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Le Maroc plus que jamais décidé à aller de l'avant

Faire la part de la stratégie et celle de la tactique

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Respectueux des principes de la charte de l'ONU, le Maroc s'est toujours 111dit toute ingérence dans les affaires 111nes des autres pays, comme il a toujours lutté contre tout esprit de domi110n et contre toute volonté d'hégémonie. Dans l'examen des problèmes de toute nature posés au niveau 111110nal, il s'est toujours efforcé de rechercher la solution la plus juste et la plus conforme à la légalité et à la légitimité.

Dans sa volonté de régler définitivement le dossier du Sahara, le Royaume a présenté un projet qui a reçu un soutien sans précédent au niveau 111110nal. Fort de cet acquis, il est décidé plus que jamais à aller de l'avant. Il le fera, comme d'habitude, dans le calme et la sérénité des vieilles troupes qui, non seulement, sont sûres de leurs armes politiques, de leurs façon d'aborder leurs problèmes, de leur esprit de synthèse et d'analyse, mais assurées de leur bon droit, tant historique que présent.

Enfin, dans le dossier du Sahara marocain, il y a lieu de faire la part de la stratégie et celle de la tactique. Pour la première, il s'agit de préserver l'intégrité territoriale.

Quant à la tactique, elle est commandée par les circonstances et le climat 111110nal, surtout dans un monde où l'on voit des clans se former et où les problèmes ne sont pas jugés objectivement, mais sans considération pour la justice et le droit. Durant un temps, l'objectif a consisté à lutter contre l'agression, la subversion et l'infiltration algéro-polisarienne.

Aujourd'hui, que cet objectif est d'une certaine manière atteint, l'on agit sur le plan politique, qui est bien différent du plan militaire. Ceux qui ne saisissent pas cela ne comprendront jamais rien… En tout état de cause, il existe des signes tangibles, annonciateurs de la diminution de la capacité de discussion du mouvement des mercenaires, due surtout au déclin politique maladif de ceux qui le soutiennent logistiquement et financièrement.

D'ailleurs, l'affaiblissement réel du mouvement, déjà en cours, conduira à terme à la décomposition de sa structure et à l'effritement complet de sa base, et partant son action sera entièrement désamorcée. Il disparaîtra ainsi de la scène politique algérienne en particulier et ne sera plus un obstacle à la sortie de la crise autour du Sahara.

Dès lors, que restera-t-il des chimères expansionnistes d'Alger ? Pour l'heure, la question ne se pose pas encore, puisqu'on ne s'attend pas à un changement immédiat de leur éternelle position en porte-à-faux. Les vautours et les colombes font partie de la nature, mais pas les vautours qui se déguisent en colombes. Redisons-le autrement : que reste-t-il de l'intelligence, quand des élites mondiales louent et défendent des ignorants, sans identité propre, promus par le crime, les violations des droits humains les plus élémentaires et le détournement d'aides alimentaires destinées aux camps de Tindouf ?
En tout état de cause et aussi vétustes que soient certains dirigeants en mal d'idéologie et que l'on recycle sans cesse, l'opinion 111110nale a finalement compris les jeux et les enjeux du dossier du Sahara.

Le polisario n'est autre qu'une mafia politico-financière et un syndicat du crime à la solde d'un clan dont les membres se le disputent comme un vulgaire butin. Ils le rejetteront en temps opportun.


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