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Notons au passage que cette dernière a tenu récemment son deuxième Congrès national où plusieurs thèmes ont été débattus dont principalement le nouveau rôle des Collectivités locales en matière de mise en œuvre de l'INDH.
La recommandation phare de ce congrès a porté sur la création d'une plate-forme de coopération entre communes et également de transfert d'expertises. En effet, parallèlement à leurs missions traditionnelles, les communes participent désormais à raison de 20 % au financement des projets de développement humain.
Le Forum sera également une occasion pour les responsables locaux de s'imprégner des expériences menées dans d'autres pays.
Ses initiateurs s'attendent, en tout cas, à ce que les recommandations qui en découleront servent de balises pour une meilleure gestion locale. A vocation annuelle, le forum aura l'ambition de renforcer la nouvelle dynamique engagée par les collectivités locales en matière de développement économique, social et culturel mise en avant par l'esprit même de l'INDH.
Contrairement à l'exemple français où c'est toujours le politique qui s'accapare la gestion locale, le Maroc investit plutôt le concept de city-manager. Les exemples sont légion, on en cite à titre d'illustration la gestion de la ville de Casablanca par Driss Benhima et ensuite par Mohamed Sajid. Ainsi, ce sont plus les technocrates et les entrepreneurs sur lesquels l'Etat mise pour arriver à des résultats probants.
Le hic est que les partis politiques sont de ce fait de plus en plus relégués au second plan, face à la déferlante des gestionnaires issus du monde des affaires. Ce n'est donc plus le souci sécuritaire de gestion des conflits locaux qui prime mais bien celui d'amélioration de la performance des structures locales mises au service du citoyen. Une réflexion qui rejoint parfaitement les objectifs du développement humain.
Désormais, c'est la gestion par objectif qui prend le dessus. La commune doit par conséquent être gérée comme une entreprise.
Le forum sera ainsi l'occasion de mieux étayer le choix marocain. Au menu de la rencontre, une première expérience de salon de l'équipement et des services liés aux collectivités locales ainsi qu'une conférence internationale sur le développement des villes.
Trois pôles d'activité marqueront aussi cette rencontre, à savoir les services au profit du citoyen, l'aménagement des espaces publics et la gestion des équipements publics. D'ores et déjà, le forum se donne comme objectifs de «s'informer sur les techniques et les innovations, identifier les meilleures pratiques et solutions et trouver les fournisseurs fiables et compétitifs». Ce n'est pas tout.
Les managers locaux doivent «faire face à leurs impératifs croissants d'investissement et de bonne gestion des équipements et services publics».
La recommandation phare de ce congrès a porté sur la création d'une plate-forme de coopération entre communes et également de transfert d'expertises. En effet, parallèlement à leurs missions traditionnelles, les communes participent désormais à raison de 20 % au financement des projets de développement humain.
Le Forum sera également une occasion pour les responsables locaux de s'imprégner des expériences menées dans d'autres pays.
Ses initiateurs s'attendent, en tout cas, à ce que les recommandations qui en découleront servent de balises pour une meilleure gestion locale. A vocation annuelle, le forum aura l'ambition de renforcer la nouvelle dynamique engagée par les collectivités locales en matière de développement économique, social et culturel mise en avant par l'esprit même de l'INDH.
Contrairement à l'exemple français où c'est toujours le politique qui s'accapare la gestion locale, le Maroc investit plutôt le concept de city-manager. Les exemples sont légion, on en cite à titre d'illustration la gestion de la ville de Casablanca par Driss Benhima et ensuite par Mohamed Sajid. Ainsi, ce sont plus les technocrates et les entrepreneurs sur lesquels l'Etat mise pour arriver à des résultats probants.
Le hic est que les partis politiques sont de ce fait de plus en plus relégués au second plan, face à la déferlante des gestionnaires issus du monde des affaires. Ce n'est donc plus le souci sécuritaire de gestion des conflits locaux qui prime mais bien celui d'amélioration de la performance des structures locales mises au service du citoyen. Une réflexion qui rejoint parfaitement les objectifs du développement humain.
Désormais, c'est la gestion par objectif qui prend le dessus. La commune doit par conséquent être gérée comme une entreprise.
Le forum sera ainsi l'occasion de mieux étayer le choix marocain. Au menu de la rencontre, une première expérience de salon de l'équipement et des services liés aux collectivités locales ainsi qu'une conférence internationale sur le développement des villes.
Trois pôles d'activité marqueront aussi cette rencontre, à savoir les services au profit du citoyen, l'aménagement des espaces publics et la gestion des équipements publics. D'ores et déjà, le forum se donne comme objectifs de «s'informer sur les techniques et les innovations, identifier les meilleures pratiques et solutions et trouver les fournisseurs fiables et compétitifs». Ce n'est pas tout.
Les managers locaux doivent «faire face à leurs impératifs croissants d'investissement et de bonne gestion des équipements et services publics».
