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Après une longue attente, les restaurateurs à vocation touristique d'Agadir se révoltent contre le président de leur association. Ils prétendent qu'il n'a fait que geler les activités de leur association et l'acculer dans l'inertie depuis déjà belle lurette. Pis encore, ils l'accusent d'avoir falsifié la signature du trésorier et se comporter d'une manière unilatérale sans volonté de réunification ni de concertation.
Depuis un bon bout de temps, certains membres de l'association de ce secteur se sont donné la peine d'entamer des contacts avec leurs homologues afin de les convaincre de se réunir, d'activer leur structure associative et de sortir de cette déplorable inactivité qui n'a fait que durer. C'est ainsi que l'assemblée générale a été tenue jeudi dernier à la Chambre du commerce, de l'industrie et des services d'Agadir.
Ont assisté à cette réunion le chef de district urbain d'Agadir et le représentant du département de tutelle, à savoir la délégation du ministère du Tourisme, de l'Artisanat et de l'Economie sociale. Presque tout le monde était là, à l'exception du président sortant et ses proches. Après quelques brefs échanges sur la légalité de cette réunion, on a abordé les points de l'ordre du jour avec le consentement du pacha qui a estimé, en fait, que l'assemblée était légale puisqu'elle réunissait tous les éléments de la légalité, en l'occurrence le quorum, la présence des membres de l'ancien bureau et l'établissement de l'ordre du jour.
Le débat s'est focalisé sur le refus du président d'organiser l'assemblée depuis plus d'un an, sous prétexte que les restaurants adhérents devaient s'acquitter de leurs cotisations des trois dernières années consécutives. Les restaurateurs considèrent, à ce sujet, que le paiement des cotisations était vain car l'association est inactive tout en sachant pertinemment que la transparence fait cruellement défaut dans la gestion de l'association.
Certains intervenants insistent également sur la nécessité de faire confiance à des membres capables de faire revivre leur entité et, partant, se pencher sur les problèmes qui entravent la bonne marche du secteur. La façon dont ont été gérées les affaires de l'association doit dorénavant servir de leçon pour les nouveaux dirigeants. Après ces débats, on passa à l'élection de la nouvelle équipe composée de quinze membres.
Depuis un bon bout de temps, certains membres de l'association de ce secteur se sont donné la peine d'entamer des contacts avec leurs homologues afin de les convaincre de se réunir, d'activer leur structure associative et de sortir de cette déplorable inactivité qui n'a fait que durer. C'est ainsi que l'assemblée générale a été tenue jeudi dernier à la Chambre du commerce, de l'industrie et des services d'Agadir.
Ont assisté à cette réunion le chef de district urbain d'Agadir et le représentant du département de tutelle, à savoir la délégation du ministère du Tourisme, de l'Artisanat et de l'Economie sociale. Presque tout le monde était là, à l'exception du président sortant et ses proches. Après quelques brefs échanges sur la légalité de cette réunion, on a abordé les points de l'ordre du jour avec le consentement du pacha qui a estimé, en fait, que l'assemblée était légale puisqu'elle réunissait tous les éléments de la légalité, en l'occurrence le quorum, la présence des membres de l'ancien bureau et l'établissement de l'ordre du jour.
Le débat s'est focalisé sur le refus du président d'organiser l'assemblée depuis plus d'un an, sous prétexte que les restaurants adhérents devaient s'acquitter de leurs cotisations des trois dernières années consécutives. Les restaurateurs considèrent, à ce sujet, que le paiement des cotisations était vain car l'association est inactive tout en sachant pertinemment que la transparence fait cruellement défaut dans la gestion de l'association.
Certains intervenants insistent également sur la nécessité de faire confiance à des membres capables de faire revivre leur entité et, partant, se pencher sur les problèmes qui entravent la bonne marche du secteur. La façon dont ont été gérées les affaires de l'association doit dorénavant servir de leçon pour les nouveaux dirigeants. Après ces débats, on passa à l'élection de la nouvelle équipe composée de quinze membres.
