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Plusieurs géants groupes suisses présents en Afrique ont créé, à Genève, un Cercle d'affaires Suisse-Afrique (SABC) en vue d' «offrir une plateforme pour l'échange d'expériences, de projets et d'idées entre les sociétés suisses et africaines», principalement en Afrique subsaharienne, annonce un communiqué du Cercle publié jeudi à Genève.
Des entreprises suisses sont présentes dans la plupart des pays d'Afrique, à des degrés divers, mais, ni l'Office fédéral des statistiques, ni le secrétariat d'Etat à l'Economie (SECO) n'ont d'information sur leur nombre exact.
Pour les experts internes du SECO, il est difficile de connaître leur chiffre, car dans certains cas, elles ne sont pas uniquement suisses, mais plutôt internationales ou multinationales, précise Daniel Bill, un collaborateur du SECO.
Quant à Thomas Seghezzi, directeur de SABC et responsable de la société bernoise Rainbow Unlimited mandatée pour la gestion opérationnelle de SABC, il estime qu'il y a «plusieurs centaines» d'entreprises suisses en Afrique, allant des grandes entreprises au simple entrepreneur.
Entre 30 et 40 % des 125 entreprises, les plus grandes de la Suisse, ont des filiales en Afrique ou sont représentées de façon permanente sur place, par des entreprises locales, dit-il.
D'autres entreprises suisses font des affaires en Afrique en opérant directement de la Suisse ou sont en Afrique temporairement pour des projets bien définis, précise Seghezzi.
«Dans l'ensemble du continent, nous observons ces dernières années un intérêt grandissant d'entreprises suisses pour les marchés en Afrique, et surtout aussi des entreprises de petite et moyenne taille», souligne Thomas Seghezzi.
Les échanges commerciaux entre la Suisse et l'Afrique sont encore peu développés. En 2009, les importations suisses d'Afrique ont baissé de 30,01 %, soit 3,2 milliards de francs contre 4,6 milliards en 2008, selon des données de l'Office fédéral des douanes. Les exportations, quant à elles, sont en légère hausse de 3,09 %, passant à 3,6 milliards de francs en 2009.
Des entreprises suisses sont présentes dans la plupart des pays d'Afrique, à des degrés divers, mais, ni l'Office fédéral des statistiques, ni le secrétariat d'Etat à l'Economie (SECO) n'ont d'information sur leur nombre exact.
Pour les experts internes du SECO, il est difficile de connaître leur chiffre, car dans certains cas, elles ne sont pas uniquement suisses, mais plutôt internationales ou multinationales, précise Daniel Bill, un collaborateur du SECO.
Quant à Thomas Seghezzi, directeur de SABC et responsable de la société bernoise Rainbow Unlimited mandatée pour la gestion opérationnelle de SABC, il estime qu'il y a «plusieurs centaines» d'entreprises suisses en Afrique, allant des grandes entreprises au simple entrepreneur.
Entre 30 et 40 % des 125 entreprises, les plus grandes de la Suisse, ont des filiales en Afrique ou sont représentées de façon permanente sur place, par des entreprises locales, dit-il.
D'autres entreprises suisses font des affaires en Afrique en opérant directement de la Suisse ou sont en Afrique temporairement pour des projets bien définis, précise Seghezzi.
«Dans l'ensemble du continent, nous observons ces dernières années un intérêt grandissant d'entreprises suisses pour les marchés en Afrique, et surtout aussi des entreprises de petite et moyenne taille», souligne Thomas Seghezzi.
Les échanges commerciaux entre la Suisse et l'Afrique sont encore peu développés. En 2009, les importations suisses d'Afrique ont baissé de 30,01 %, soit 3,2 milliards de francs contre 4,6 milliards en 2008, selon des données de l'Office fédéral des douanes. Les exportations, quant à elles, sont en légère hausse de 3,09 %, passant à 3,6 milliards de francs en 2009.
