"Nous sommes prêts à entamer des négociations directes. Nous avons négocié dans le passé avec divers gouvernements israéliens. Pourquoi ne voudrions-nous pas négocier? Nous ne tentons pas de nous débiner", a déclaré M. Abbas à l'AFP à Amman.
Benjamin Netanyahu, qui s'exprimait devant la commission des Affaires étrangères de la Knesset (Parlement), a sommé lundi les Palestiniens de commencer "sans délai" des négociations directes avec Israël. "Il faut passer à présent et sans délai supplémentaire aux négociations directes", a déclaré le chef du gouvernement israélien, en assurant qu'il existait "là-dessus une entente entre Israël et les Américains".
Le président palestinien s'est entretenu lundi à Amman avec le roi Abdallah II "dans le cadre de la coordination et la consultation commune sur tous les dossiers politiques importants", a-t-il expliqué.
Il a souligné que cette rencontre précédait "la réunion du comité arabe de suivi des négociations avec Israël", dont la Jordanie est membre.
Dans des déclarations à la presse au terme de l'entretien, M. Abbas a répété qu'il était prêt à entamer des "négociations directes". "Mais la condition principale est la référence aux frontières de 1967 et la fin de la colonisation, à ce moment-là les négociations directes seront possibles et mêmes plus que possibles", a-t-il expliqué.
Le palais royal a pour sa part affirmé que le roi et M. Abbas avaient évoqué la nécessité de "créer les conditions favorables qui permettront d'entamer des négociations directes en conformité avec les termes de référence qui stipulent la création d'un Etat palestinien sur les territoires occupés depuis 1967, avec pour capitale la partie orientale d'Al-Qods".
Pour sa part, le ministre espagnol des Affaires étrangères et de la coopération, Miguel Angel Moratinos, entame mardi une visite au Proche Orient qui le mènera respectivement en Jordanie, en Israël et en Palestine, rapportent des médias espagnols.
Lors de cette visite de deux jours, Moratinos aura des entretiens avec plusieurs responsables dans une tentative de relancer le processus de paix au Proche Orient, indiquent les mêmes sources.
A Amman, Moratinos aura des entretiens avec son homologue jordanien Nasser Juda, avec le président palestinien, Mahmoud Abbas, et avec le principal négociateur palestinien, Saeb Erekat.
Le chef de la diplomatie espagnole se rendra mercredi à Al-Qods où il aura des entretiens avec son homologue israélien, Avigdor Lieberman, et le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou.
Il se rendra par la suite, à Ramallah pour s'entretenir avec son homologue palestinien, Riyad Al-Malki, et avec le Premier ministre palestinien, Salam Fayyad.
Benjamin Netanyahu, qui s'exprimait devant la commission des Affaires étrangères de la Knesset (Parlement), a sommé lundi les Palestiniens de commencer "sans délai" des négociations directes avec Israël. "Il faut passer à présent et sans délai supplémentaire aux négociations directes", a déclaré le chef du gouvernement israélien, en assurant qu'il existait "là-dessus une entente entre Israël et les Américains".
Le président palestinien s'est entretenu lundi à Amman avec le roi Abdallah II "dans le cadre de la coordination et la consultation commune sur tous les dossiers politiques importants", a-t-il expliqué.
Il a souligné que cette rencontre précédait "la réunion du comité arabe de suivi des négociations avec Israël", dont la Jordanie est membre.
Dans des déclarations à la presse au terme de l'entretien, M. Abbas a répété qu'il était prêt à entamer des "négociations directes". "Mais la condition principale est la référence aux frontières de 1967 et la fin de la colonisation, à ce moment-là les négociations directes seront possibles et mêmes plus que possibles", a-t-il expliqué.
Le palais royal a pour sa part affirmé que le roi et M. Abbas avaient évoqué la nécessité de "créer les conditions favorables qui permettront d'entamer des négociations directes en conformité avec les termes de référence qui stipulent la création d'un Etat palestinien sur les territoires occupés depuis 1967, avec pour capitale la partie orientale d'Al-Qods".
Pour sa part, le ministre espagnol des Affaires étrangères et de la coopération, Miguel Angel Moratinos, entame mardi une visite au Proche Orient qui le mènera respectivement en Jordanie, en Israël et en Palestine, rapportent des médias espagnols.
Lors de cette visite de deux jours, Moratinos aura des entretiens avec plusieurs responsables dans une tentative de relancer le processus de paix au Proche Orient, indiquent les mêmes sources.
A Amman, Moratinos aura des entretiens avec son homologue jordanien Nasser Juda, avec le président palestinien, Mahmoud Abbas, et avec le principal négociateur palestinien, Saeb Erekat.
Le chef de la diplomatie espagnole se rendra mercredi à Al-Qods où il aura des entretiens avec son homologue israélien, Avigdor Lieberman, et le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou.
Il se rendra par la suite, à Ramallah pour s'entretenir avec son homologue palestinien, Riyad Al-Malki, et avec le Premier ministre palestinien, Salam Fayyad.