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Ce Desk, qui vise à développer la coopération économique et commerciale entre les deux pays, est inauguré dans les locaux de l'agence spéciale "Promos" de la Chambre de commerce, d'industrie, d'artisanat et d'agriculture de Milan, le 1er juillet par Ahmed Chami et Bruno Ermolli et le président de Promos.
Selon les deux responsables, ce bureau jouera le rôle d'un outil de liaison et d'un intermédiaire visant à favoriser le développement de la coopération sur des bases durables avec les opérateurs des pays méditerranéens, particulièrement la région de la Lombardie, «eu égard au poids économique de Milan dans les économies italienne et européenne et aux rôles que la ville de Milan et la Chambre de commerce sont susceptibles de jouer».
Il s'agit notamment, selon un communiqué du dit ministère, de la mobilisation des acteurs économiques et des interlocuteurs institutionnels de compétence, la promotion des initiatives visant l'instauration d'une coopération dans les secteurs de la promotion du commerce, de la coopération économique, de l'échange d'informations et du transfert de technologies.
L'inauguration de ce bureau de représentation a eu lieu, lors de la visite de A. Chami en Italie les 1et 2 juillet 2008 pour prendre part à la 6e Edition de la Conférence annuelle du Laboratoire euroméditerranéen, qui a connu la participation des représentants des pays méditerranéens (Maroc, Algérie, Tunisie, Emirats Arabes Unis, Arabie Saoudite, Turquie, Egypte, Qatar, Jordanie, Liban…).
La participation marocaine à ce grand événement a été assurée par une importante délégation composée de plusieurs opérateurs. Il s'agit notamment de Mohamed Benchaaboun, PDG de la BCP, Younès Maamar, directeur général de l'ONE, Mohammed Chaibi, PDG des Ciments du Maroc et vice-président de la CGEM, Abdelhakim Marrakchi, président de la FENAGRI, El Mostafa Sajid, vice-président de l'AMITH, Mohamed Slassi Sennou, vice-président de l'APEBI. A. Chami a également participé à l'ouverture d'un workshop sur les instruments de soutien aux stratégies d'internationalisation des PME en Méditerranée où il a présenté les grands chantiers et les opportunités d'affaires au Maroc, le cadre incitatif au Maroc ainsi que les principales infrastructures d'accueil notamment les zones industrielles et franches.
Il a eu, de même, droit à une présentation du programme d'investissements au Maroc du groupe cimentier italien "Italcementi" qui détient Ciments du Maroc. Ce programme, présenté au ministre par les dirigeants du groupe, « entre dans le cadre de sa stratégie de développement dans l'industrie cimentière et le dans le secteur des énergies renouvelables », selon la même source.
Parmi les autres rencontres d'affaires auxquelles cette visite a donné lieu, figurent la réunion du ministre avec le président de la Région de la Lombardie, un déjeuner de travail avec les hommes d'affaires marocains de la même région et des réunions avec des hommes d'affaires opérant dans les secteurs de l'automobile, l'aéronautique, les transports, l'énergie, etc.
De leur côté, les membres de la délégation marocaine ont profité de cette occasion pour rencontrer de nombreuses entreprises italiennes dans les secteurs de la Banque et financement, le Textile et Cuir, les Technologies de l'Information et Télécommunications ainsi que l'Agro-industrie.
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De même, le Bureau des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) va poursuivre le renforcement du projet de création de consortium de petites entreprises grâce à une nouvelle contribution italienne. Deux nouvelles initiatives concernent également la migration et le codéveloppement en collaboration avec l'Organisation internationale pour la migration (OIM). Actuellement, plus d'une dizaine d'ONG italiennes opèrent au Maroc. Le montant global des initiatives d'ONG marocaines financées par le gouvernement italien s'élève actuellement de 6.500.000 euros sur un total de plus que 12.500.000 euros.
Selon les deux responsables, ce bureau jouera le rôle d'un outil de liaison et d'un intermédiaire visant à favoriser le développement de la coopération sur des bases durables avec les opérateurs des pays méditerranéens, particulièrement la région de la Lombardie, «eu égard au poids économique de Milan dans les économies italienne et européenne et aux rôles que la ville de Milan et la Chambre de commerce sont susceptibles de jouer».
Il s'agit notamment, selon un communiqué du dit ministère, de la mobilisation des acteurs économiques et des interlocuteurs institutionnels de compétence, la promotion des initiatives visant l'instauration d'une coopération dans les secteurs de la promotion du commerce, de la coopération économique, de l'échange d'informations et du transfert de technologies.
L'inauguration de ce bureau de représentation a eu lieu, lors de la visite de A. Chami en Italie les 1et 2 juillet 2008 pour prendre part à la 6e Edition de la Conférence annuelle du Laboratoire euroméditerranéen, qui a connu la participation des représentants des pays méditerranéens (Maroc, Algérie, Tunisie, Emirats Arabes Unis, Arabie Saoudite, Turquie, Egypte, Qatar, Jordanie, Liban…).
La participation marocaine à ce grand événement a été assurée par une importante délégation composée de plusieurs opérateurs. Il s'agit notamment de Mohamed Benchaaboun, PDG de la BCP, Younès Maamar, directeur général de l'ONE, Mohammed Chaibi, PDG des Ciments du Maroc et vice-président de la CGEM, Abdelhakim Marrakchi, président de la FENAGRI, El Mostafa Sajid, vice-président de l'AMITH, Mohamed Slassi Sennou, vice-président de l'APEBI. A. Chami a également participé à l'ouverture d'un workshop sur les instruments de soutien aux stratégies d'internationalisation des PME en Méditerranée où il a présenté les grands chantiers et les opportunités d'affaires au Maroc, le cadre incitatif au Maroc ainsi que les principales infrastructures d'accueil notamment les zones industrielles et franches.
Il a eu, de même, droit à une présentation du programme d'investissements au Maroc du groupe cimentier italien "Italcementi" qui détient Ciments du Maroc. Ce programme, présenté au ministre par les dirigeants du groupe, « entre dans le cadre de sa stratégie de développement dans l'industrie cimentière et le dans le secteur des énergies renouvelables », selon la même source.
Parmi les autres rencontres d'affaires auxquelles cette visite a donné lieu, figurent la réunion du ministre avec le président de la Région de la Lombardie, un déjeuner de travail avec les hommes d'affaires marocains de la même région et des réunions avec des hommes d'affaires opérant dans les secteurs de l'automobile, l'aéronautique, les transports, l'énergie, etc.
De leur côté, les membres de la délégation marocaine ont profité de cette occasion pour rencontrer de nombreuses entreprises italiennes dans les secteurs de la Banque et financement, le Textile et Cuir, les Technologies de l'Information et Télécommunications ainsi que l'Agro-industrie.
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Contribution financière
Il est à rappeler que le gouvernement italien avait approuvé un don de 7 millions d'euros au profit du Maroc destinés au financement de plusieurs projets de développement et de lutte contre la pauvreté qui démarreront au cours de l'année 2008. Il s'agit de huit initiatives de coopération maroco-italienne qui s'ajoutent à la trentaine d'initiatives en cours de réalisation pour un engagement total, pour la période 2005-2007, d'environ 210 millions d'euros. Deux initiatives concernent la région de Figuig et de Tanger portant sur la mise en valeur du patrimoine culturel au profit des communautés locales. Un autre projet concerne la promotion de l'écotourisme, notamment dans la région d'El Haouz.De même, le Bureau des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) va poursuivre le renforcement du projet de création de consortium de petites entreprises grâce à une nouvelle contribution italienne. Deux nouvelles initiatives concernent également la migration et le codéveloppement en collaboration avec l'Organisation internationale pour la migration (OIM). Actuellement, plus d'une dizaine d'ONG italiennes opèrent au Maroc. Le montant global des initiatives d'ONG marocaines financées par le gouvernement italien s'élève actuellement de 6.500.000 euros sur un total de plus que 12.500.000 euros.
