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Une fois n'est pas coutume, le ministère de l'Economie et des Finances communique avec la presse sur les détails du projet de Loi de finances avant son adoption par le Parlement. Salah Eddine Mezouar a préféré éclaircir nombre de notions pour l'opinion publique via les médias. Le responsable gouvernemental a beaucoup insisté sur la haute importance de la définition des objectifs pour pouvoir faire évoluer l'économie 110nale. Parmi les buts tracés: faire de la ville de Casablanca un pôle financier 111110nal à l'horizon 2010.
"Nous avons besoin d'une orientation régionale pour pouvoir aller de l'avant", précise-t-il. Pour être compétitif, il s'avère nécessaire pour le Maroc de se positionner sur le marché 111110nal à travers l'encouragement des exportations. En effet, le ministre des Finances indique qu'au niveau des échanges externes, notre pays enregistre un déficit commercial important. Ainsi, le Maroc est devant un grand défi, celui de soutenir les secteurs destinés à l'export : "Les importations augmentent.
Il faut en parallèle être fort au niveau productif pour pouvoir garantir une place au niveau 111110nal". On ambitionne de promouvoir des secteurs prometteurs, tels que l'artisanat et l'industrie chimique. La tendance est vers l'amélioration de la compétitivité de l'économie, pour lui permettre de profiter des opportunités offertes par l'ouverture des marchés et de se prémunir contre les risques qu'elle comporte.
La politique d'ouverture sera consacrée à travers la conclusion de diverses conventions d'as116iation ou de libre-échange. L'économie marocaine se trouve, en effet, intégrée dans le processus de globalisation qui impose à l'ensemble des opérateurs 111110naux de procéder aux adaptations nécessaires, afin de pouvoir affronter la concurrence pour gagner des parts de marché et améliorer leu attractivité à l'égard des investisseurs et des capitaux étrangers.
Un autre point tenu en compte lors de l'élaboration de la Loi de finances : les investissements étrangers directs, grâce auxquels l'économie 110nale se porte bien.
Le Maroc en a besoin car, selon M. Mezouar, les potentialités de l'investissement 110nal s'avèrent insuffisantes pour atteindre le rythme de croissance escompté.
Les investissements étrangers permettent également de bénéficier de l'expérience au niveau des secteurs que le Maroc ne maîtrise pas encore.
Le ministre affiche son optimisme. Il estime que le projet de Loi de finances 2008 s'inscrit dans un cadre général prenant en considération les grandes orientations et les défis. Il s'agit entre autres de mettre à niveau l'économie 110nale, pour lui permettre de relever les enjeux de l'ouverture et de la compétitivité et de poursuivre l'action des réformes structurelles et sectorielles, afin de conférer à l'économie 110nale la force et la souplesse nécessaires.
En dépit de l'augmentation des prix des matières premières et du pétrole, on s'attend à une croissance de l'économie mondiale de 4,9%. "Malgré les différentes pressions, nous allons travailler dans un cadre économique mondial positif", explique le ministre, qui a tenu à rappeler les différentes priorités ainsi que les engagements chiffrés du texte de la Loi de finances 2008.
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Selon le ministère de l'Economie et des Finances, la nouvelle politique menée en matière de privatisation a été dominée par le souci d'assurer à ces opérations le maximum de transparence, de créer avec les acquéreurs des partenariats stratégiques dans les secteurs concernés et d'en tirer le meilleur parti possible sur le plan financier, en ne proposant à la privatisation que les unités dont la situation aura été assainie et les perspectives d'avenir viabilisées.
"Nous avons besoin d'une orientation régionale pour pouvoir aller de l'avant", précise-t-il. Pour être compétitif, il s'avère nécessaire pour le Maroc de se positionner sur le marché 111110nal à travers l'encouragement des exportations. En effet, le ministre des Finances indique qu'au niveau des échanges externes, notre pays enregistre un déficit commercial important. Ainsi, le Maroc est devant un grand défi, celui de soutenir les secteurs destinés à l'export : "Les importations augmentent.
Il faut en parallèle être fort au niveau productif pour pouvoir garantir une place au niveau 111110nal". On ambitionne de promouvoir des secteurs prometteurs, tels que l'artisanat et l'industrie chimique. La tendance est vers l'amélioration de la compétitivité de l'économie, pour lui permettre de profiter des opportunités offertes par l'ouverture des marchés et de se prémunir contre les risques qu'elle comporte.
La politique d'ouverture sera consacrée à travers la conclusion de diverses conventions d'as116iation ou de libre-échange. L'économie marocaine se trouve, en effet, intégrée dans le processus de globalisation qui impose à l'ensemble des opérateurs 111110naux de procéder aux adaptations nécessaires, afin de pouvoir affronter la concurrence pour gagner des parts de marché et améliorer leu attractivité à l'égard des investisseurs et des capitaux étrangers.
Un autre point tenu en compte lors de l'élaboration de la Loi de finances : les investissements étrangers directs, grâce auxquels l'économie 110nale se porte bien.
Le Maroc en a besoin car, selon M. Mezouar, les potentialités de l'investissement 110nal s'avèrent insuffisantes pour atteindre le rythme de croissance escompté.
Les investissements étrangers permettent également de bénéficier de l'expérience au niveau des secteurs que le Maroc ne maîtrise pas encore.
Le ministre affiche son optimisme. Il estime que le projet de Loi de finances 2008 s'inscrit dans un cadre général prenant en considération les grandes orientations et les défis. Il s'agit entre autres de mettre à niveau l'économie 110nale, pour lui permettre de relever les enjeux de l'ouverture et de la compétitivité et de poursuivre l'action des réformes structurelles et sectorielles, afin de conférer à l'économie 110nale la force et la souplesse nécessaires.
En dépit de l'augmentation des prix des matières premières et du pétrole, on s'attend à une croissance de l'économie mondiale de 4,9%. "Malgré les différentes pressions, nous allons travailler dans un cadre économique mondial positif", explique le ministre, qui a tenu à rappeler les différentes priorités ainsi que les engagements chiffrés du texte de la Loi de finances 2008.
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Privatisation
Les prévisions des opérations de privatisation pour l'année 2008 se chiffrent à 3 MMDH, contre 4,5 MMDH en 2007.Selon le ministère de l'Economie et des Finances, la nouvelle politique menée en matière de privatisation a été dominée par le souci d'assurer à ces opérations le maximum de transparence, de créer avec les acquéreurs des partenariats stratégiques dans les secteurs concernés et d'en tirer le meilleur parti possible sur le plan financier, en ne proposant à la privatisation que les unités dont la situation aura été assainie et les perspectives d'avenir viabilisées.
