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Une délégation de l'Instance Equité et Réconciliation (IER) et du comité scientifique chargé de l'élaboration du rapport général "50 ans de développement humain et perspectives 2025", actuellement en visite en Egypte, a tenu samedi deux rencontres avec des représentants du syndicat des journalistes égyptiens et du centre Al-Ahram pour les études stratégiques.
Lors de ces rencontres, Chaouki Benyoub, membre du conseil consultatif des droits de l'Homme et ancien membre de l'IER, et Hassan Benadi, membre du comité scientifique chargé de l'élaboration du rapport sur le développement humain, ont exposé l'expérience de l'IER au Maroc, le contexte historique de sa création par S.M. le Roi Mohammed VI, l'action menée par cette Instance, ainsi que les recommandations du rapport final rendu public au terme des travaux de l'IER.
Ils ont également évoqué le processus de réforme politique et institutionnelle au Maroc depuis 1996 et jusqu'à la création de l'IER, en plus des objectifs de l'élaboration du rapport "50 ans de développement humain et perspectives 2025" et les significations de l'approche royale visant à mettre en liaison les deux documents.
Dans une déclaration à la MAP, le président de la commission des affaires arabes au syndicat des journalistes égyptiens, Jamal Fahmi, a indiqué que l'expérience marocaine dans le domaine des droits de l'homme est une expérience phare et un modèle devant être généralisé dans le monde arabe. Il a estimé que la volonté de faire l'adéquation entre droits politiques et démocratiques et droits économiques et sociaux est une démarche "très intéressante et riche en enseignements", souhaitant qu'elle ouvrira les perspectives de développement et de prospérité devant le peuple marocain.
M. Fahmi a mis en exergue le choix moderniste de S.M. le Roi Mohammed VI et son soutien total à l'initiative de réforme et de réconciliation au Maroc, de même qu'il a loué le travail réalisé par l'IER.
De son côté, Massoud El Hanawi, chef du département des questions arabes au centre Al-Ahram pour les études stratégiques et rédacteur en chef adjoint du journal Al-Ahram, a indiqué que le centre suit avec grand intérêt cette expérience unique dans les mondes arabe et musulman, en particulier, et dans les pays du tiers monde en général, ajoutant que cette expérience contient des éléments devant attirer l'attention des responsables et gouvernements dans toutes les régions du monde.
Après avoir qualifié de "courageuse" la décision royale de publier les deux rapports,
M. El Hanawi a noté que la particularité de cette expérience est le fait de démonter que le changement peut être une action endogène, sans attendre l'ingérence de l'extérieur, comme elle atteste la preuve de "la grande maturité de l'institution monarchique" au Maroc et son souci de mettre en oeuvre les réformes nécessaires, de prévenir les violations et de construire un avenir marqué par le respect et la préservation des droits.
La délégation marocaine avait tenu vendredi une rencontre similaire au siège de la revue "Assiyassa dawlia" (politique internationale), spécialisée dans les questions mondiales et stratégiques, avec Oussama Ghazali Harb, rédacteur en chef de la publication et membre du conseil d'administration, Yehya Al-Jammal, professeur du droit constitutionnel et ancien ministre, et Ahmed Faïq, président de l'Organisation arabe des droits de l'Homme.
Au cours de cette rencontre consacrée à la présentation de l'expérience de l'IER et des résultats de l'étude sur le développement humain, M. Benyoub a indiqué avoir évoqué le contexte historique de la transition démocratique au Maroc et des réformes politiques et institutionnelles, à la lumière de l'impact du débat national et du rôle de la classe politique et des intellectuels marocains dans cette évolution, en plus des interférences avec les événements aux niveaux régional et international.
Il a ajouté que l'expérience marocaine a suscité l'intérêt et la considération de la part de ses interlocuteurs en tant que la première du genre dans le monde arabe et musulman.
La délégation a par ailleurs eu une rencontre avec les membres de la communauté marocaine établie en Egypte, en présence de l'ambassadeur du Royaume au Caire, Mohamed Frej Doukkali, au cours de laquelle ont été présentées des explications sur les finalités de l'initiative royale de créer l'IER et de charger un comité d'experts marocains d'élaborer le rapport sur 50 ans de développement humain.
L'ambassadeur du Maroc a indiqué que les grands changements accomplis depuis l'intronisation du Souverain, particulièrement en matière des droits de l'Homme et de développement, sont hautement appréciés en Egypte, soulignant l'accueil favorable réservé à ces mutations par les médias, les organisations de défense des droits humains et la classe politique. `
La délégation devait achever dimanche ses contacts en Egypte par une rencontre au siège du Conseil national égyptien de la femme, avant de se rendre en Jordanie, puis à Bahreïn.
Lors de ces rencontres, Chaouki Benyoub, membre du conseil consultatif des droits de l'Homme et ancien membre de l'IER, et Hassan Benadi, membre du comité scientifique chargé de l'élaboration du rapport sur le développement humain, ont exposé l'expérience de l'IER au Maroc, le contexte historique de sa création par S.M. le Roi Mohammed VI, l'action menée par cette Instance, ainsi que les recommandations du rapport final rendu public au terme des travaux de l'IER.
Ils ont également évoqué le processus de réforme politique et institutionnelle au Maroc depuis 1996 et jusqu'à la création de l'IER, en plus des objectifs de l'élaboration du rapport "50 ans de développement humain et perspectives 2025" et les significations de l'approche royale visant à mettre en liaison les deux documents.
Dans une déclaration à la MAP, le président de la commission des affaires arabes au syndicat des journalistes égyptiens, Jamal Fahmi, a indiqué que l'expérience marocaine dans le domaine des droits de l'homme est une expérience phare et un modèle devant être généralisé dans le monde arabe. Il a estimé que la volonté de faire l'adéquation entre droits politiques et démocratiques et droits économiques et sociaux est une démarche "très intéressante et riche en enseignements", souhaitant qu'elle ouvrira les perspectives de développement et de prospérité devant le peuple marocain.
M. Fahmi a mis en exergue le choix moderniste de S.M. le Roi Mohammed VI et son soutien total à l'initiative de réforme et de réconciliation au Maroc, de même qu'il a loué le travail réalisé par l'IER.
De son côté, Massoud El Hanawi, chef du département des questions arabes au centre Al-Ahram pour les études stratégiques et rédacteur en chef adjoint du journal Al-Ahram, a indiqué que le centre suit avec grand intérêt cette expérience unique dans les mondes arabe et musulman, en particulier, et dans les pays du tiers monde en général, ajoutant que cette expérience contient des éléments devant attirer l'attention des responsables et gouvernements dans toutes les régions du monde.
Après avoir qualifié de "courageuse" la décision royale de publier les deux rapports,
M. El Hanawi a noté que la particularité de cette expérience est le fait de démonter que le changement peut être une action endogène, sans attendre l'ingérence de l'extérieur, comme elle atteste la preuve de "la grande maturité de l'institution monarchique" au Maroc et son souci de mettre en oeuvre les réformes nécessaires, de prévenir les violations et de construire un avenir marqué par le respect et la préservation des droits.
La délégation marocaine avait tenu vendredi une rencontre similaire au siège de la revue "Assiyassa dawlia" (politique internationale), spécialisée dans les questions mondiales et stratégiques, avec Oussama Ghazali Harb, rédacteur en chef de la publication et membre du conseil d'administration, Yehya Al-Jammal, professeur du droit constitutionnel et ancien ministre, et Ahmed Faïq, président de l'Organisation arabe des droits de l'Homme.
Au cours de cette rencontre consacrée à la présentation de l'expérience de l'IER et des résultats de l'étude sur le développement humain, M. Benyoub a indiqué avoir évoqué le contexte historique de la transition démocratique au Maroc et des réformes politiques et institutionnelles, à la lumière de l'impact du débat national et du rôle de la classe politique et des intellectuels marocains dans cette évolution, en plus des interférences avec les événements aux niveaux régional et international.
Il a ajouté que l'expérience marocaine a suscité l'intérêt et la considération de la part de ses interlocuteurs en tant que la première du genre dans le monde arabe et musulman.
La délégation a par ailleurs eu une rencontre avec les membres de la communauté marocaine établie en Egypte, en présence de l'ambassadeur du Royaume au Caire, Mohamed Frej Doukkali, au cours de laquelle ont été présentées des explications sur les finalités de l'initiative royale de créer l'IER et de charger un comité d'experts marocains d'élaborer le rapport sur 50 ans de développement humain.
L'ambassadeur du Maroc a indiqué que les grands changements accomplis depuis l'intronisation du Souverain, particulièrement en matière des droits de l'Homme et de développement, sont hautement appréciés en Egypte, soulignant l'accueil favorable réservé à ces mutations par les médias, les organisations de défense des droits humains et la classe politique. `
La délégation devait achever dimanche ses contacts en Egypte par une rencontre au siège du Conseil national égyptien de la femme, avant de se rendre en Jordanie, puis à Bahreïn.
