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M. Baraka, qui était accompagné du parlementaire Amar Cheikh, membre du Conseil national de l'Istiqlal et président de la commission des finances et du développement économique à la Chambre des représentants, a saisi l'occasion de cette réunion pour «mettre à nu les tentatives des ennemis du Maroc visant à contrecarrer les efforts marocains pour trouver une solution politique et définitive à la question du Sahara».
Dans ce contexte, il a affirmé que la question du Sahara traverse un moment «délicat», ajoutant que «l'Algérie et le polisario ne veulent pas poursuivre les pourparlers pour parvenir à une solution à ce contentieux».
Abordant le cas Aminatou Haidar, M. Baraka a indiqué que cette personne, qui a profité du développement positif que connaît le Maroc dans le domaine de la consécration des droits humains et de la réconciliation avec le passé, a renié sa nationalité marocaine préférant défendre les thèses des séparatistes.
«Cette dame qui se présente comme une militante des droits de l'homme n'a jamais pris la peine, ne serait-ce qu'une fois, de parler des violations de ces mêmes droits dans les camps de Tindouf, ni des conditions dramatiques des Sahraouis séquestrés dans ces camps, que même le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) n'arrive pas à recenser en raison du refus entêté de l'Algérie», a dénoncé M. Baraka.
Concernant la question de l'unité territoriale du Royaume, il affirmé que la proposition du Maroc d'accorder l'autonomie aux provinces du Sud constitue une solution juste et durable du contentieux du Sahara, soulignant, dans ce contexte, que l'Algérie veut la poursuite de ce conflit pour des intérêts qui lui sont propres». M. Baraka a tenu, également, à relever le rôle important que peut jouer l'Espagne dans la recherche d'une solution à ce conflit qui a trop duré, affirmant que les ennemis du Maroc veulent affaiblir Madrid, qui assumera à partir de janvier prochain la présidente tournante de l'Union européenne, porter atteinte aux relations excellentes liant le Maroc et l'Espagne et essayer d'empêcher la tenue du prochain sommet UE-Maroc prévue durant la présidence espagnole.
M. Baraka, qui s'est longuement attardé sur les relations excellentes entre le Maroc et l'Espagne dans nombre de domaines: économique, politique et sécuritaire surtout la lutte contre le trafic des personnes, de drogue et le terrorisme, a affirmé que «nous ne permettrons à personne d'interférer dans ces relations, ni de leur porter atteinte», soulignant que «les deux pays sont soucieux de renforcer leurs relations et de les consolider encore davantage dans leur intérêt commun».
M. Baraka, a tenu à souligner, lors de cette réunion, que les deux formations politiques (PP et Istiqlal) partagent les mêmes valeurs de liberté, de démocratie et de défense des droits humains, affirmant que les deux partis entretiennent des relations solides.
Le coordonnateur de la présidence et des relations internationales du PP, a souligné, de son côté, les relations excellentes entre les deux partis politiques aussi bien au niveau bilatéral qu'au sein de l'Internationale démocrate centriste (IDC). Le responsable du PP qui a qualifié les relations maroco-espagnoles de «stratégiques», a affirmé que son parti a toujours milité pour la consolidation de ses relations historiques basées sur des fondements solides.
S'agissant de la question du Sahara, le coordinateur de la présidence et des relations internationales du PP, qui s'est félicité des efforts déployés par l'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU, Christopher Ross, pour trouver une solution consensuelle au conflit du Sahara, a formé l'espoir que de nouveaux pourparlers entre les parties concernées pourront avoir lieu dans un proche avenir.
M. Moragas s'est, par ailleurs, félicité du progrès que connaît le Maroc dans différents domaines économique, politique, social et des droits humains, formant le voeu de voir les relations entre les deux pays se consolider encore davantage.
Nizar Baraka, qui a été, mardi, l'invité du journal du soir de la chaîne de télévision espagnole Antena3, a affirmé que les excellentes relations à tous les niveaux entre le Maroc et l'Espagne ne seront pas affectées par le cas de la dénommée Aminatou Haidar, rappelant les déclarations, lundi à Bruxelles, du ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Taïb Fassi Fihri, dans lesquelles il s'est félicité de l'excellence des relations entre les deux pays et de leur coopération exemplaire dans les domaines non seulement économique mais également en matière de lutte contre l'immigration clandestine, le trafic de drogue et le terrorisme.
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Dans une déclaration à la presse, à l'issue de cette visite, Kieren Keke a plaidé pour «une participation active et constructive de toutes les parties» pour le règlement du conflit artificiel du Sahara, «sous l'égide des Nations unies».
«Ma visite au Maroc a été une occasion pour discuter des moyens de renforcer la coopération bilatérale dans plusieurs domaines, notamment en matière de phosphates, a-t-il indiqué. D'autres questions d'ordre régional et international, notamment le changement climatique, qui menace les îles de l'Océan Pacifique, ont été au centre des entretiens du chef de la diplomatie nauruan avec des responsables marocains. Il a souligné, à cet égard, que le Sommet de Copenhague doit être sanctionné par un fort engagement de tous les pays à réduire leurs émissions en gaz à effet de serre (GES).
Au cours de son séjour au Maroc, le ministre nauruan a eu des entretiens avec le secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Mohamed Ouzzine, et des responsables du ministère de l'Economie et des Finances, ainsi que de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement. Il a tenu également une rencontre avec les responsables de l'Office chérifien des phosphates (OCP).
Dans ce contexte, il a affirmé que la question du Sahara traverse un moment «délicat», ajoutant que «l'Algérie et le polisario ne veulent pas poursuivre les pourparlers pour parvenir à une solution à ce contentieux».
Abordant le cas Aminatou Haidar, M. Baraka a indiqué que cette personne, qui a profité du développement positif que connaît le Maroc dans le domaine de la consécration des droits humains et de la réconciliation avec le passé, a renié sa nationalité marocaine préférant défendre les thèses des séparatistes.
«Cette dame qui se présente comme une militante des droits de l'homme n'a jamais pris la peine, ne serait-ce qu'une fois, de parler des violations de ces mêmes droits dans les camps de Tindouf, ni des conditions dramatiques des Sahraouis séquestrés dans ces camps, que même le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) n'arrive pas à recenser en raison du refus entêté de l'Algérie», a dénoncé M. Baraka.
Concernant la question de l'unité territoriale du Royaume, il affirmé que la proposition du Maroc d'accorder l'autonomie aux provinces du Sud constitue une solution juste et durable du contentieux du Sahara, soulignant, dans ce contexte, que l'Algérie veut la poursuite de ce conflit pour des intérêts qui lui sont propres». M. Baraka a tenu, également, à relever le rôle important que peut jouer l'Espagne dans la recherche d'une solution à ce conflit qui a trop duré, affirmant que les ennemis du Maroc veulent affaiblir Madrid, qui assumera à partir de janvier prochain la présidente tournante de l'Union européenne, porter atteinte aux relations excellentes liant le Maroc et l'Espagne et essayer d'empêcher la tenue du prochain sommet UE-Maroc prévue durant la présidence espagnole.
M. Baraka, qui s'est longuement attardé sur les relations excellentes entre le Maroc et l'Espagne dans nombre de domaines: économique, politique et sécuritaire surtout la lutte contre le trafic des personnes, de drogue et le terrorisme, a affirmé que «nous ne permettrons à personne d'interférer dans ces relations, ni de leur porter atteinte», soulignant que «les deux pays sont soucieux de renforcer leurs relations et de les consolider encore davantage dans leur intérêt commun».
M. Baraka, a tenu à souligner, lors de cette réunion, que les deux formations politiques (PP et Istiqlal) partagent les mêmes valeurs de liberté, de démocratie et de défense des droits humains, affirmant que les deux partis entretiennent des relations solides.
Le coordonnateur de la présidence et des relations internationales du PP, a souligné, de son côté, les relations excellentes entre les deux partis politiques aussi bien au niveau bilatéral qu'au sein de l'Internationale démocrate centriste (IDC). Le responsable du PP qui a qualifié les relations maroco-espagnoles de «stratégiques», a affirmé que son parti a toujours milité pour la consolidation de ses relations historiques basées sur des fondements solides.
S'agissant de la question du Sahara, le coordinateur de la présidence et des relations internationales du PP, qui s'est félicité des efforts déployés par l'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU, Christopher Ross, pour trouver une solution consensuelle au conflit du Sahara, a formé l'espoir que de nouveaux pourparlers entre les parties concernées pourront avoir lieu dans un proche avenir.
M. Moragas s'est, par ailleurs, félicité du progrès que connaît le Maroc dans différents domaines économique, politique, social et des droits humains, formant le voeu de voir les relations entre les deux pays se consolider encore davantage.
Nizar Baraka, qui a été, mardi, l'invité du journal du soir de la chaîne de télévision espagnole Antena3, a affirmé que les excellentes relations à tous les niveaux entre le Maroc et l'Espagne ne seront pas affectées par le cas de la dénommée Aminatou Haidar, rappelant les déclarations, lundi à Bruxelles, du ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Taïb Fassi Fihri, dans lesquelles il s'est félicité de l'excellence des relations entre les deux pays et de leur coopération exemplaire dans les domaines non seulement économique mais également en matière de lutte contre l'immigration clandestine, le trafic de drogue et le terrorisme.
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Le Nauru réitère son soutien à l'initiative marocaine d'autonomie
La République du Nauru réitère son soutien à l'Initiative marocaine d'autonomie des provinces du Sud, a affirmé, mercredi à Rabat, le ministre nauruan des Affaires étrangères et des Finances, Kieren Keke en visite de travail au Maroc à la tête d'une importante délégation.Dans une déclaration à la presse, à l'issue de cette visite, Kieren Keke a plaidé pour «une participation active et constructive de toutes les parties» pour le règlement du conflit artificiel du Sahara, «sous l'égide des Nations unies».
«Ma visite au Maroc a été une occasion pour discuter des moyens de renforcer la coopération bilatérale dans plusieurs domaines, notamment en matière de phosphates, a-t-il indiqué. D'autres questions d'ordre régional et international, notamment le changement climatique, qui menace les îles de l'Océan Pacifique, ont été au centre des entretiens du chef de la diplomatie nauruan avec des responsables marocains. Il a souligné, à cet égard, que le Sommet de Copenhague doit être sanctionné par un fort engagement de tous les pays à réduire leurs émissions en gaz à effet de serre (GES).
Au cours de son séjour au Maroc, le ministre nauruan a eu des entretiens avec le secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Mohamed Ouzzine, et des responsables du ministère de l'Economie et des Finances, ainsi que de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement. Il a tenu également une rencontre avec les responsables de l'Office chérifien des phosphates (OCP).
