L'étau, qui avait affecté le marché du travail, commence à se desserrer. Quoique fortement contrastés, les développements conjoncturels ont induit une certaine détente sur ce front, et pour 2008, les pressions sur le marché de l'emploi devraient observer, à la faveur de l'amélioration progressive des performances de la production et de la demande, une atténuation sensible, avec un taux de chômage en baisse à l'échelon 110nal. Bien des signes avant-coureurs de cette tendance se sont profilés.
Et pour preuve, l'effectif de la population active au chômage a atteint 1.098.000 au troisième trimestre de l'année 2007 contre 1.118.000 au troisième trimestre de l'année 2006, soit une baisse globale de 1,8%, qui a profité exclusivement aux campagnes. Selon le HCP (Haut commissariat au Plan), le taux de chômage 110nal est, de ce fait, passé de 10,1% à 9,9% entre ces deux périodes. Il a quasiment stagné en milieu urbain passant de 16,0% à 15,9% et a baissé en milieu rural de 3,9% à 3,5%.
Cette baisse a profité essentiellement aux femmes dont le taux de chômage est passé de 10,6% à 9,7%, aux jeunes âgés de 15 à 24 ans de 17,5% à 16,7% et aux diplômés de 19,9% à 19,2%. Entre les troisièmes trimestres de 2006 et de 2007, 111 mille emplois nets ont été créés, dont 93.000 rémunérés.
Ces emplois ont profité à tous les secteurs d'activité économique, excepté celui de l'agriculture, et ont été à l'origine du recul du nombre de chômeurs de 20.000 et du taux de chômage de 10,1% à 9,9%.
Au troisième trimestre de l'année 2007, la population active âgée de 15 ans et plus comptait un effectif de 11.128.000 personnes, enregistrant par rapport à la même période de l'année précédente une hausse globale de 0,8%. Cette hausse résulte d'un accroissement de 0,9% en milieu urbain et de 0,8% en milieu rural. Le taux d'activité, quant à lui, est passé, entre les deux périodes, de 51,4% à 50,8%.
Au niveau sectoriel, alors que l'agriculture a été affectée d'une perte de 20.000 postes, l'ensemble des autres secteurs a bénéficié d'une création nette d'emplois de 132.000, répartis en effectifs et en taux de croissance entre l"industrie, y compris l'artisanat" avec 41.000 postes, le BTP avec 26.000 postes, les "services" qui ont créé 65.000 postes. Les "activités mal désignées" ont, quant à elles, reculé de 1.000 postes d'emplois ou (-8,6)%.
Au total, donc, le taux de l'emploi s'est situé à 45,8% au 3e trimestre 2007, au lieu de 46,2% une année auparavant, enregistrant une légère baisse de 0,6 point en milieu urbain et une stag110n en milieu rural.
Et pour preuve, l'effectif de la population active au chômage a atteint 1.098.000 au troisième trimestre de l'année 2007 contre 1.118.000 au troisième trimestre de l'année 2006, soit une baisse globale de 1,8%, qui a profité exclusivement aux campagnes. Selon le HCP (Haut commissariat au Plan), le taux de chômage 110nal est, de ce fait, passé de 10,1% à 9,9% entre ces deux périodes. Il a quasiment stagné en milieu urbain passant de 16,0% à 15,9% et a baissé en milieu rural de 3,9% à 3,5%.
Cette baisse a profité essentiellement aux femmes dont le taux de chômage est passé de 10,6% à 9,7%, aux jeunes âgés de 15 à 24 ans de 17,5% à 16,7% et aux diplômés de 19,9% à 19,2%. Entre les troisièmes trimestres de 2006 et de 2007, 111 mille emplois nets ont été créés, dont 93.000 rémunérés.
Ces emplois ont profité à tous les secteurs d'activité économique, excepté celui de l'agriculture, et ont été à l'origine du recul du nombre de chômeurs de 20.000 et du taux de chômage de 10,1% à 9,9%.
Au troisième trimestre de l'année 2007, la population active âgée de 15 ans et plus comptait un effectif de 11.128.000 personnes, enregistrant par rapport à la même période de l'année précédente une hausse globale de 0,8%. Cette hausse résulte d'un accroissement de 0,9% en milieu urbain et de 0,8% en milieu rural. Le taux d'activité, quant à lui, est passé, entre les deux périodes, de 51,4% à 50,8%.
Au niveau sectoriel, alors que l'agriculture a été affectée d'une perte de 20.000 postes, l'ensemble des autres secteurs a bénéficié d'une création nette d'emplois de 132.000, répartis en effectifs et en taux de croissance entre l"industrie, y compris l'artisanat" avec 41.000 postes, le BTP avec 26.000 postes, les "services" qui ont créé 65.000 postes. Les "activités mal désignées" ont, quant à elles, reculé de 1.000 postes d'emplois ou (-8,6)%.
Au total, donc, le taux de l'emploi s'est situé à 45,8% au 3e trimestre 2007, au lieu de 46,2% une année auparavant, enregistrant une légère baisse de 0,6 point en milieu urbain et une stag110n en milieu rural.