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Les «avancées sensibles» engrangées par le nouveau Code de la Famille aussi bien pour les Marocaines vivant au Maroc que pour celles qui vivent à l'étranger, constitueront la trame d'un séminaire international qui s'ouvre le week-end prochain à Casablanca, en présence notamment de la vice-premier ministre et ministre belge de la Justice, Laurette Onkelinx.
L'association belge «Amazone», qui participe à ce séminaire, entend saisir les avancées et le «succès d'application» de ce nouveau Code pour procéder à une approche comparative de la situation de femmes vivant en Belgique et issues de trois «sociétés en transition» : le Maroc, la Turquie et l'Iran. Dans ces trois pays, les femmes «occupent des places bien différentes au sein de la société», estime l'association pour qui le séminaire de Casablanca fait partie d'un projet, dont l'objectif est de mettre sur pied un large réseau devant mettre en connexion, différentes compétences.
Ce réseau permettra, à terme, de travailler à «l'amélioration de la condition des femmes dans ces pays et de mieux accompagner en Belgique, celles qui vivent une double culture», explique l'association. Le projet essayera de scruter les problèmes qui se posent aujourd'hui aux femmes, ainsi que les avancées légales et les bonnes pratiquesádans ces trois pays en matière d'égalité des femmes et des hommes.
Dans ces trois sociétés, les femmes qui coopèrent à différents niveaux pour travailler à l'élaboration de trajets d'émancipation, ont une pratique et une réflexion à partager.
Dans ce processus, «orienté à la fois vers la modernité et le respect des traditions», la Belgique souhaite soutenir la rencontre de groupes issus de ces différentes cultures qui vivent dans le pays, estime «Amazone». Chacun des trois pays accueillera un séminaire de 5 jours qui permettra l'échange d'informations, de bonnes pratiques et de contacts entre les participants.
A Casablanca, le colloque prévu du 3 au 8 février, sera ponctué par des rencontres et visites à des associations actives en matière d'égalité et de droits des femmes, parallèlement à une exposition de produits d'artisanat réalisés par des coopératives et des associations de femmes de Marrakech, Tanger et Casablanca. Ce séminaire sera suivi par deux autres: en mai, à Istanbul et en novembre à Téhéran.
Enfin, une conférence de clôture en Belgique, début 2007, permettra d en tirer les conclusions et de mettre en place un suivi pour les actions du réseau.
L'association belge «Amazone», qui participe à ce séminaire, entend saisir les avancées et le «succès d'application» de ce nouveau Code pour procéder à une approche comparative de la situation de femmes vivant en Belgique et issues de trois «sociétés en transition» : le Maroc, la Turquie et l'Iran. Dans ces trois pays, les femmes «occupent des places bien différentes au sein de la société», estime l'association pour qui le séminaire de Casablanca fait partie d'un projet, dont l'objectif est de mettre sur pied un large réseau devant mettre en connexion, différentes compétences.
Ce réseau permettra, à terme, de travailler à «l'amélioration de la condition des femmes dans ces pays et de mieux accompagner en Belgique, celles qui vivent une double culture», explique l'association. Le projet essayera de scruter les problèmes qui se posent aujourd'hui aux femmes, ainsi que les avancées légales et les bonnes pratiquesádans ces trois pays en matière d'égalité des femmes et des hommes.
Dans ces trois sociétés, les femmes qui coopèrent à différents niveaux pour travailler à l'élaboration de trajets d'émancipation, ont une pratique et une réflexion à partager.
Dans ce processus, «orienté à la fois vers la modernité et le respect des traditions», la Belgique souhaite soutenir la rencontre de groupes issus de ces différentes cultures qui vivent dans le pays, estime «Amazone». Chacun des trois pays accueillera un séminaire de 5 jours qui permettra l'échange d'informations, de bonnes pratiques et de contacts entre les participants.
A Casablanca, le colloque prévu du 3 au 8 février, sera ponctué par des rencontres et visites à des associations actives en matière d'égalité et de droits des femmes, parallèlement à une exposition de produits d'artisanat réalisés par des coopératives et des associations de femmes de Marrakech, Tanger et Casablanca. Ce séminaire sera suivi par deux autres: en mai, à Istanbul et en novembre à Téhéran.
Enfin, une conférence de clôture en Belgique, début 2007, permettra d en tirer les conclusions et de mettre en place un suivi pour les actions du réseau.
