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Un ingénieur confirmé et un communicateur chevronné Parmi les nouveaux ministres, on ne pourrait ne pas s'attarder sur les profils de Saâd Hassar et Ahmed Akhchichine qui héritent de lourdes responsabilités. S. Hassar, devenue figure habituelle à l'Intérieur, y reste, mais en tant que secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur, poste également « réhabilité » après avoir disparu pour céder la place à celui de ministre délégué.
Diplômé de l'Ecole spéciale des travaux publics de Paris, il entame sa carrière professionnelle au ministère portant le même nom avant d'être appelé à d'autres missions début des années 1980. A l'ODEP, mais surtout au ministère de l'Intérieur où il officie en tant que directeur de la Formation professionnelle et de la Formation des cadres.
Par la suite, il rejoint le secrétariat particulier de feu Sa Majesté le Roi Hassan II et est chargé de mener à bon port nombre de projets dont celui de l'Université Al Akhawayn et Sala Al Jadida. Son expérience et sa connaissance du terrain l'habilitent à prendre la direction générale de l'Administration de la Conservation foncière, du Cadastre et de la Cartographie en 1998. Poste où il passera deux années avant de revenir au ministère de l'Intérieur en tant que wali directeur général des Collectivités locales (DGCL) pour succéder à Mohamed Ibrahimi en 2002, puis au poste de secrétaire général, en 2006. Travaillant sur plusieurs dossiers aux côtés de l'équipe de Chakib Benmoussa, S. Hassar fait partie des responsables qui ont veillé à une bonne préparation des élections législatives du 7 septembre 2007.
Ahmed Akhchichine, a un parcours tout à fait différent puisqu'il a fait l'essentiel de sa formation et de sa carrière en communication et en journalisme. Le nouveau ministre de l'Education 110nale, de l'Enseignement supérieur, de la Formation des cadres et de la Recherche scientifique, 53 ans, fait partie des premières promotions de l'Institut supérieur de journalisme (ISJ).
Il ira parfaire sa formation en France dans le même domaine pour revenir enseigner au même ISJ, devenu depuis ISIC (Institut supérieur de l'information et de la communication). Parallèlement à ses activités académiques, A. Akhchichine était consultant pour le compte de plusieurs grands organismes 111110naux, dont des onusiens. Ses fonctions l'avaient amené, entre autres, à s'établir en Mauritanie pendant de longues années.
Membre actif de la 116iété civile et notamment des droits de l'homme, il a été désigné directeur général de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA) en 2003, organisme créé pour accompagner la libéralisation des ondes marocaines.
Ahmed Akhchichine retrouve, au sein de l'équipe Abbas El Fassi, une vieille connaissance en la personne de Latifa Akherbach, secrétaire d'Etat auprès du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération. Le successeur de Habib Malki pourra compter sur les loyaux services et la coopération de Latifa Labida, secrétaire d'Etat à l'Enseignement scolaire et grande connaisseuse du département dont elle a été DRH, puis secrétaire générale.
Diplômé de l'Ecole spéciale des travaux publics de Paris, il entame sa carrière professionnelle au ministère portant le même nom avant d'être appelé à d'autres missions début des années 1980. A l'ODEP, mais surtout au ministère de l'Intérieur où il officie en tant que directeur de la Formation professionnelle et de la Formation des cadres.
Par la suite, il rejoint le secrétariat particulier de feu Sa Majesté le Roi Hassan II et est chargé de mener à bon port nombre de projets dont celui de l'Université Al Akhawayn et Sala Al Jadida. Son expérience et sa connaissance du terrain l'habilitent à prendre la direction générale de l'Administration de la Conservation foncière, du Cadastre et de la Cartographie en 1998. Poste où il passera deux années avant de revenir au ministère de l'Intérieur en tant que wali directeur général des Collectivités locales (DGCL) pour succéder à Mohamed Ibrahimi en 2002, puis au poste de secrétaire général, en 2006. Travaillant sur plusieurs dossiers aux côtés de l'équipe de Chakib Benmoussa, S. Hassar fait partie des responsables qui ont veillé à une bonne préparation des élections législatives du 7 septembre 2007.
Ahmed Akhchichine, a un parcours tout à fait différent puisqu'il a fait l'essentiel de sa formation et de sa carrière en communication et en journalisme. Le nouveau ministre de l'Education 110nale, de l'Enseignement supérieur, de la Formation des cadres et de la Recherche scientifique, 53 ans, fait partie des premières promotions de l'Institut supérieur de journalisme (ISJ).
Il ira parfaire sa formation en France dans le même domaine pour revenir enseigner au même ISJ, devenu depuis ISIC (Institut supérieur de l'information et de la communication). Parallèlement à ses activités académiques, A. Akhchichine était consultant pour le compte de plusieurs grands organismes 111110naux, dont des onusiens. Ses fonctions l'avaient amené, entre autres, à s'établir en Mauritanie pendant de longues années.
Membre actif de la 116iété civile et notamment des droits de l'homme, il a été désigné directeur général de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA) en 2003, organisme créé pour accompagner la libéralisation des ondes marocaines.
Ahmed Akhchichine retrouve, au sein de l'équipe Abbas El Fassi, une vieille connaissance en la personne de Latifa Akherbach, secrétaire d'Etat auprès du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération. Le successeur de Habib Malki pourra compter sur les loyaux services et la coopération de Latifa Labida, secrétaire d'Etat à l'Enseignement scolaire et grande connaisseuse du département dont elle a été DRH, puis secrétaire générale.
