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La question de la révision globale du contrat de gestion déléguée conclu avec la 116iété «Lydec» n'a toujours pas pris fin. Amorcées depuis 2006, les discussions occupent toujours le principal du planning de la Lyonnaise des eaux de Casablanca. De telle sorte qu'une certaine déconcentration sur le cœur du métier est plus ou moins constatée. Les chiffres en jugent d'eux-mêmes.
L'activité en 2007 est en stag110n et plusieurs indicateurs sont en recul. Le management de «Lydec» 111rogé sur ce caractère de malaise a répondu qu'il est en effet dû à certaines difficultés techniques et que rien de ce ralentissement «n'est en relation avec l'autorité délégante». «Le processus de révision du contrat absorbe les efforts et la concentration du management qui est mobilisée 24h/24 avec les commissions de suivi des contrats de gestion déléguée…», a déclaré Alain Perret, directeur général adjoint de «Lydec».
À titre d'un premier bilan des réunions régulières qui se tiennent avec l'autorité délégante sur différents thèmes (les dispositions juridiques, les programmes d'investissement et les aspects économiques et tarifaires), il a été arrêté à cette date un programme d'investissement pour les 20 prochaines années d'un montant de
15 MMDH. Les travaux d'épuration des eaux usées ne seront pas inclus dans le nouveau contrat de délégation, tandis que la question de l'intégration de l'éclairage public fait toujours objet de discussions.
Toutefois, ces dernières sont toujours en cours sur l'analyse de l'équilibre économique global du contrat dans le cas d'une durée de 30 ans de ce dernier. Une brève lecture des indicateurs financiers laisse noter une évolution négative du résultat net qui a, en fait, reculé de 18,1% à fin juin 2007 et par rapport à la même période de 2006. Il passe de 92 MDH en 2006 à 75MDH en 2007.
Le résultat d'exploitation a également fléchi de 18,9%. Les charges sont passées de 542 MDH durant le 1er semestre de 2006 à 623 MDH au 1er semestre 2007. Le senior management de «Lydec» revêt ces résultats en rouge aux charges de personnel supportées durant cette période. Il s'agit, en effet, du changement de traitement comptable des gratuités (14MDH) et de l'intégration du personnel de «Lydec» après la cessation d'activités de cette dernière.
De nouveaux cadres à potentiel ont été intégrés pour accompagner l'extension du réseau et les projets entrant dans le cadre de l'INDH. D'autres charges d'exploitation ont aggravé le résultat d'exploitation et in fine le résultat net.
Il est question de la provision de 13 MDH constatée pour le traitement du dossier du personnel en régie et de la provision de 10 MDH d'une redevance pour le service permanent de contrôle. En fin de compte, «Lydec» estime que les discussions sur la révision du contrat vont prendre fin au maximum le premier mois de 2008. C'est en ce moment qu'elle va prévoir de lancer des négociations avec l'ONE pour résoudre les problématiques territoriales et les limites de distribution électrique.
Signalant qu'à ce niveau que l'ONE a commencé à servir les mêmes périmètres de délégation pris en charge par «Lydec» pour des raisons dites «de clients qui demandent à être servis de 60.000 volts…», a déclaré Jean-Pierre Ermenault, DG de «Lydec».
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Ils sont alors 788.820 clients (électricité) à juin 2007 contre 756.315 au premier semestre 2006. Le nombre des clients (eau potable) a augmenté d'une manière plus soutenue, suite aux opérations de raccordement de nouveaux quartiers concernés par le projet de l'Initiative 110nale pour le développement humain (INDH) et à la demande qui accompagne l'évolution flagrante de constructions immobilières et l'extension de la ville de Casablanca.
Sans oublier l'effet très significatif des raccordements individuels au réseau d'eau potable opérés par «Lydec». Il s'agissait pour les foyers qui partageaient un comptage collectif, avant le 11 novembre 2006, de leur proposer, s'ils le souhaitent, l'installation de compteurs individuels au prix standard unitaire de 500 DH HT, avec des facilités de paiement s'échelonnant sur 10 mois au maximum.Bref, toutes ces opérations ont fait augmenter le nombre des clients à 783.650 à fin juin 2007 au lieu de 732.288 clients à la même période de l'année précédente, soit une croissance de 7% des clients (eau potable).
Par volumes consommés, 1.616 GWH d'électricité ont été vendus au premier semestre 2007, 1.613 GWH la même période de 2006, soit une augmentation de +0,2%). Au moment où la consommation de la basse tension s'est améliorée de 2,7%, celle de la moyenne tension a baissé (-2,7). Une baisse qui, selon Jean-Pierre Ermenault, vient suite à la décision de La Samir de se faire alimentée par l'ONE. Mais non sans augmentation du chiffre d'affaires de l'électricité.
Ce dernier s'est amélioré de 4,4% passant de 1.518 MDH au premier semestre 2006 à 1.586 MDH à fin juin 2007. Par ailleurs, les volumes vendus d'eau potable ont également chuté de 0,5%, passant de 58 Mm3 (mètres cubes) à juin 2006 à 57Mm3 en 2007, à cause de la baisse de la consommation des ménages.
L'activité en 2007 est en stag110n et plusieurs indicateurs sont en recul. Le management de «Lydec» 111rogé sur ce caractère de malaise a répondu qu'il est en effet dû à certaines difficultés techniques et que rien de ce ralentissement «n'est en relation avec l'autorité délégante». «Le processus de révision du contrat absorbe les efforts et la concentration du management qui est mobilisée 24h/24 avec les commissions de suivi des contrats de gestion déléguée…», a déclaré Alain Perret, directeur général adjoint de «Lydec».
À titre d'un premier bilan des réunions régulières qui se tiennent avec l'autorité délégante sur différents thèmes (les dispositions juridiques, les programmes d'investissement et les aspects économiques et tarifaires), il a été arrêté à cette date un programme d'investissement pour les 20 prochaines années d'un montant de
15 MMDH. Les travaux d'épuration des eaux usées ne seront pas inclus dans le nouveau contrat de délégation, tandis que la question de l'intégration de l'éclairage public fait toujours objet de discussions.
Toutefois, ces dernières sont toujours en cours sur l'analyse de l'équilibre économique global du contrat dans le cas d'une durée de 30 ans de ce dernier. Une brève lecture des indicateurs financiers laisse noter une évolution négative du résultat net qui a, en fait, reculé de 18,1% à fin juin 2007 et par rapport à la même période de 2006. Il passe de 92 MDH en 2006 à 75MDH en 2007.
Le résultat d'exploitation a également fléchi de 18,9%. Les charges sont passées de 542 MDH durant le 1er semestre de 2006 à 623 MDH au 1er semestre 2007. Le senior management de «Lydec» revêt ces résultats en rouge aux charges de personnel supportées durant cette période. Il s'agit, en effet, du changement de traitement comptable des gratuités (14MDH) et de l'intégration du personnel de «Lydec» après la cessation d'activités de cette dernière.
De nouveaux cadres à potentiel ont été intégrés pour accompagner l'extension du réseau et les projets entrant dans le cadre de l'INDH. D'autres charges d'exploitation ont aggravé le résultat d'exploitation et in fine le résultat net.
Il est question de la provision de 13 MDH constatée pour le traitement du dossier du personnel en régie et de la provision de 10 MDH d'une redevance pour le service permanent de contrôle. En fin de compte, «Lydec» estime que les discussions sur la révision du contrat vont prendre fin au maximum le premier mois de 2008. C'est en ce moment qu'elle va prévoir de lancer des négociations avec l'ONE pour résoudre les problématiques territoriales et les limites de distribution électrique.
Signalant qu'à ce niveau que l'ONE a commencé à servir les mêmes périmètres de délégation pris en charge par «Lydec» pour des raisons dites «de clients qui demandent à être servis de 60.000 volts…», a déclaré Jean-Pierre Ermenault, DG de «Lydec».
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Consommation en baisse
Les résultats de l'activité du gestionnaire des eaux et de l'électricité et ses chiffres commerciaux renseignent sur une augmentation du nombre des clients (électricité) de 4,3% au mois de juin 2007, soit d'un rythme comparable à celui d'entre les premiers semestres 2005 et 2006.Ils sont alors 788.820 clients (électricité) à juin 2007 contre 756.315 au premier semestre 2006. Le nombre des clients (eau potable) a augmenté d'une manière plus soutenue, suite aux opérations de raccordement de nouveaux quartiers concernés par le projet de l'Initiative 110nale pour le développement humain (INDH) et à la demande qui accompagne l'évolution flagrante de constructions immobilières et l'extension de la ville de Casablanca.
Sans oublier l'effet très significatif des raccordements individuels au réseau d'eau potable opérés par «Lydec». Il s'agissait pour les foyers qui partageaient un comptage collectif, avant le 11 novembre 2006, de leur proposer, s'ils le souhaitent, l'installation de compteurs individuels au prix standard unitaire de 500 DH HT, avec des facilités de paiement s'échelonnant sur 10 mois au maximum.Bref, toutes ces opérations ont fait augmenter le nombre des clients à 783.650 à fin juin 2007 au lieu de 732.288 clients à la même période de l'année précédente, soit une croissance de 7% des clients (eau potable).
Par volumes consommés, 1.616 GWH d'électricité ont été vendus au premier semestre 2007, 1.613 GWH la même période de 2006, soit une augmentation de +0,2%). Au moment où la consommation de la basse tension s'est améliorée de 2,7%, celle de la moyenne tension a baissé (-2,7). Une baisse qui, selon Jean-Pierre Ermenault, vient suite à la décision de La Samir de se faire alimentée par l'ONE. Mais non sans augmentation du chiffre d'affaires de l'électricité.
Ce dernier s'est amélioré de 4,4% passant de 1.518 MDH au premier semestre 2006 à 1.586 MDH à fin juin 2007. Par ailleurs, les volumes vendus d'eau potable ont également chuté de 0,5%, passant de 58 Mm3 (mètres cubes) à juin 2006 à 57Mm3 en 2007, à cause de la baisse de la consommation des ménages.
