Selon les derniers sondages autorisés lors de la campagne électorale qui prendra fin ce vendredi à minuit, le Parti socialiste devancerait son rival de droite de plus de 4 points et obtiendrait entre 157 et 177 députés, contre 148 à 161 députés pour le PP, au Congrès des députés (Chambre basse), composé de 350 sièges. Lors des élections législatives de mars 2004, le PSOE avait obtenu 42,6 % des votes et 164 sièges contre 37,7 % des votes et 148 sièges pour le PP..
Les communistes du parti de la Gauche unie (Izquierda Unida) doivent conserver la troisième position au niveau national, alors qu'une dizaine de formations régionales tenteront de s'imposer dans leurs régions respectives, notamment en Catalogne (est) et au Pays Basque (nord) où les partis nationalistes jouissent d'un fort soutien populaire. Les 35.067.281 d'électeurs (dont près de 2 millions vivant à l'étranger) appelés aux urnes devraient aussi renouveler le Sénat composé de 208 sièges.
Selon la loi électorale, chacune des 52 circonscriptions doit élire un minimum de deux députés, à l'exception des présides de Sebta et Mellilia représentés chacun par un député. Le reste, soit 248 députés, est élu en fonction du nombre d'habitants de chaque circonscription. Le socialiste José Luis Rodriguez Zapatero, favori pour les législatives de dimanche en Espagne, et son rival de droite Mariano Rajoy, faisaient campagne vendredi pour le dernier jour, appelant plus que jamais au vote des indécis.
Les deux prétendants à la présidence du gouvernement devaient battre le dernier rappel de leurs troupes vendredi soir lors de deux grands meetings à Madrid, point d'orgue de deux semaines de tour d'Espagne électoral. La campagne s'est achèvée officiellement vendredi à minuit (23h00 GMT). "Je demande une large majorité", a répété vendredi M. Zapatero, candidat à sa succession sur la radio Cadena Ser, qui a multiplié ces derniers jours les appels à la mobilisation en direction d'un électorat socialiste traditionnellement moins discipliné que celui de la droite. La droite, qui se veut garante de l'unité du pays face aux nationalismes basque et catalan, espère une forte abstention des déçus du socialisme et surfe sur l'inquiétude des Espagnols face au ralentissement économique.
Les communistes du parti de la Gauche unie (Izquierda Unida) doivent conserver la troisième position au niveau national, alors qu'une dizaine de formations régionales tenteront de s'imposer dans leurs régions respectives, notamment en Catalogne (est) et au Pays Basque (nord) où les partis nationalistes jouissent d'un fort soutien populaire. Les 35.067.281 d'électeurs (dont près de 2 millions vivant à l'étranger) appelés aux urnes devraient aussi renouveler le Sénat composé de 208 sièges.
Selon la loi électorale, chacune des 52 circonscriptions doit élire un minimum de deux députés, à l'exception des présides de Sebta et Mellilia représentés chacun par un député. Le reste, soit 248 députés, est élu en fonction du nombre d'habitants de chaque circonscription. Le socialiste José Luis Rodriguez Zapatero, favori pour les législatives de dimanche en Espagne, et son rival de droite Mariano Rajoy, faisaient campagne vendredi pour le dernier jour, appelant plus que jamais au vote des indécis.
Les deux prétendants à la présidence du gouvernement devaient battre le dernier rappel de leurs troupes vendredi soir lors de deux grands meetings à Madrid, point d'orgue de deux semaines de tour d'Espagne électoral. La campagne s'est achèvée officiellement vendredi à minuit (23h00 GMT). "Je demande une large majorité", a répété vendredi M. Zapatero, candidat à sa succession sur la radio Cadena Ser, qui a multiplié ces derniers jours les appels à la mobilisation en direction d'un électorat socialiste traditionnellement moins discipliné que celui de la droite. La droite, qui se veut garante de l'unité du pays face aux nationalismes basque et catalan, espère une forte abstention des déçus du socialisme et surfe sur l'inquiétude des Espagnols face au ralentissement économique.