"Le président quittera Kaboul mardi pour l'Arabie saoudite et rencontrera le roi Abdallah mercredi", a déclaré à l'AFP son porte-parole Siamak Herawi, sans plus de détail.
Lors de la conférence internationale de Londres consacrée au conflit afghan vendredi, M. Karzaï avait répété qu'ils souhaitait amener les talibans à la table des négociations, en offrant de l'argent et un emploi aux combattants, après avoir longtemps promis d'offrir des responsabilités au gouvernement à leurs chefs.
"Pour s'assurer de la réussite de notre plan, nous espérons que Sa Majesté le roi Abdallah sera disposé à jouer un rôle pour nous guider vers la paix et soutenir le processus", avait déclaré M. Karzaï à Londres.
L'Arabie saoudite avait été l'un des trois seuls pays -avec le Pakistan et les Emirats arabes unis- à reconnaître le régime des talibans entre 1996 et 2001.
Par ailleurs, une quarantaine d'islamistes présumés ont été arrêtés en Jordanie en lien avec l'attentat suicide commis par un Jordanien en Afghanistan qui avait tué huit personnes le 30 décembre, a annoncé dimanche un responsable des services de sécurité. "Plus de 40 jihadistes jordaniens, dont d'anciens détenus, ont été arrêtés à la suite de l'attaque de Khost", a déclaré le responsable à l'AFP.
"Ils ont été arrêtés dans plusieurs régions de Jordanie pour être interrogés", a-t-il ajouté, sans préciser la date de ces arrestations.
Sept agents américains de la CIA et un capitaine des services de renseignements jordaniens avaient été tués dans l'attentat commis par le Jordanien Humam Khalil Abu-Mulal al-Balawi sur une base de la CIA à Khost, près de la frontière avec le Pakistan.
Selon des informations de médias américains, l'auteur de l'attentat suicide aurait été recruté par les services de renseignement de son pays, mais travaillait en secret pour Al-Qaïda.
Il s'agissait de l'attaque la plus meurtrière contre les services de renseignements américains depuis 1983.
Début janvier à Washington, le ministre jordanien des Affaires étrangères Nasser Jawdeh avait reconnu ouvertement que son pays jouait un rôle dans la lutte antiterroriste en Afghanistan et affirmé qu'Amman prévoyait de renforcer ses opérations dans le pays.
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Lors de la conférence internationale de Londres consacrée au conflit afghan vendredi, M. Karzaï avait répété qu'ils souhaitait amener les talibans à la table des négociations, en offrant de l'argent et un emploi aux combattants, après avoir longtemps promis d'offrir des responsabilités au gouvernement à leurs chefs.
"Pour s'assurer de la réussite de notre plan, nous espérons que Sa Majesté le roi Abdallah sera disposé à jouer un rôle pour nous guider vers la paix et soutenir le processus", avait déclaré M. Karzaï à Londres.
L'Arabie saoudite avait été l'un des trois seuls pays -avec le Pakistan et les Emirats arabes unis- à reconnaître le régime des talibans entre 1996 et 2001.
Par ailleurs, une quarantaine d'islamistes présumés ont été arrêtés en Jordanie en lien avec l'attentat suicide commis par un Jordanien en Afghanistan qui avait tué huit personnes le 30 décembre, a annoncé dimanche un responsable des services de sécurité. "Plus de 40 jihadistes jordaniens, dont d'anciens détenus, ont été arrêtés à la suite de l'attaque de Khost", a déclaré le responsable à l'AFP.
"Ils ont été arrêtés dans plusieurs régions de Jordanie pour être interrogés", a-t-il ajouté, sans préciser la date de ces arrestations.
Sept agents américains de la CIA et un capitaine des services de renseignements jordaniens avaient été tués dans l'attentat commis par le Jordanien Humam Khalil Abu-Mulal al-Balawi sur une base de la CIA à Khost, près de la frontière avec le Pakistan.
Selon des informations de médias américains, l'auteur de l'attentat suicide aurait été recruté par les services de renseignement de son pays, mais travaillait en secret pour Al-Qaïda.
Il s'agissait de l'attaque la plus meurtrière contre les services de renseignements américains depuis 1983.
Début janvier à Washington, le ministre jordanien des Affaires étrangères Nasser Jawdeh avait reconnu ouvertement que son pays jouait un rôle dans la lutte antiterroriste en Afghanistan et affirmé qu'Amman prévoyait de renforcer ses opérations dans le pays.
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