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La 6e édition des Assises internationales du tourisme, qui se tiendra les 31 mars et 1er avril à Tanger, intervient à un moment où la Vision 2010 a fait la moitié du chemin ; un effort qui a déjà commencé à donner ses fruits, comme en témoignent les statistiques sur le secteur du tourisme qui enregistre d'année en année des records jamais égalés.
A mi-parcours de cette stratégie ambitieuse qui, au début, s'apparentait à un rêve, mais un rêve légitime qui devient de plus en plus à portée de main, le Maroc a franchi le cap des 6 millions de touristes, qui ont généré des recettes record d'environ 41 milliards de dirhams, surclassant ainsi et pour la première fois les envois de fonds des Marocains résidant à l'étranger (MRE), pour devenir la première source de devises du Royaume.
Ces résultats record sont d'autant plus importants qu'ils interviennent dans une conjoncture internationale un peu difficile marquée essentiellement par la persistance des craintes liées au phénomène du terrorisme, la multiplication des crashs d'avions, la hausse des cours du pétrole et son impact sur le transport aérien, etc.
Cette tendance à la hausse a engendré une croissance encore plus importante au niveau des nuitées enregistrées dans les différents établissements hôteliers classés du Royaume. Ces dernières ont atteint en 2005 quelque 15 millions (+16 %), «une autre performance historique», selon les observateurs.
Les 10 millions de touristes, objectif principal de la Vision 2010, ne sont plus un rêve, mais un but tout à fait prenable. Cette réalité a été possible grâce à l'effort colossal fourni dans le cadre de la promotion du secteur depuis le lancement de la vision en 2001, lors des premières assises de Marrakech.
Depuis cette date, les réalisations dans le secteur se sont succédées, et à un rythme soutenu. Il s'agit notamment de l'ouverture du ciel marocain avec la signature de l'«open sky» avec l'Union européenne, l'aménagement de plusieurs stations balnéaires (plan Azur), la création de l'Observatoire du tourisme, le renforcement du budget de l'Office national marocain du tourisme (ONMT) et le lancement du Plan de développement régional du tourisme (Mada'In)...
Les sixièmes assises du tourisme interviennent donc dans le cadre de cette dynamique. Les professionnels, investisseurs et institutionnels, nationaux et internationaux, qui se retrouveront à partir de vendredi prochain à Tanger, se pencheront sur les moyens à même d'accélérer encore davantage le rythme des réalisations notamment en matière de ce qui reste à faire au niveau des axes : produit, transport aérien et promotion.
Au niveau de l'axe produit, les responsables marocains iront certainement jusqu'à déployer leurs talents de commerciaux pour l'accélération de la cession des terrains relatifs aux plans Azur et Mada'In. Il est à rappeler que quatre des six stations sont d'ores et déjà concédées à des aménageurs, alors que des terrains aménagés au niveau des stations de Saïdia et Mogador cherchent toujours acquéreur.
En plus des stations balnéaires, la stratégie «produit» de la Vision 2010 s'est également appuyée sur les projets d'aménagement des zones touristiques.
Il s'agit notamment de l'Aguedal à Marrakech et de Ghandouri à Tanger.
Le plan Azur vise à lui seul l'augmentation de la capacité d'accueil d'environ 80.000 lits dont 65.000 dans les destinations balnéaires et 15.000 dans les destinations culturelles.
Le rendez-vous de Tanger offrira donc l'occasion de faire le point sur les différentes réalisations accomplies, tout en mettant en exergue aussi bien les éléments de succès que les difficultés rencontrées et de dresser le bilan des engagements pris dans le cadre du développement de ce secteur vital pour l'économie nationale.
On ne manquera pas non plus d'aborder les défis du futur, notamment les mécanismes de financement des investissements et la stratégie de conquête des marchés émetteurs.
Des opportunités d'affaires seront donc présentées en cette circonstance, ce qui permettra de concrétiser des opérations de partenariats et la réalisation de projets d'investissement de grandes tailles.
Les différents acteurs du développement touristique, publics et privés, qui auront la possibilité de constater les avancées réalisées dans le secteur ainsi que les perspectives et les programmes à court et moyen termes, devront saisir l'occasion de cette manifestation internationale pour redonner du punch aux investissements touristiques.
A cet effet, les organisateurs de cette édition vont dédier, et pour la première fois, une demi-journée à la présentation des opportunités d'affaires concrètes pour offrir aux opérateurs des projets d'investissement à haut potentiel préparés par les autorités marocaines.
Depuis le discours fondateur, prononcé par S.M. le Roi Mohammed VI le 10 janvier 2001 à Marrakech, définissant la stratégie de développement du secteur du tourisme à l'horizon 2010, les Assises du tourisme deviennent le moyen le plus efficace de communication et de suivi des chantiers lancés par le gouvernement dont la stratégie globale s'assigne pour mission principale de faire du tourisme le vrai levier de l'économie, étant donné que cette industrie est considérée parmi celles qui évoluent d'année en année et créent continuellement de la richesse.
Après Marrakech en janvier 2001 et février 2002, Agadir en janvier 2003, Casablanca en février 2004 et Ouarzazate en janvier 2005, c'est au tour de la ville du détroit d'abriter la sixième édition de cette manifestation de concertation, de dialogue et de réflexion.
Toutes ces rencontres s'inscrivent dans le droit-fil des grandes orientations nationales en matière de tourisme et deviennent ainsi le moyen le plus efficace de communication et de suivi des chantiers lancés par le gouvernement.
A mi-parcours de cette stratégie ambitieuse qui, au début, s'apparentait à un rêve, mais un rêve légitime qui devient de plus en plus à portée de main, le Maroc a franchi le cap des 6 millions de touristes, qui ont généré des recettes record d'environ 41 milliards de dirhams, surclassant ainsi et pour la première fois les envois de fonds des Marocains résidant à l'étranger (MRE), pour devenir la première source de devises du Royaume.
Ces résultats record sont d'autant plus importants qu'ils interviennent dans une conjoncture internationale un peu difficile marquée essentiellement par la persistance des craintes liées au phénomène du terrorisme, la multiplication des crashs d'avions, la hausse des cours du pétrole et son impact sur le transport aérien, etc.
Cette tendance à la hausse a engendré une croissance encore plus importante au niveau des nuitées enregistrées dans les différents établissements hôteliers classés du Royaume. Ces dernières ont atteint en 2005 quelque 15 millions (+16 %), «une autre performance historique», selon les observateurs.
Les 10 millions de touristes, objectif principal de la Vision 2010, ne sont plus un rêve, mais un but tout à fait prenable. Cette réalité a été possible grâce à l'effort colossal fourni dans le cadre de la promotion du secteur depuis le lancement de la vision en 2001, lors des premières assises de Marrakech.
Depuis cette date, les réalisations dans le secteur se sont succédées, et à un rythme soutenu. Il s'agit notamment de l'ouverture du ciel marocain avec la signature de l'«open sky» avec l'Union européenne, l'aménagement de plusieurs stations balnéaires (plan Azur), la création de l'Observatoire du tourisme, le renforcement du budget de l'Office national marocain du tourisme (ONMT) et le lancement du Plan de développement régional du tourisme (Mada'In)...
Les sixièmes assises du tourisme interviennent donc dans le cadre de cette dynamique. Les professionnels, investisseurs et institutionnels, nationaux et internationaux, qui se retrouveront à partir de vendredi prochain à Tanger, se pencheront sur les moyens à même d'accélérer encore davantage le rythme des réalisations notamment en matière de ce qui reste à faire au niveau des axes : produit, transport aérien et promotion.
Au niveau de l'axe produit, les responsables marocains iront certainement jusqu'à déployer leurs talents de commerciaux pour l'accélération de la cession des terrains relatifs aux plans Azur et Mada'In. Il est à rappeler que quatre des six stations sont d'ores et déjà concédées à des aménageurs, alors que des terrains aménagés au niveau des stations de Saïdia et Mogador cherchent toujours acquéreur.
En plus des stations balnéaires, la stratégie «produit» de la Vision 2010 s'est également appuyée sur les projets d'aménagement des zones touristiques.
Il s'agit notamment de l'Aguedal à Marrakech et de Ghandouri à Tanger.
Le plan Azur vise à lui seul l'augmentation de la capacité d'accueil d'environ 80.000 lits dont 65.000 dans les destinations balnéaires et 15.000 dans les destinations culturelles.
Le rendez-vous de Tanger offrira donc l'occasion de faire le point sur les différentes réalisations accomplies, tout en mettant en exergue aussi bien les éléments de succès que les difficultés rencontrées et de dresser le bilan des engagements pris dans le cadre du développement de ce secteur vital pour l'économie nationale.
On ne manquera pas non plus d'aborder les défis du futur, notamment les mécanismes de financement des investissements et la stratégie de conquête des marchés émetteurs.
Des opportunités d'affaires seront donc présentées en cette circonstance, ce qui permettra de concrétiser des opérations de partenariats et la réalisation de projets d'investissement de grandes tailles.
Les différents acteurs du développement touristique, publics et privés, qui auront la possibilité de constater les avancées réalisées dans le secteur ainsi que les perspectives et les programmes à court et moyen termes, devront saisir l'occasion de cette manifestation internationale pour redonner du punch aux investissements touristiques.
A cet effet, les organisateurs de cette édition vont dédier, et pour la première fois, une demi-journée à la présentation des opportunités d'affaires concrètes pour offrir aux opérateurs des projets d'investissement à haut potentiel préparés par les autorités marocaines.
Depuis le discours fondateur, prononcé par S.M. le Roi Mohammed VI le 10 janvier 2001 à Marrakech, définissant la stratégie de développement du secteur du tourisme à l'horizon 2010, les Assises du tourisme deviennent le moyen le plus efficace de communication et de suivi des chantiers lancés par le gouvernement dont la stratégie globale s'assigne pour mission principale de faire du tourisme le vrai levier de l'économie, étant donné que cette industrie est considérée parmi celles qui évoluent d'année en année et créent continuellement de la richesse.
Après Marrakech en janvier 2001 et février 2002, Agadir en janvier 2003, Casablanca en février 2004 et Ouarzazate en janvier 2005, c'est au tour de la ville du détroit d'abriter la sixième édition de cette manifestation de concertation, de dialogue et de réflexion.
Toutes ces rencontres s'inscrivent dans le droit-fil des grandes orientations nationales en matière de tourisme et deviennent ainsi le moyen le plus efficace de communication et de suivi des chantiers lancés par le gouvernement.
