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• Bruits, rumeurs, intox meublent les conversations après l'élimination des Lions de l'Atlas, au 1er tour de la Coupe d'Afrique des Nations et il est difficile de s'y retrouver dans la tourmente actuelle du football marocain, malade des dirigeants qui l'ont conduit à ce désastre.
D'aucuns sont allés jusqu'à demander aux membres fédéraux de présenter des excuses au … peuple ! …
• Bouc émissaire idéal en pareille circonstance, M'hamed Fakhir a été taillé en toutes pièces. Comme s'il était le seul responsable de la gestion pitoyable de la sélection nationale. Avec 3 entraîneurs en 6 mois, fatalement, il y aurait des “dégâts” et on n'a pas encore évalué leur ampleur que d'aucuns parlent déjà d'un coach étranger. Pour quelles échéances avant 2007 ?
• La vie du footballeur légendaire Puskas immortalisé à l'écran. Un producteur hongrois a annoncé récemment le prochain tournage d'un film relatant la vie du légendaire footballeur hongrois Ferenc Puskas, qui doit fêter ses 80 ans l'an prochain.
Le film, dont le réalisateur n'a pas encore été désigné, s'appuiera sur une biographie de Puskas parue en 2005, «Magical Magyar», a-t-il précisé. Sous les couleurs du Real Madrid de 1958 à 1967, le Hongrois a été couronné quatre fois meilleur buteur du championnat d'Espagne et a remporté trois Coupes des clubs champions. Souffrant aujourd'hui de la maladie d'Alzheimer, Pustas a été désigné «héros sportif de la nation» et perçoit à ce titre une pension de 2.000 euros mensuels de l'Etat hongrois.
• Selon beaucoup de spécialistes, hormis le dernier match face à la Libye, les Lions de l'Atlas ont bien joué, ou, plutôt se sont convenablement défendus et il ne leur a manqué qu'un brin de chance. Soit tout le contraire de l'édition précédente en Tunisie où tout leur avait souri. C'est dire si la carrière d'un coach ne tient pas à grand-chose …
• Une chose est désormais certaine dans l'histoire de la sélection marocaine, il y a une malédiction qui frappe tous les techniciens locaux qui ont eu, un jour, à s'en occuper. Tous finissent par connaître une fin dramatique avec une image de marque détruite. Louzani, Blinda, Zaki et maintenant Fakhir (sans parler des Naciri, Madih, El Khidder) ont cruellement payé le prix pour être ravalés plus bas que terre. Quelle ingratitude !
• Personne n'est encore arrivé à placer le mystère de l'affaire du match UTS – IZK avec la fermeture du terrain du Barid, propriété de Maroc-Telecom, sponsor et parrain de la FRMF.
Qui a donné l'ordre, sinon les instructions, pour empêcher le déroulement de cette rencontre ? L'histoire du gazon à préserver et donc à protéger en raison des aléas climatiques ne résiste à aucune analyse sérieuse tant la tension entre Maroc-Telecom et la FRMF est vive. L'assignation en justice de Méditel par cette dernière calmera-t-elle les esprits et ramènera-t-elle chacun à la raison ? Souhaitons-le.
• Ça grogne du côté du Raja et plus exactement au complexe Tessema puisque l'Association des parents de l'école est présidée par quelqu'un qui n'a pas d'enfant dans cette structure (son fils est minime). Et malgré toutes les protestations des parents avec envois de lettres, leurs doléances sont restées vaines. On se demande à quoi servent les Settatis P'tit Omar, Sellami et autres, nous rapporte un intéressé.
D'aucuns sont allés jusqu'à demander aux membres fédéraux de présenter des excuses au … peuple ! …
• Bouc émissaire idéal en pareille circonstance, M'hamed Fakhir a été taillé en toutes pièces. Comme s'il était le seul responsable de la gestion pitoyable de la sélection nationale. Avec 3 entraîneurs en 6 mois, fatalement, il y aurait des “dégâts” et on n'a pas encore évalué leur ampleur que d'aucuns parlent déjà d'un coach étranger. Pour quelles échéances avant 2007 ?
• La vie du footballeur légendaire Puskas immortalisé à l'écran. Un producteur hongrois a annoncé récemment le prochain tournage d'un film relatant la vie du légendaire footballeur hongrois Ferenc Puskas, qui doit fêter ses 80 ans l'an prochain.
Le film, dont le réalisateur n'a pas encore été désigné, s'appuiera sur une biographie de Puskas parue en 2005, «Magical Magyar», a-t-il précisé. Sous les couleurs du Real Madrid de 1958 à 1967, le Hongrois a été couronné quatre fois meilleur buteur du championnat d'Espagne et a remporté trois Coupes des clubs champions. Souffrant aujourd'hui de la maladie d'Alzheimer, Pustas a été désigné «héros sportif de la nation» et perçoit à ce titre une pension de 2.000 euros mensuels de l'Etat hongrois.
• Selon beaucoup de spécialistes, hormis le dernier match face à la Libye, les Lions de l'Atlas ont bien joué, ou, plutôt se sont convenablement défendus et il ne leur a manqué qu'un brin de chance. Soit tout le contraire de l'édition précédente en Tunisie où tout leur avait souri. C'est dire si la carrière d'un coach ne tient pas à grand-chose …
• Une chose est désormais certaine dans l'histoire de la sélection marocaine, il y a une malédiction qui frappe tous les techniciens locaux qui ont eu, un jour, à s'en occuper. Tous finissent par connaître une fin dramatique avec une image de marque détruite. Louzani, Blinda, Zaki et maintenant Fakhir (sans parler des Naciri, Madih, El Khidder) ont cruellement payé le prix pour être ravalés plus bas que terre. Quelle ingratitude !
• Personne n'est encore arrivé à placer le mystère de l'affaire du match UTS – IZK avec la fermeture du terrain du Barid, propriété de Maroc-Telecom, sponsor et parrain de la FRMF.
Qui a donné l'ordre, sinon les instructions, pour empêcher le déroulement de cette rencontre ? L'histoire du gazon à préserver et donc à protéger en raison des aléas climatiques ne résiste à aucune analyse sérieuse tant la tension entre Maroc-Telecom et la FRMF est vive. L'assignation en justice de Méditel par cette dernière calmera-t-elle les esprits et ramènera-t-elle chacun à la raison ? Souhaitons-le.
• Ça grogne du côté du Raja et plus exactement au complexe Tessema puisque l'Association des parents de l'école est présidée par quelqu'un qui n'a pas d'enfant dans cette structure (son fils est minime). Et malgré toutes les protestations des parents avec envois de lettres, leurs doléances sont restées vaines. On se demande à quoi servent les Settatis P'tit Omar, Sellami et autres, nous rapporte un intéressé.
