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Chambre des conseillers : Entretiens avec les présidents de plusieurs Parlements arabes

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Le président de la Chambre des conseillers, Mohamed Cheikh Biadillah s'est entretenu, mercredi au Caire, avec les présidents de plusieurs Parlements arabes participant à la 16ème conférence de l'Union Interparlementaire Arabe (UIPA), des moyens de renforcer la coopération entre les institutions parlementaires arabes. Dans ce sens, M. Biadillah a eu des entretiens successivement avec le président du Conseil de la choura qatari, Mohamed Ben Moubarak Khalifi, et le président de la Chambre des représentants bahreïni, Khalifa Ben Ahmed Dahrani. Mardi, le président de la Chambre des conseillers avait également rencontré le deuxième vice-président du Sénat jordanien, Abderraouf Rowabda, et le président du Conseil consultatif égyptien, Fathi Sorour. Au menu de cette conférence de trois jours figurent aussi l'élection du président et des membres du bureau exécutif de l'Union, et l'examen des rapports sur l'activité de cette instance arabe et du conseil exécutif, ainsi que sur la situation de l'Union depuis la 15ème conférence, tenue en mars dernier au Sultanat d'Oman. Créée en 1974, l'UIPA, basée à Damas, est composée de groupes parlementaires représentant les parlements et assemblées arabes. Il s'assigne pour objectifs le renforcement des contacts et la promotion du dialogue entre les parlements arabes en vue de coordonner les activités parlementaires arabes, de les unir dans une action commune dans les domaines variés et d'échanger leurs expériences législatives.

Dénonciation : Des tracts distribués dans les camps de Tindouf
Des centaines de tracts ont été distribués récemment et pendant trois jours dans les camps de Tindouf, dans le sud de l'Algérie, pour dénoncer la situation dramatique des séquestrés. Ces tracts, qui émaneraient d'un nouveau mouvement d'opposition au “polisario”, ont été distribués à l'occasion du soi-disant anniversaire de la création de la fantomatique “rasd” et évoquent la situation intenable dans les camps de la honte, appelant à un “changement à tous les niveaux”. “La recrudescence de la corruption au sein de la direction du polisario et l'injustice sociale nous ont poussés en tant qu'opposition à prendre la responsabilité d'une noble mission (à), revendiquant le changement réel”, indiquent ces tracts. Les signataires expriment le “refus de l'exclusion et du clientélisme” et appellent à “rendre justice aux innocents, au triomphe de la liberté d'expression, à l'organisation d'élections libres et transparentes, à l'emploi et à la promotion des jeunes”. Ces tracts ont été distribués dans tous les camps et dans les lieux des soi-disant festivités et du secrétariat général du polisario, QG du dénommé Mohamed Abdelaziz, dans les locaux de la police et les lieux d'accueil des étrangers.

Expulsés d'Algérie : Des Marocains appellent à l'arrêt de l'expropriation de leurs biens
L'Association des Marocains victimes d'expulsion arbitraire d'Algérie (ADEMA) a lancé un appel pressant pour faire face à la décision du gouvernement algérien d'exproprier les Marocains victimes de cette expulsion en 1975 de leurs biens. Dans un communiqué parvenu mercredi à la MAP, l'ADEMA rappelle que le gouvernement algérien a intégré dans la loi de finances 2010, un article stipulant l'expropriation de biens enregistrés aux noms de personnes inexistantes, estimant que cette mesure «est en contradiction avec la réalité, en ce sens que ces biens sont la propriété de Marocains expulsés arbitrairement du territoire algérien, et qui sont encore vivants ou ont des héritiers au Maroc». Citant des informations rapportées récemment par le quotidien algérien Achourouk, l'Association souligne que le gouvernement a adressé une circulaire aux services des domaines de l'Etat les invitant à mettre en oeuvre cette procédure qui «cible, en grande partie, les biens des Marocains victimes d'expulsion arbitraire, soit 45.000 familles (350.000 personnes)».
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