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La présidente de la Confédération polonaise des employeurs privés (Lewiatan), qui est en même temps vice-présidente de l'Union des Confédérations de l'industrie et des employeurs d'Europe (UNICE), Henryka Bochniarz, s'est rendue la semaine dernière à Casablanca.
La patronne des patrons polonais, qui s'est portée candidate à la présidence polonaise en 2005, a rencontré, au cours de son séjour au Maroc, le président de la CGEM et d'autres membres de la Confédération marocaine, représentant notamment les industries du textile et habillement et des technologies de l'information, des télécommunications et de l'offshoring.
Mme Bochniarz leur a présenté l'état de l'économie polonaise et les activités qui sont entreprises par la Confédération polonaise.
Par ailleurs, il est à noter que les échanges commerciaux entre les deux pays restent en deçà des potentialités existantes, puisqu'ils ne dépassent guère les 160 millions de dollars. Cette faiblesse dans les relations économiques bilatérales est encore plus manifeste dans le domaine de l'investissement, avec une absence de projets communs.
Ainsi, après une période marquée par une dynamique des relations commerciales entre les deux pays (le Maroc était en fait le premier partenaire arabe et africain de la Pologne en 1995), leurs échanges commerciaux ont commencé à s'inscrire à la baisse depuis 1999, avec un recul des exportations du Royaume vers ce pays qui est dévenu une puissance régionale en Europe centrale. En effet, la balance commerciale du Maroc enregistre un déficit chronique avec ce pays.
La structure des échanges révèle un flux relativement diversifié des produits polonais vers le Maroc : fer et acier, soufre brut, verre, lampes, fils, produits chimiques, produits laitiers..., tandis que les exportations marocaines demeurent largement dominées par les phosphates et, dans une moindre mesure, par le minerai de cuivre et les légumes.
Ce ralentisselent dans la coopération bilatéarle serait due au retard enregistré dans la ratification des accords commerciaux et ceux relatifs à la protection et à l'encouragement réciproque des investissements. Ce qui a freiné certaines initiatives d'hommes d'affaires et opérateurs économiques polonais au cours des années 1990. Ces intentions d'investissements ont porté notamment sur les pêches maritimes, le transport (routier, ferroviaire et aérien) et le tourisme.
En effet, les investisseurs polonais ont montré leur intérêt pour la marine marchande, notamment la promotion de la coopération entre les armateurs des deux pays pour le développement du transport maritime. De même, ils se sont intéressés à la pêche maritime, principalement pour la participation à la création d'entreprises dans le domaine des industries de valorisation des produits de la mer et de la réparation navale.
En ce qui concerne le tourisme, il est à noter que le Maroc et la pologne sont liés par un accord de coopération touristique qui est entré en vigueur en mars 2003 et les compagnies charters polonaises sont intéressées à desservir le Maroc.
La patronne des patrons polonais, qui s'est portée candidate à la présidence polonaise en 2005, a rencontré, au cours de son séjour au Maroc, le président de la CGEM et d'autres membres de la Confédération marocaine, représentant notamment les industries du textile et habillement et des technologies de l'information, des télécommunications et de l'offshoring.
Mme Bochniarz leur a présenté l'état de l'économie polonaise et les activités qui sont entreprises par la Confédération polonaise.
Par ailleurs, il est à noter que les échanges commerciaux entre les deux pays restent en deçà des potentialités existantes, puisqu'ils ne dépassent guère les 160 millions de dollars. Cette faiblesse dans les relations économiques bilatérales est encore plus manifeste dans le domaine de l'investissement, avec une absence de projets communs.
Ainsi, après une période marquée par une dynamique des relations commerciales entre les deux pays (le Maroc était en fait le premier partenaire arabe et africain de la Pologne en 1995), leurs échanges commerciaux ont commencé à s'inscrire à la baisse depuis 1999, avec un recul des exportations du Royaume vers ce pays qui est dévenu une puissance régionale en Europe centrale. En effet, la balance commerciale du Maroc enregistre un déficit chronique avec ce pays.
La structure des échanges révèle un flux relativement diversifié des produits polonais vers le Maroc : fer et acier, soufre brut, verre, lampes, fils, produits chimiques, produits laitiers..., tandis que les exportations marocaines demeurent largement dominées par les phosphates et, dans une moindre mesure, par le minerai de cuivre et les légumes.
Ce ralentisselent dans la coopération bilatéarle serait due au retard enregistré dans la ratification des accords commerciaux et ceux relatifs à la protection et à l'encouragement réciproque des investissements. Ce qui a freiné certaines initiatives d'hommes d'affaires et opérateurs économiques polonais au cours des années 1990. Ces intentions d'investissements ont porté notamment sur les pêches maritimes, le transport (routier, ferroviaire et aérien) et le tourisme.
En effet, les investisseurs polonais ont montré leur intérêt pour la marine marchande, notamment la promotion de la coopération entre les armateurs des deux pays pour le développement du transport maritime. De même, ils se sont intéressés à la pêche maritime, principalement pour la participation à la création d'entreprises dans le domaine des industries de valorisation des produits de la mer et de la réparation navale.
En ce qui concerne le tourisme, il est à noter que le Maroc et la pologne sont liés par un accord de coopération touristique qui est entré en vigueur en mars 2003 et les compagnies charters polonaises sont intéressées à desservir le Maroc.
