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Le chef du Likoud, grand parti de la droite israélienne, Benjamin Netanyahu, a réclamé jeudi que la communauté internationale impose des sanctions économiques contre les Palestiniens, à l'issue de la victoire du Hamas aux élections législatives. L'ancien Premier ministre israélien, interwievé à la BBC television dans l'émission «Newsnight», a estimé qu'il faudrait des changements majeurs et à long terme avant d'envisager de pouvoir traiter avec le Hamas.
Benjamin Netanyahu a estimé qu'aucun pays devrait négocier avec l'administration du Hamas en Palestine, qui, selon lui est un régime illégitime.
«Je pense, a-t-il affirmé, qu'on doit appliquer un pression internationale, dont des sanctions économiques, sur ce nouveau gouvernement afin qu'il adopte une politique différente, plus pacifique, afin qu'il puisse donner un espoir à notre peuple qui autrement sera condamné à un conflit éternel».
«Deuxièmement, je pense, qu'on doit cesser la politique des retraits unilatéraux qui a seulement pour résultat de renforcer énormement la popularité du Hamas», a poursuivi M. Netanyahu, ajoutant qu'«en fait, cela renforce le terrorisme.
Je pense qu'on ne bat pas en retraite devant le terrorisme, on y fait face». A la question de savoir s'il était prêt à négocier avec le Hamas si cette organisation renoncait «à rayer Israel de la surface de la terre», Benjamin Netatnyahu a répondu : nous attendons des changements majeurs, pas des paroles en l'air.
Ils (membres du Hamas) savent qu'ils sont actuellement sous les feux de la rampe, et bien sûr ils vont se répandre en paroles apaisantes.
Cela n'a pas d'intérêt». Le responsable politique israélien a aussi réclamé un changement de ton «dans les prêches, dans le contenu des livres qui appelle à la destruction d'Israel et la fin des camps préparant les enfants à des commandos suicide».
Le chef du Likoud a réclamé le démantèlement «des organisations terroristes qui comptent 65.000 hommes sous les armes».
Benjamin Netanyahu a estimé qu'aucun pays devrait négocier avec l'administration du Hamas en Palestine, qui, selon lui est un régime illégitime.
«Je pense, a-t-il affirmé, qu'on doit appliquer un pression internationale, dont des sanctions économiques, sur ce nouveau gouvernement afin qu'il adopte une politique différente, plus pacifique, afin qu'il puisse donner un espoir à notre peuple qui autrement sera condamné à un conflit éternel».
«Deuxièmement, je pense, qu'on doit cesser la politique des retraits unilatéraux qui a seulement pour résultat de renforcer énormement la popularité du Hamas», a poursuivi M. Netanyahu, ajoutant qu'«en fait, cela renforce le terrorisme.
Je pense qu'on ne bat pas en retraite devant le terrorisme, on y fait face». A la question de savoir s'il était prêt à négocier avec le Hamas si cette organisation renoncait «à rayer Israel de la surface de la terre», Benjamin Netatnyahu a répondu : nous attendons des changements majeurs, pas des paroles en l'air.
Ils (membres du Hamas) savent qu'ils sont actuellement sous les feux de la rampe, et bien sûr ils vont se répandre en paroles apaisantes.
Cela n'a pas d'intérêt». Le responsable politique israélien a aussi réclamé un changement de ton «dans les prêches, dans le contenu des livres qui appelle à la destruction d'Israel et la fin des camps préparant les enfants à des commandos suicide».
Le chef du Likoud a réclamé le démantèlement «des organisations terroristes qui comptent 65.000 hommes sous les armes».
