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La Bourse des valeurs de Casablanca a terminé la semaine passée sur des notes négatives. Vendredi dernier, en effet, le Masi a décroché 0,23 % à 11.500,07 points et le Madex s'est replié de 0,18 % à 9.400,27 points. Leurs gains cumulés depuis le début de l'année ont tourné autour de 21,32 % et 21,30 % respectivement. Atone, le marché central n'a engrangé qu'à peine 309,30 MDH, alors que, de son côté, la capitalisation boursière s'est chiffrée à près de 495,80 MMDH. Avec 841.061 titres traités à 133 DH l'unité, l'opérateur Maroc Telecom a brassé plus de 223,73 MDH.
Hormis Promopharm qui a généré, pour 14.538 actions négociées au cours de clôture de 970 DH, près de 27,70 MDH, les autres volumes échangés sont restés foncièrement pingres. C'est HPS qui a signé la plus forte hausse de la session en prenant 3,63 % à 1.684 DH. La financière Eqdom qui s'est appréciée de 3,53 % à 1.875 DH, a été suivie par l'assembleur Berliet qui a vu son titre gagner 3,17 % à 390 DH. Viennent ensuite Cosumar qui s'est adjugé une hausse de 3,09 % à 1.000 DH et Mediaco qui a pris 2,46 % à 625 DH.
En revanche, c'est le brasseur SBM qui a enregistré la plus forte baisse, l'action chutant de 5,98 % à 1.917 DH. Sofac Crédit a plongé de 5,90 % à 574 DH et Ciments du Maroc a abandonné 3,99 % à 2.722 DH. Le fonds d'investissement du groupe Accor Maroc, Risma, a lâché 1,84 % à 415,10 DH et Fénie Brossette s'est délesté de 1,43 % à 550 DH. Au total, donc, c'est presque le statu quo qui semble persister puisque, jeudi dernier, les deux baromètres de la place avaient terminé en nets replis.
Evoluant tout au long de la session en territoire négatif, l'indice de toutes les valeurs cotées avait lâché 0,60 % à 11.526,78 points, ramenant ses performances annuelles à 21,60 %. Quant au Madex, il avait cédé 0,64 % à 9.416,97 points, situant ses gains cumulés depuis le début de l'année à seulement 21,61 %. Dans des volumes assez modestes, le chiffre d'affaires réalisé par le compartiment central s'était chiffré à près de 576,20 MDH, alors que la capitalisation boursière avait atteint 497 MMDH.
Pour rappel, les 2.153.883 titres échangés tout au long de la semaine passée ont drainé au niveau du marché central un volume global de 2,198 MMDH, une période qui a été marquée par l'inertie du compartiment de blocs. Pour ce qui est des valeurs très actives, BMCE Bank, qui a représenté la troisième capitalisation trimestrielle, a généré 570 MDH et Maroc Telecom 372,27 MDH. Alors que le CIH a rapporté 324,14 MDH, les opérations effectuées sur Promopharm ont engrangé un chiffre d'affaires de 311 MDH. Addoha, ONA et Attijariwafa bank ont, pour leur part, drainé 234 MDH, 98,80 MDH et 51,53 MDH respectivement.
Pour ce qui est de l'actualité économique, à signaler l'importante rencontre initiée vendredi dernier par le Haut Commissariat au Plan (HCP) et qui a permis de débattre des enjeux et des perspectives du Maroc pour la période 2007-2015.
Selon Ahmed Lahlimi, Haut Commissaire au Plan, « les réformes entreprises par le Maroc, les grands chantiers et l'impulsion donnée à l'investissement ont contribué à l'amélioration du taux de croissance économique ». De 1998 à 2007, a-t-il indiqué, le PIB agricole a cru, en moyenne annuelle, de 1,8 %, alors que le PIB non agricole a progressé de 4,6 %, générant ainsi un PIB global de 4,1 %.
Pour lui, ces performances doivent cependant s'améliorer dans la durée, ce qui, au demeurant, implique que l'on maîtrise les intenables fluctuations du taux de croissance.
Hormis Promopharm qui a généré, pour 14.538 actions négociées au cours de clôture de 970 DH, près de 27,70 MDH, les autres volumes échangés sont restés foncièrement pingres. C'est HPS qui a signé la plus forte hausse de la session en prenant 3,63 % à 1.684 DH. La financière Eqdom qui s'est appréciée de 3,53 % à 1.875 DH, a été suivie par l'assembleur Berliet qui a vu son titre gagner 3,17 % à 390 DH. Viennent ensuite Cosumar qui s'est adjugé une hausse de 3,09 % à 1.000 DH et Mediaco qui a pris 2,46 % à 625 DH.
En revanche, c'est le brasseur SBM qui a enregistré la plus forte baisse, l'action chutant de 5,98 % à 1.917 DH. Sofac Crédit a plongé de 5,90 % à 574 DH et Ciments du Maroc a abandonné 3,99 % à 2.722 DH. Le fonds d'investissement du groupe Accor Maroc, Risma, a lâché 1,84 % à 415,10 DH et Fénie Brossette s'est délesté de 1,43 % à 550 DH. Au total, donc, c'est presque le statu quo qui semble persister puisque, jeudi dernier, les deux baromètres de la place avaient terminé en nets replis.
Evoluant tout au long de la session en territoire négatif, l'indice de toutes les valeurs cotées avait lâché 0,60 % à 11.526,78 points, ramenant ses performances annuelles à 21,60 %. Quant au Madex, il avait cédé 0,64 % à 9.416,97 points, situant ses gains cumulés depuis le début de l'année à seulement 21,61 %. Dans des volumes assez modestes, le chiffre d'affaires réalisé par le compartiment central s'était chiffré à près de 576,20 MDH, alors que la capitalisation boursière avait atteint 497 MMDH.
Pour rappel, les 2.153.883 titres échangés tout au long de la semaine passée ont drainé au niveau du marché central un volume global de 2,198 MMDH, une période qui a été marquée par l'inertie du compartiment de blocs. Pour ce qui est des valeurs très actives, BMCE Bank, qui a représenté la troisième capitalisation trimestrielle, a généré 570 MDH et Maroc Telecom 372,27 MDH. Alors que le CIH a rapporté 324,14 MDH, les opérations effectuées sur Promopharm ont engrangé un chiffre d'affaires de 311 MDH. Addoha, ONA et Attijariwafa bank ont, pour leur part, drainé 234 MDH, 98,80 MDH et 51,53 MDH respectivement.
Pour ce qui est de l'actualité économique, à signaler l'importante rencontre initiée vendredi dernier par le Haut Commissariat au Plan (HCP) et qui a permis de débattre des enjeux et des perspectives du Maroc pour la période 2007-2015.
Selon Ahmed Lahlimi, Haut Commissaire au Plan, « les réformes entreprises par le Maroc, les grands chantiers et l'impulsion donnée à l'investissement ont contribué à l'amélioration du taux de croissance économique ». De 1998 à 2007, a-t-il indiqué, le PIB agricole a cru, en moyenne annuelle, de 1,8 %, alors que le PIB non agricole a progressé de 4,6 %, générant ainsi un PIB global de 4,1 %.
Pour lui, ces performances doivent cependant s'améliorer dans la durée, ce qui, au demeurant, implique que l'on maîtrise les intenables fluctuations du taux de croissance.
