S'inscrivant dans le cadre du plan stratégique du secteur de la pêche maritime «Halieutis», ces laboratoires s'organisent en trois pôles dédiés à la recherche en matière de ressources halieutiques, d'océanographie et d'aquaculture, et de surveillance de la qualité et de la salubrité du milieu marin.
S'agissant des ressources halieutiques, l'on relève le laboratoire de l'évaluation des ressources démersales, le laboratoire des ressources pélagiques, le laboratoire d'ichtyologie, le laboratoire d'échantillonnage et bases de données, le laboratoire de cartographie et le laboratoire approches et méthodologies.
En ce qui concerne l'océanographie et l'aquaculture, sont à citer le laboratoire océanographie physique, le laboratoire d'océanographie biologique, le laboratoire de conchyliculture et pathologie et le laboratoire d'évaluation des algues. Dans le domaine de la surveillance de la qualité et de la salubrité du milieu marin, il s'agit du laboratoire de microbiologie, du laboratoire des efflorescences nuisibles, du laboratoire des biotoxines marines, du laboratoire de chimie et du laboratoire d'éco-toxicologie. Edifiés sur une superficie couverte de 2.250 m2, répartie en 2 étages, les laboratoires centraux de l'INRH font partie d'un programme global portant également sur la construction du siège administratif de l'Institut.
Visant à répondre au besoin de renouvellement et d'extension des moyens de recherche halieutique dans le Royaume, cette nouvelle structure a pour principales missions l'évaluation des ressources halieutiques, la surveillance de la qualité et de la salubrité du milieu marin, la promotion du développement des technologies marines (aquaculture, technologie des engins et techniques de pêche), ainsi que la valorisation des produits de la mer.
Outre l'élaboration et la planification de programmes de recherche annuels, en concertation avec les centres régionaux et spécialisés et dans le cadre des orientations tracées par le conseil d'administration, les nouveaux laboratoires veilleront à la bonne exécution de programmes de recherche, notamment à travers une coordination efficiente entre les laboratoires centraux et les laboratoires régionaux. Ils oeuvreront également en faveur de la finalisation et de la valorisation des résultats des travaux de recherche, ainsi que le développement de méthodologies et de techniques adaptées pour les besoins de la recherche halieutique et océanographique nationale.
Cette nouvelle structure scientifique est le fruit de la coopération maroco-nippone. L'Agence japonaise de la coopération internationale (JICA) a contribué au financement des travaux de construction et d'équipement à hauteur de 70 MDH, alors que l'INRH y a contribué pour 20 MDH.
A cette occasion, un lot de six ouvrages scientifiques réalisés par l'INRH, depuis sa création, a été remis à Sa Majesté le Roi Mohammed VI.
S'agissant des ressources halieutiques, l'on relève le laboratoire de l'évaluation des ressources démersales, le laboratoire des ressources pélagiques, le laboratoire d'ichtyologie, le laboratoire d'échantillonnage et bases de données, le laboratoire de cartographie et le laboratoire approches et méthodologies.
En ce qui concerne l'océanographie et l'aquaculture, sont à citer le laboratoire océanographie physique, le laboratoire d'océanographie biologique, le laboratoire de conchyliculture et pathologie et le laboratoire d'évaluation des algues. Dans le domaine de la surveillance de la qualité et de la salubrité du milieu marin, il s'agit du laboratoire de microbiologie, du laboratoire des efflorescences nuisibles, du laboratoire des biotoxines marines, du laboratoire de chimie et du laboratoire d'éco-toxicologie. Edifiés sur une superficie couverte de 2.250 m2, répartie en 2 étages, les laboratoires centraux de l'INRH font partie d'un programme global portant également sur la construction du siège administratif de l'Institut.
Visant à répondre au besoin de renouvellement et d'extension des moyens de recherche halieutique dans le Royaume, cette nouvelle structure a pour principales missions l'évaluation des ressources halieutiques, la surveillance de la qualité et de la salubrité du milieu marin, la promotion du développement des technologies marines (aquaculture, technologie des engins et techniques de pêche), ainsi que la valorisation des produits de la mer.
Outre l'élaboration et la planification de programmes de recherche annuels, en concertation avec les centres régionaux et spécialisés et dans le cadre des orientations tracées par le conseil d'administration, les nouveaux laboratoires veilleront à la bonne exécution de programmes de recherche, notamment à travers une coordination efficiente entre les laboratoires centraux et les laboratoires régionaux. Ils oeuvreront également en faveur de la finalisation et de la valorisation des résultats des travaux de recherche, ainsi que le développement de méthodologies et de techniques adaptées pour les besoins de la recherche halieutique et océanographique nationale.
Cette nouvelle structure scientifique est le fruit de la coopération maroco-nippone. L'Agence japonaise de la coopération internationale (JICA) a contribué au financement des travaux de construction et d'équipement à hauteur de 70 MDH, alors que l'INRH y a contribué pour 20 MDH.
A cette occasion, un lot de six ouvrages scientifiques réalisés par l'INRH, depuis sa création, a été remis à Sa Majesté le Roi Mohammed VI.