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Le TAS, club fanion de Hay Mohammadi, veut acquérir une notoriété plus grande encore. Admiré de tous les habitants d'un quartier qui n'avait d'yeux que pour lui, le club était constellé d'étoiles qui ont marqué, de leur empreinte, toute une époque. Khalifa, Bouassa, Meskini, Bouchaïb, Noumir, El Gouchi, Moulay Abdallah…étaient des stars à part entière. Mais la section football n'est plus ce qu'elle était.
Depuis le décès de l'inoubliable Larbi Zaouli, le TAS, livré à lui-même, est parti à la dérive. Il a échoué là où nul ne l'attendait : chez le championnat amateurs. Aujourd'hui, le TAS veut revenir au devant de la scène sportive nationale par la volonté d'un groupe de personnes qui vouent au Hay un amour tout particulier. Ils ont, d'abord, conféré à l'équipe la stature d'un club omnisports en y enfantant une autre section ; ils veulent ensuite permettre au TAS de ressusciter via une autre discipline, le Basket-ball !
Le projet de créer une section basket-ball germait depuis longtemps dans la tête d'un groupe de potentialités du Hay. Si le football est incapable de redorer le blason sérieusement terni du Hay Mohammadi, eh bien ce sera à une autre section de prendre la place du foot dans le cœur du public du quartier de Nas El Ghiwan.
Et Pourquoi pas le Basket ? Avec, donc, l'appui des autorités locales (Préfecture, Délégation Jeunesse et sport) et du corps élu en la personne du président de la Commune Hay Mohammadi, ce groupe de personnes a fait appel à tous ceux qui peuvent aider le TAS. Pour pouvoir mettre à exécution un plan ambitieux visant à promouvoir cette équipe, le comité a frappé à plusieurs portes, dont celle des Brasseries du Maroc.
Si, si ! Car le nom de la société n'évoque pas uniquement les boissons et liqueurs mais recèle également un volet des plus appréciés celui associatif, éducatif et sportif. La réponse ne pourra qu'être satisfaisante. C'est du moins ce que l'on souhaite au TAS !
Le comité a confié la constitution, la logistique, les affaires administratives, techniques recrutements et formation, à Mohamed Mouhtaj, ancien joueur international du Moghreb de Fès (MAS), de l'ASPTTR. Il fut le coéquipier de Salah Mezouar, ministre de l'Industrie et du Commerce, grand pivot tangérois dont les qualités physiques et techniques lui ont permis également de défendre les couleurs d'autres clubs dont le grand WAC. Il avait également joué aux côtés du premier Ballon africain de l'histoire du football du Maroc… Ahmed Faras.
«Ce fut un très bon joueur de basket-ball. Il était comme, en football, un dangereux gaucher. Mais le destin en a décidé autrement.» Car au lieu de faire de Ahmed Faras un excellent basketteur, il en a fait un excellent footballeur. Mohamed Mouhtaj est, donc, l'homme de la situation. Bonne nouvelle car le Hay n'est pas uniquement le bastion des arts ou du foot, mais ce sera celui de la balle au panier.
Depuis le décès de l'inoubliable Larbi Zaouli, le TAS, livré à lui-même, est parti à la dérive. Il a échoué là où nul ne l'attendait : chez le championnat amateurs. Aujourd'hui, le TAS veut revenir au devant de la scène sportive nationale par la volonté d'un groupe de personnes qui vouent au Hay un amour tout particulier. Ils ont, d'abord, conféré à l'équipe la stature d'un club omnisports en y enfantant une autre section ; ils veulent ensuite permettre au TAS de ressusciter via une autre discipline, le Basket-ball !
Le projet de créer une section basket-ball germait depuis longtemps dans la tête d'un groupe de potentialités du Hay. Si le football est incapable de redorer le blason sérieusement terni du Hay Mohammadi, eh bien ce sera à une autre section de prendre la place du foot dans le cœur du public du quartier de Nas El Ghiwan.
Et Pourquoi pas le Basket ? Avec, donc, l'appui des autorités locales (Préfecture, Délégation Jeunesse et sport) et du corps élu en la personne du président de la Commune Hay Mohammadi, ce groupe de personnes a fait appel à tous ceux qui peuvent aider le TAS. Pour pouvoir mettre à exécution un plan ambitieux visant à promouvoir cette équipe, le comité a frappé à plusieurs portes, dont celle des Brasseries du Maroc.
Si, si ! Car le nom de la société n'évoque pas uniquement les boissons et liqueurs mais recèle également un volet des plus appréciés celui associatif, éducatif et sportif. La réponse ne pourra qu'être satisfaisante. C'est du moins ce que l'on souhaite au TAS !
Le comité a confié la constitution, la logistique, les affaires administratives, techniques recrutements et formation, à Mohamed Mouhtaj, ancien joueur international du Moghreb de Fès (MAS), de l'ASPTTR. Il fut le coéquipier de Salah Mezouar, ministre de l'Industrie et du Commerce, grand pivot tangérois dont les qualités physiques et techniques lui ont permis également de défendre les couleurs d'autres clubs dont le grand WAC. Il avait également joué aux côtés du premier Ballon africain de l'histoire du football du Maroc… Ahmed Faras.
«Ce fut un très bon joueur de basket-ball. Il était comme, en football, un dangereux gaucher. Mais le destin en a décidé autrement.» Car au lieu de faire de Ahmed Faras un excellent basketteur, il en a fait un excellent footballeur. Mohamed Mouhtaj est, donc, l'homme de la situation. Bonne nouvelle car le Hay n'est pas uniquement le bastion des arts ou du foot, mais ce sera celui de la balle au panier.
