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Le chef en exil du Hamas, Khaled Mechaal, pourrait se rendre la semaine prochaine dans la bande de Gaza pour s'y installer après la victoire du mouvement radical aux élections législatives palestiniennes, rapporte vendredi un journal palestinien.
Citant des sources proches de l'Autorité palestinienne et du Hamas, le journal Al-Qods affirme que des contacts sont en cours entre M. Mechaal, l'Autorité, et l'Union européenne (UE) «pour faciliter son retour à Gaza».
Selon le journal, l'UE a promis de demander aux Etats-Unis d'intervenir auprès d'Israël pour qu'il ne pose pas d'obstacle au retour de M. Mechaal à Gaza, qui pourrait intervenir dès la semaine prochaine.
Si M. Mechaal devait rentrer à Gaza, il y rencontrerait la semaine prochaine le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas, croit savoir le journal.
Israël s'est retiré de la bande de Gaza en septembre dernier après 38 ans d'occupation.
Chef du bureau politique du Hamas et considéré à ce titre comme numéro un du mouvement, M. Mechaal vit en exil entre Damas et Doha.
Il a été propulsé sur les devants de la scène après l'assassinat par Israël en 2004 des principaux chef du mouvement, Ahmad Yassine et Abdelaziz Rantissi.
Citant des sources proches de l'Autorité palestinienne et du Hamas, le journal Al-Qods affirme que des contacts sont en cours entre M. Mechaal, l'Autorité, et l'Union européenne (UE) «pour faciliter son retour à Gaza».
Selon le journal, l'UE a promis de demander aux Etats-Unis d'intervenir auprès d'Israël pour qu'il ne pose pas d'obstacle au retour de M. Mechaal à Gaza, qui pourrait intervenir dès la semaine prochaine.
Si M. Mechaal devait rentrer à Gaza, il y rencontrerait la semaine prochaine le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas, croit savoir le journal.
Israël s'est retiré de la bande de Gaza en septembre dernier après 38 ans d'occupation.
Chef du bureau politique du Hamas et considéré à ce titre comme numéro un du mouvement, M. Mechaal vit en exil entre Damas et Doha.
Il a été propulsé sur les devants de la scène après l'assassinat par Israël en 2004 des principaux chef du mouvement, Ahmad Yassine et Abdelaziz Rantissi.
