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Ce dernier a même porté plainte contre l'un des assaillants ; et aux dernières nouvelles, l'homme aurait décidé de ne pas démissionner.
C'est ce qui ressort d'un communiqué du club bien explicite quant à la position du président, dont la démission n'a jamais été présentée. Mieux, tout le comité reste solidaire de son président qui, ajoute le communiqué est l'objet d'une douloureuse campagne de dénigrement de la part de certains individus qui veulent déstabiliser le club. On sait déjà qu'après la défaite en Coupe Arabe contre un club qui est loin d'être un foudre de guerre avait suscité des commentaires acerbes de la part des supporters.
Le WAC était attendu à Casablanca face au DHJ qui fait un beau parcours en championnat puisqu'il caracole en tête du classement. L'affiche était alléchante mais une nouvelle fois, c'est l'échec. Les Jdidis ont réussi à surprendre les «Rouge et Blanc» sur le plus petit score mais qui a son importance.
C'est la goutte qui a fait déborder le vase, l'occasion inespérée pour tous ceux qui ont une dent aussi bien contre l'entraîneur qualifié de «bleu» par certains que contre le président Akram qui a essuyé une véritable bronca.
C'est dans cette toile de fond pas du tout reluisante pour le club que se déroulera le match retour ce dimanche au complexe Mohammed V face à l'Ittihad de Syrie, le champion en titre de son pays. Les Marocains ont particulièrement souffert à Alep où s'est déroulé le match aller et n'ont pas pu éviter la défaite.
Pour parer à toute éventualité et préparer la rencontre dans les meilleures conditions, les dirigeants ont pris la sage décision de mettre au vert l'équipe à El Jadida, histoire de remonter le moral de la troupe après les terribles évènements vécus au terme de la rencontre face au DHJ. Baddou Zaki, selon quelques sources, ne se serait pas déplacé avec l'équipe alors que les Syriens ont effectué leurs premiers galops d'entraînement à Casablanca. En cette période de mercato, on ne sait quelle formation le coach wydadi va aligner.
On sait, en effet, que Adoua a été sollicité pour un essai à Lens, que Saïdi est proposé pour un pays du Golfe et que l'Oujdi Berrabeh n'est pas encore certain de porter les couleurs du WAC. La rencontre ne sera pas facile dans le contexte actuel.
Un autre faux pas signifierait le départ du technicien qui se trouve sur un siège éjectable. Baddou Zaki comptera sur les fers de lance que sont Bidodane, s'il est rétabli, ou Menkari. Quant à Doulyazal, il risque une lourde sanction après un geste scandaleux lors de la rencontre du DHJ et ne sera certainement pas de la partie au même titre que Sakim, en disgrâce ces derniers temps.
Le public y croit encore et en cas de qualification, la réconciliation se fera en douceur.
La Champion's league arabe en bref
Cette compétition est apparue en 1982. Au début, la Ligue des champions arabes se jouait en presque deux semaines dans un pays arabe choisi par l'UAFA. En 2003, a émergé l'idée d'organiser une ligue des champions des clubs arabes. Mohbi Eddine Saleh Kamel, directeur général des sports d'ART Network, a proposé en 2004 à l'UAFA une nouvelle forme de la Ligue des champions qui ressemble à la compétition européenne. Actuellement, la Ligue des champions arabes se compose de 32 équipes participantes, qui s'affrontent en deux tours préliminaires à élimination directe (aller et retour).
Une phase de groupes : quatre groupes, chacun composé de quatre équipes jouant en mini championnat (aller et retour). Les deux premiers de chaque groupe sont qualifiés pour les quarts de finales. Trois tours à élimination directe : quarts de finale, demi-finales et finale (aller et retour). Le vainqueur de la Ligue des champions est officiellement Champion arabe des clubs. C'est l'Arabie Séoudite qui détient le record des titres avec 8 victoires suivie de la Tunisie et de l'Irak avec 4victoires chacune. Le Maroc est loin derrière avec 2 victoires du WAC en 1989 et du Raja en 2006.
C'est ce qui ressort d'un communiqué du club bien explicite quant à la position du président, dont la démission n'a jamais été présentée. Mieux, tout le comité reste solidaire de son président qui, ajoute le communiqué est l'objet d'une douloureuse campagne de dénigrement de la part de certains individus qui veulent déstabiliser le club. On sait déjà qu'après la défaite en Coupe Arabe contre un club qui est loin d'être un foudre de guerre avait suscité des commentaires acerbes de la part des supporters.
Le WAC était attendu à Casablanca face au DHJ qui fait un beau parcours en championnat puisqu'il caracole en tête du classement. L'affiche était alléchante mais une nouvelle fois, c'est l'échec. Les Jdidis ont réussi à surprendre les «Rouge et Blanc» sur le plus petit score mais qui a son importance.
C'est la goutte qui a fait déborder le vase, l'occasion inespérée pour tous ceux qui ont une dent aussi bien contre l'entraîneur qualifié de «bleu» par certains que contre le président Akram qui a essuyé une véritable bronca.
C'est dans cette toile de fond pas du tout reluisante pour le club que se déroulera le match retour ce dimanche au complexe Mohammed V face à l'Ittihad de Syrie, le champion en titre de son pays. Les Marocains ont particulièrement souffert à Alep où s'est déroulé le match aller et n'ont pas pu éviter la défaite.
Pour parer à toute éventualité et préparer la rencontre dans les meilleures conditions, les dirigeants ont pris la sage décision de mettre au vert l'équipe à El Jadida, histoire de remonter le moral de la troupe après les terribles évènements vécus au terme de la rencontre face au DHJ. Baddou Zaki, selon quelques sources, ne se serait pas déplacé avec l'équipe alors que les Syriens ont effectué leurs premiers galops d'entraînement à Casablanca. En cette période de mercato, on ne sait quelle formation le coach wydadi va aligner.
On sait, en effet, que Adoua a été sollicité pour un essai à Lens, que Saïdi est proposé pour un pays du Golfe et que l'Oujdi Berrabeh n'est pas encore certain de porter les couleurs du WAC. La rencontre ne sera pas facile dans le contexte actuel.
Un autre faux pas signifierait le départ du technicien qui se trouve sur un siège éjectable. Baddou Zaki comptera sur les fers de lance que sont Bidodane, s'il est rétabli, ou Menkari. Quant à Doulyazal, il risque une lourde sanction après un geste scandaleux lors de la rencontre du DHJ et ne sera certainement pas de la partie au même titre que Sakim, en disgrâce ces derniers temps.
Le public y croit encore et en cas de qualification, la réconciliation se fera en douceur.
La Champion's league arabe en bref
Cette compétition est apparue en 1982. Au début, la Ligue des champions arabes se jouait en presque deux semaines dans un pays arabe choisi par l'UAFA. En 2003, a émergé l'idée d'organiser une ligue des champions des clubs arabes. Mohbi Eddine Saleh Kamel, directeur général des sports d'ART Network, a proposé en 2004 à l'UAFA une nouvelle forme de la Ligue des champions qui ressemble à la compétition européenne. Actuellement, la Ligue des champions arabes se compose de 32 équipes participantes, qui s'affrontent en deux tours préliminaires à élimination directe (aller et retour).
Une phase de groupes : quatre groupes, chacun composé de quatre équipes jouant en mini championnat (aller et retour). Les deux premiers de chaque groupe sont qualifiés pour les quarts de finales. Trois tours à élimination directe : quarts de finale, demi-finales et finale (aller et retour). Le vainqueur de la Ligue des champions est officiellement Champion arabe des clubs. C'est l'Arabie Séoudite qui détient le record des titres avec 8 victoires suivie de la Tunisie et de l'Irak avec 4victoires chacune. Le Maroc est loin derrière avec 2 victoires du WAC en 1989 et du Raja en 2006.
