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Dans un marché marqué par d'importants échanges, les indices boursiers ont maintenu leurs performances annuelles bien au-dessus de la barre des 12 %. Hier mardi, le Masi qui a ouvert en hausse de 0,74 %, s'est apprécié de 0,05 % à 10.646,51 points, portant ainsi ses gains annuels à 12,31 %. Evoluant le plus clair de la session en territoire positif, le Madex a pris 0,10 % à 8.720,81 points, soit des performances annuelles avoisinant les 12,52 %. A la clôture de la séance, la capitalisation boursière est ressortie à plus de 465 MMDH et le flux transactionnel du premier marché a atteint plus de 1,23 MMDH. Plusieurs valeurs vedettes de la place ont fait l'objet d'échanges pour le moins remarqués.
Outre en effet les négociations se rapportant à Addoha (10.999 titres à 2.822 DH), à Maroc Telecom ( 360.688 titres à 134 DH) et au CIH ( 65.870 titres à 615 DH), les bancaires ont, elles aussi, été assez actives. 7.062 actions Attijariwafa bank au cours de clôture de 2.620 DH, 26.868 BMCE à 1.550 DH et 14. 456 BMCI à 1.242 DH ont transité par le premier compartiment. Au total, les opérations effectuées sur les bancaires ont rapporté, en fin de séance, plus de 310 MDH. A noter aussi que 16.245 ONA et 14.513 SNI ont été traitées à des cours de clôture de 1.639 DH et 1570 DH respectivement. Sur le front des performances, Distrosft a signé la plus forte hausse en s'adjugeant 4,94 % à 829 DH. Samir a pris 4,77 % à 1.010 DH et LGM a grimpé de 4,17 % à 500 DH. Wafa Assurance a gagné 3,72 % à 1.950 DH et Sonasid s'est appréciée de 2,81 % 3.002 DH.
Côté plus fortes baisses, Fertima a perdu 5,85 % à 354 DH et Unimer a cédé 5,73 % à 806 DH. Alors que Auto Hall a abandonné 5,10 % à 1.490 DH, Fenie Brossette a chuté de 4,76 % à 740 DH et IB Maroc.com a lâché 4,59 % à 209 DH.
Passant en revue l'évolution récente de l'activité boursière, les analystes d'Attijari Intermédiation indiquent que la prise de bénéfice de la semaine écoulée avait concerné l'ensemble du marché, et essentiellement les secteurs qui ont engrangé les plus fortes hausses depuis le début de l'année. Il s'agit notamment du secteur des assurances qui, après avoir réalisé la meilleure performance annuelle avec 47,2%, s'est effrité de 8,4 %, celui de l'énergie et mines, qui a baissé de 7,66 % et le secteur BTP qui a perdu 5,86 %.
Parallèlement, les secteurs des télécommunications et de l'agroalimentaire ont résisté au mouvement de correction cédant respectivement 0,46% et 0,50%. Pour Attijari Intermédiation, ce mouvement de correction a ramené le marché à des niveaux corrects permettant d'accueillir les résultats annuels sur des bases saines.
Une éventuelle révision à la hausse des prévisions des différentes valeurs suite à la publication de leurs résultats devraient permettre de replacer le mouvement boursier dans une trajectoire normale.
Sur un autre registre, les mêmes sources indiquent que le Maroc présente des signes de stabilité macro-économique avec une dette externe qui continue de diminuer (le ratio d'endettement public global est en recul à environ 80,2% du PIB à l'issue du premier semestre 2006). La relative solidité financière reconnue par les investisseurs étrangers contribue également à améliorer la notation risque pays. En effet, le Maroc se situe en catégorie A4 (Coface) et a été réévalué en catégorie 3 dans le classement de l'OCDE en octobre 2006. «Le Maroc est donc bien classé comparé aux autres pays de la région malgré le risque de défaut de la dette publique, considéré comme acceptable», souligne-t-on.
Outre en effet les négociations se rapportant à Addoha (10.999 titres à 2.822 DH), à Maroc Telecom ( 360.688 titres à 134 DH) et au CIH ( 65.870 titres à 615 DH), les bancaires ont, elles aussi, été assez actives. 7.062 actions Attijariwafa bank au cours de clôture de 2.620 DH, 26.868 BMCE à 1.550 DH et 14. 456 BMCI à 1.242 DH ont transité par le premier compartiment. Au total, les opérations effectuées sur les bancaires ont rapporté, en fin de séance, plus de 310 MDH. A noter aussi que 16.245 ONA et 14.513 SNI ont été traitées à des cours de clôture de 1.639 DH et 1570 DH respectivement. Sur le front des performances, Distrosft a signé la plus forte hausse en s'adjugeant 4,94 % à 829 DH. Samir a pris 4,77 % à 1.010 DH et LGM a grimpé de 4,17 % à 500 DH. Wafa Assurance a gagné 3,72 % à 1.950 DH et Sonasid s'est appréciée de 2,81 % 3.002 DH.
Côté plus fortes baisses, Fertima a perdu 5,85 % à 354 DH et Unimer a cédé 5,73 % à 806 DH. Alors que Auto Hall a abandonné 5,10 % à 1.490 DH, Fenie Brossette a chuté de 4,76 % à 740 DH et IB Maroc.com a lâché 4,59 % à 209 DH.
Passant en revue l'évolution récente de l'activité boursière, les analystes d'Attijari Intermédiation indiquent que la prise de bénéfice de la semaine écoulée avait concerné l'ensemble du marché, et essentiellement les secteurs qui ont engrangé les plus fortes hausses depuis le début de l'année. Il s'agit notamment du secteur des assurances qui, après avoir réalisé la meilleure performance annuelle avec 47,2%, s'est effrité de 8,4 %, celui de l'énergie et mines, qui a baissé de 7,66 % et le secteur BTP qui a perdu 5,86 %.
Parallèlement, les secteurs des télécommunications et de l'agroalimentaire ont résisté au mouvement de correction cédant respectivement 0,46% et 0,50%. Pour Attijari Intermédiation, ce mouvement de correction a ramené le marché à des niveaux corrects permettant d'accueillir les résultats annuels sur des bases saines.
Une éventuelle révision à la hausse des prévisions des différentes valeurs suite à la publication de leurs résultats devraient permettre de replacer le mouvement boursier dans une trajectoire normale.
Sur un autre registre, les mêmes sources indiquent que le Maroc présente des signes de stabilité macro-économique avec une dette externe qui continue de diminuer (le ratio d'endettement public global est en recul à environ 80,2% du PIB à l'issue du premier semestre 2006). La relative solidité financière reconnue par les investisseurs étrangers contribue également à améliorer la notation risque pays. En effet, le Maroc se situe en catégorie A4 (Coface) et a été réévalué en catégorie 3 dans le classement de l'OCDE en octobre 2006. «Le Maroc est donc bien classé comparé aux autres pays de la région malgré le risque de défaut de la dette publique, considéré comme acceptable», souligne-t-on.
