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Le leitmotiv de la Caisse de Dépôts et de Gestion (CDG) est désormais une «utilité collective» au lieu de «service public». Cet éclaircissement a été apporté par Mustapha Bakkoury, le directeur général de la Caisse, lors du "Le Matin Forum" du mardi 16 octobre dernier. S'il est vrai qu'une certaine confusion peut te111 les tâches et les missions de la Caisse, il n'en demeure pas moins qu'elle fait cohabiter plusieurs logiques. Sous l'ère Bakkoury, la CDG s'est fixée plusieurs défis à relever.
En premier lieu faire cesser cette confusion en 111ne, ensuite vis-à-vis des partenaires et pouvoirs publics. Et bien évidemment, il fallait procéder de la même manière vis-à-vis du grand public. Concrètement, une redéfinition du périmètre d'action de la Caisse a été opérée. A côté de ces principales rubriques, bien gérer l'épargne, en mettant à contribution l'expertise de l'organisme, reste la mission essentielle.
La CDG a participé à la création de nouveaux marchés ainsi qu'elle s'est retrouvée investisseur institutionnel présente dans presque tous les compartiments de gestion financière, comme les valeurs du Trésor, la Bourse, l'immobilier… Depuis sa création, le travail accompli est bien lisible sur les performances réalisées. La Caisse entreprend des activités pour accompagner le développement économique et 116ial du Royaume.
Et pour y arriver, son staff dirigeant a estimé nécessaire de réunir deux conditions. D'une part, le faire sur des choses que les décideurs peuvent maîtriser et, d'autre part, disposer d'assez d'argent et de moyens financiers conséquents. C'est d'ailleurs cette même approche qui a été à l'origine de toute la réorganisation des activités développées et contrôlées en propre et qui peuvent s'accommoder à des considérations liées au risque et à la rentabilité.
Toutefois, l'activité de la Caisse est soumise à la nouvelle loi bancaire qui a confié le contrôle de ses activités bancaires à Bank Al-Maghrib. «C'est une contrainte positive. Cela nous a demandé des efforts certes, mais, une fois fait, cela nous a vraiment facilité la vie. Il en découle un meilleur pilotage, une meilleure délégation», tient à préciser Mustapha Bakkoury, invité du Forum.
D'ailleurs, un certain nombre d'opérations de filialisations et financières ont été faites pour alimenter les fonds propres afin de se confirmer aux exigences des ratios.
En premier lieu faire cesser cette confusion en 111ne, ensuite vis-à-vis des partenaires et pouvoirs publics. Et bien évidemment, il fallait procéder de la même manière vis-à-vis du grand public. Concrètement, une redéfinition du périmètre d'action de la Caisse a été opérée. A côté de ces principales rubriques, bien gérer l'épargne, en mettant à contribution l'expertise de l'organisme, reste la mission essentielle.
La CDG a participé à la création de nouveaux marchés ainsi qu'elle s'est retrouvée investisseur institutionnel présente dans presque tous les compartiments de gestion financière, comme les valeurs du Trésor, la Bourse, l'immobilier… Depuis sa création, le travail accompli est bien lisible sur les performances réalisées. La Caisse entreprend des activités pour accompagner le développement économique et 116ial du Royaume.
Et pour y arriver, son staff dirigeant a estimé nécessaire de réunir deux conditions. D'une part, le faire sur des choses que les décideurs peuvent maîtriser et, d'autre part, disposer d'assez d'argent et de moyens financiers conséquents. C'est d'ailleurs cette même approche qui a été à l'origine de toute la réorganisation des activités développées et contrôlées en propre et qui peuvent s'accommoder à des considérations liées au risque et à la rentabilité.
Toutefois, l'activité de la Caisse est soumise à la nouvelle loi bancaire qui a confié le contrôle de ses activités bancaires à Bank Al-Maghrib. «C'est une contrainte positive. Cela nous a demandé des efforts certes, mais, une fois fait, cela nous a vraiment facilité la vie. Il en découle un meilleur pilotage, une meilleure délégation», tient à préciser Mustapha Bakkoury, invité du Forum.
D'ailleurs, un certain nombre d'opérations de filialisations et financières ont été faites pour alimenter les fonds propres afin de se confirmer aux exigences des ratios.
