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La vie a repris, mardi, son cours normal à Laâyoune après une journée marquée par des actes de vandalisme commis par des repris de justice et l'intervention des forces de l'ordre pour mettre fin à ces actes et assurer la sécurité des citoyens et de leurs biens.
La circulation a repris dans les différentes artères de la ville après que les forces de l'ordre ont pu mettre un terme aux actes de vandalisme perpétrés par des personnes qui agissaient conformément à l'agenda des ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume.
La tension s'est dissipée et le calme règne à nouveau dans l'ensemble des quartiers de la ville notamment ceux qui ont connu la veille des actes de vandalisme. L'appui apporté par les citoyens aux forces de l'ordre a été d'un grand apport dans le retour à la normale.
À signaler, par ailleurs, que plusieurs personnes, qui ont été dans le camp de Gdim Izik, indique l'agence MAP, ont été empêchées de rentrer chez elles sous les menaces des organisatteurs dudit camp. En effet, plusieurs personnes qui se trouvaient dans le camp et dont il a été établi qu'elles étaient dans le besoin, ont bénéficié de cartes de promotion. Aussitôt informé de la satisfaction par les autorités des revendications sociales des personnes qui se trouvaient dans le camp, «j'ai décidé de démanteler ma tente, mais les membres du comité de coordionation, indique Othmane Bani à la MAP.
A relever, en outre, que trois éléments des forces de l'ordre, blessés lors de l'intervention lundi matin pour libérer des citoyens séquestrés dans le campement de Gdim Izik, près de Laâyoune, ont succombé à leurs blessures, a-t-on appris mardi de sources hospitalières.
Leur décès porte à huit le nombre d'éléments des forces de l'ordre (Forces auxiliaires, Gendarmerie royale et Protection civile), qui ont trouvé la mort, dont un agressé mortellement, lors des violences qu'a connues lundi la ville de Laâyoune.
Voici les noms des victimes : Nour Eddine Ouderhm, Mohamed Ali Boualem, Yassine Bougataya, Abdelmoumen Ennchioui, Oualaid Ait Alla, Badr Eddine Torahi, Abdelmajid Adardour et Mohamed Najah.
La circulation a repris dans les différentes artères de la ville après que les forces de l'ordre ont pu mettre un terme aux actes de vandalisme perpétrés par des personnes qui agissaient conformément à l'agenda des ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume.
La tension s'est dissipée et le calme règne à nouveau dans l'ensemble des quartiers de la ville notamment ceux qui ont connu la veille des actes de vandalisme. L'appui apporté par les citoyens aux forces de l'ordre a été d'un grand apport dans le retour à la normale.
À signaler, par ailleurs, que plusieurs personnes, qui ont été dans le camp de Gdim Izik, indique l'agence MAP, ont été empêchées de rentrer chez elles sous les menaces des organisatteurs dudit camp. En effet, plusieurs personnes qui se trouvaient dans le camp et dont il a été établi qu'elles étaient dans le besoin, ont bénéficié de cartes de promotion. Aussitôt informé de la satisfaction par les autorités des revendications sociales des personnes qui se trouvaient dans le camp, «j'ai décidé de démanteler ma tente, mais les membres du comité de coordionation, indique Othmane Bani à la MAP.
A relever, en outre, que trois éléments des forces de l'ordre, blessés lors de l'intervention lundi matin pour libérer des citoyens séquestrés dans le campement de Gdim Izik, près de Laâyoune, ont succombé à leurs blessures, a-t-on appris mardi de sources hospitalières.
Leur décès porte à huit le nombre d'éléments des forces de l'ordre (Forces auxiliaires, Gendarmerie royale et Protection civile), qui ont trouvé la mort, dont un agressé mortellement, lors des violences qu'a connues lundi la ville de Laâyoune.
Voici les noms des victimes : Nour Eddine Ouderhm, Mohamed Ali Boualem, Yassine Bougataya, Abdelmoumen Ennchioui, Oualaid Ait Alla, Badr Eddine Torahi, Abdelmajid Adardour et Mohamed Najah.
