Connexion
Une assiette foncière de 6.577 ha a été mise à la disposition des opérateurs désirant investir dans la zone du Drâa, indique le Centre régional d'investissement (CRI) du Souss-Massa-Drâa.
L'opération d'ouverture de cette superficie à l'urbanisation, possible grâce notamment à l'homologation des documents d'urbanisme, vise surtout à inciter les investisseurs marocains et étrangers à opter pour cette région à fort potentiel naturel de développement.
Pour ce qui est de la ventilation de cette assiette foncière, l'immobilier caracole en tête avec 4.271 ha, suivi du secteur touristique avec 1.631 et enfin le domaine industriel avec uniquement 675 ha, indique la même source.
Durant la période allant de 2002 à 2004, près de 1.800 projets d'investissement ont vu le jour dans la zone de Drâa, permettant ainsi de drainer 2 millions 546 mille DH et générant par la même 14.029 postes d'emploi, dont 11.178 pour la seule ville d'Ouarzazate.
D'après la ventilation des investissements sur les deux provinces, Ouarzazate s'est emparée en effet, à elle seule, de 2 millions 431 mille DH, alors que la ville de Zagora n'a bénéficié que de 116 mille DH.
Ces chiffres sont expliqués en grande partie par la répartition des projets d'investissement en matière de secteur d'activité. Le secteur du bâtiment et travaux publics s'accapare à lui seul de 62% du total des projets réalisés ou en cours dans la zone du Drâa, suivi par le commerce et service avec 22% puis le tourisme avec 15%.
Si le commerce et services arrivent à dépasser leurs degré de présence en matière des projets en générant 31% des postes d'emploi, le tourisme, même avec 15% des projets, ne génère que 6% des postes d'emploi, chiffre qui ne reflète pas la réalité dans la mesure où le nombre de saisonniers et des temporaires dans ce secteur dépasse celui des confirmés, précise un professionnel de tourisme.
L'opération d'ouverture de cette superficie à l'urbanisation, possible grâce notamment à l'homologation des documents d'urbanisme, vise surtout à inciter les investisseurs marocains et étrangers à opter pour cette région à fort potentiel naturel de développement.
Pour ce qui est de la ventilation de cette assiette foncière, l'immobilier caracole en tête avec 4.271 ha, suivi du secteur touristique avec 1.631 et enfin le domaine industriel avec uniquement 675 ha, indique la même source.
Durant la période allant de 2002 à 2004, près de 1.800 projets d'investissement ont vu le jour dans la zone de Drâa, permettant ainsi de drainer 2 millions 546 mille DH et générant par la même 14.029 postes d'emploi, dont 11.178 pour la seule ville d'Ouarzazate.
D'après la ventilation des investissements sur les deux provinces, Ouarzazate s'est emparée en effet, à elle seule, de 2 millions 431 mille DH, alors que la ville de Zagora n'a bénéficié que de 116 mille DH.
Ces chiffres sont expliqués en grande partie par la répartition des projets d'investissement en matière de secteur d'activité. Le secteur du bâtiment et travaux publics s'accapare à lui seul de 62% du total des projets réalisés ou en cours dans la zone du Drâa, suivi par le commerce et service avec 22% puis le tourisme avec 15%.
Si le commerce et services arrivent à dépasser leurs degré de présence en matière des projets en générant 31% des postes d'emploi, le tourisme, même avec 15% des projets, ne génère que 6% des postes d'emploi, chiffre qui ne reflète pas la réalité dans la mesure où le nombre de saisonniers et des temporaires dans ce secteur dépasse celui des confirmés, précise un professionnel de tourisme.
