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Le ministre de l'Agriculture, du Développement rural et des Pêches maritimes, Mohand Laenser, a indiqué mercredi que la production des trois principales céréales (blé tendre, blé dur et orge) devrait atteindre quelque 86 millions de quintaux (q) lors de l'actuelle campagne agricole.
Répondant à quatre questions à la Chambre des représentants, relatives aux mesures prises lors de la campagne agricole actuelle, M. Laenser a précisé que le taux de croissance, durant cette saison, est de 107 % par rapport à la campagne précédente et de 44,4 % comparativement aux cinq dernières saisons agricoles.
A propos de la commercialisation de la production de cette année, le ministre a rappelé que la commercialisation des céréales et des légumineuses n'est soumise à aucune restriction depuis 1996, ajoutant que les prix de ces produits changent selon la source de production, la qualité et les niveaux de l'offre et de la demande.
Dans ce cadre, il a fait savoir que la libéralisation concerne également l'exportation et l'importation de ces céréales, à l'exception du blé tendre.
M. Laenser a précisé, à cet égard, que le système utilisé au cours de cette année pour la commercialisation du blé tendre vise notamment la poursuite du processus de libéralisation du circuit des céréales et des légumineuses, l'appui et la valorisation de la production nationale et le respect de la transparence dans l'acquisition des quantités de blé tendre destinées à la production du blé subventionné.
Ce système, a-t-il poursuivi, est basé sur plusieurs éléments, dont l'adoption d'un prix de référence à la production, de l'ordre de 250 DH le quintal, le versement d'une prime bimensuelle de stockage de 2 DH par quintal, la prorogation de la période d'achat du blé tendre et l'amélioration de la production nationale de cette matière, précisant que la réalisation de ces objectifs requiert la conjugaison des efforts de l'ensemble des intervenants dans le secteur céréalier.
Au sujet des problèmes structurels auxquels se trouve confronté le secteur, M. Laenser a appelé à la mise en place de mécanismes adéquats pour le rééquilibrage de la carte agricole, notamment la diminution des superficies destinées aux céréales au profit des arbres fruitiers dans les zones montagneuses, l'amélioration du rendement de la culture céréalière dans les zones les mieux adaptées, indiquant que cet équilibre doit être réalisé dans le cadre du plan global de mise à niveau du secteur agricole.
Le ministre a souligné que le programme mis en place à cette fin s'appuie sur deux séries de mesures. La première, a-t-il dit, comprend des mesures de structuration, portant sur une meilleure valorisation des terres et des ressources humaines et hydrauliques alors que la seconde prévoit des mesures ayant trait à la mise à niveau progressive des circuits de production en concertation avec les professionnels.
Répondant à quatre questions à la Chambre des représentants, relatives aux mesures prises lors de la campagne agricole actuelle, M. Laenser a précisé que le taux de croissance, durant cette saison, est de 107 % par rapport à la campagne précédente et de 44,4 % comparativement aux cinq dernières saisons agricoles.
A propos de la commercialisation de la production de cette année, le ministre a rappelé que la commercialisation des céréales et des légumineuses n'est soumise à aucune restriction depuis 1996, ajoutant que les prix de ces produits changent selon la source de production, la qualité et les niveaux de l'offre et de la demande.
Dans ce cadre, il a fait savoir que la libéralisation concerne également l'exportation et l'importation de ces céréales, à l'exception du blé tendre.
M. Laenser a précisé, à cet égard, que le système utilisé au cours de cette année pour la commercialisation du blé tendre vise notamment la poursuite du processus de libéralisation du circuit des céréales et des légumineuses, l'appui et la valorisation de la production nationale et le respect de la transparence dans l'acquisition des quantités de blé tendre destinées à la production du blé subventionné.
Ce système, a-t-il poursuivi, est basé sur plusieurs éléments, dont l'adoption d'un prix de référence à la production, de l'ordre de 250 DH le quintal, le versement d'une prime bimensuelle de stockage de 2 DH par quintal, la prorogation de la période d'achat du blé tendre et l'amélioration de la production nationale de cette matière, précisant que la réalisation de ces objectifs requiert la conjugaison des efforts de l'ensemble des intervenants dans le secteur céréalier.
Au sujet des problèmes structurels auxquels se trouve confronté le secteur, M. Laenser a appelé à la mise en place de mécanismes adéquats pour le rééquilibrage de la carte agricole, notamment la diminution des superficies destinées aux céréales au profit des arbres fruitiers dans les zones montagneuses, l'amélioration du rendement de la culture céréalière dans les zones les mieux adaptées, indiquant que cet équilibre doit être réalisé dans le cadre du plan global de mise à niveau du secteur agricole.
Le ministre a souligné que le programme mis en place à cette fin s'appuie sur deux séries de mesures. La première, a-t-il dit, comprend des mesures de structuration, portant sur une meilleure valorisation des terres et des ressources humaines et hydrauliques alors que la seconde prévoit des mesures ayant trait à la mise à niveau progressive des circuits de production en concertation avec les professionnels.
