets du Plan Emergence, a-t-il précisé. Pour l'aboutissement des objectifs fixés à ce chantier qui n'est en fait qu'un volet parmi d'autres programmés dans le cadre du Plan Emergence, plusieurs actions ont parallèlement été mises en œuvre dont on peut citer notamment les équipements d'infrastructures appropriées à la nature de ces industries (automobile, aéronautique, électronique..), l'instauration des pôles de formation adaptée et l'ajustement fiscal à l'instar des pays pionniers en industrie offshoring, a assuré M. Mezouar.
La décision gouvernementale de transformer le Maroc en un pôle d'industries et de services offshoring a trouvé, a-t-il ajouté, un écho favorable auprès des structures financières et des établissements de formation étrangers. Ce qui a encouragé son département d'entrer en négociation avec, entre autres, la Compagnie Axa, BNP-Paribas, CA, Renault et le Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), organismes français qui ont préalablement montré leur intérêt de contribuer à la concrétisation de ce programme industriel à haute valeur ajoutée et générateur d'emploi. Cette journée de réflexion sur le bilan cumulatif de l'utilisation de l'outil Internet en tant que vecteur d'attraction des investissements étrangers et de développement du tourisme au Maroc, a été marquée par la présentation de plusieurs exposés mettant en relief la place qu'occupe Internet dans le quotidien des Marocains.
Pour dégager une vision claire et réaliste sur l'adhésion du Maroc à la révolution des technologies émergentes, les participants ont pu suivre plusieurs présentations axées sur des thèmes qui mettent en relief le cadre juridique et le niveau d'utilisation d'Internet par les Marocains, notamment "L'aménagement du cadre favorable aux pratiques du web marketing" au Maroc, "L'usage de l'Internet comme outil stratégique de Marketing, le cas du Maroc", "L'utilisation de l'Internet pour l'attraction des investissements étrangers" et "Le développement du tourisme et sa promotion par le biais de l'Internet".
