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Le gouvernement marocain a déclaré hier par la voix de son porte-parole officiel qu'il n'envisageait pas de cesser d'alimenter les deux villes occupées - Sebta et Mellilia – en eau potable.
« Contrairement à des rumeurs propagées par certains milieux en Espagne, le gouvernement déclare officiellement qu'une telle question n'a fait l'objet d'aucune discussion, qu'elle n'a pas été posée et qu'elle ne se posera pas» a souligné Khalid Naciri lors d'un point de presse tenu jeudi dernier à Rabat à l'issue du Conseil de gouvernement.
Pour le haut responsable marocain, il s'agit «d'une question d'ordre humanitaire avant tout et le Maroc ne compte pas recourir à des sanctions collectives.
Car cela ne fait pas partie de ses principes ni de sa vision stratégique».
Toutefois, le gouvernement n'a pas remis en cause sa décision prise il ya une semaine, de réévaluer l'ensemble de ses relations avec l'Espagne.
«Après examen de la situation et surtout la résolution pour le moins inamicale et incompréhensible du Parlement espagnol, le gouvernement de S.M. le Roi avait estimé que les circonstances requéraient une réévaluation de l'ensemble des relations entre le Maroc et l'Espagne dans tous les domaines. Nous n'avons pas changé d'avis » a affirmé le porte-parole officiel du gouvernement.
M.Naciri a indiqué dans le même ordre d'idées que cette réévaluation se ferait dans le plein respect des principes fondamentaux de préservation de la dignité nationale et de la défense des intérêts vitaux de la nation.
Il a ajouté que cette réévaluation se ferait également conformément au désir très sincère du Maroc de créer les conditions d'un «partenariat sérieux, constructif et mutuellement avantageux».
Le haut responsable marocain s'est montré particulièrement intransigeant sur le principe du respect des intérêts suprêmes du Royaume, insistant sur le fait que les relations avec l'Espagne ne pourront jamais se construire aux dépens des intérêts légitimes du Maroc.
«Il est plus évident que -jamais au grand jamais- les relations entre le Maroc et l'Espagne ne pourront s'établir sur des déséquilibres qui porteraient atteinte aux intérêts légitimes de notre pays. Tant que nos intérêts vitaux sont préservés, nous continuerons à tendre la main aux Espagnols pour construire un nouveau partenariat» a-t-il dit.
Le Maroc exige donc un nouveau partenariat, basé sur le respect mutuel et non pas une relation alimentée par de vieux complexes.
M. Naciri a déploré à cet égard l'attitude de certains journalistes qui, se cachent derrière leur statut professionnel, pour servir des agendas politiques hostiles au Royaume.
«Le Maroc est un pays d'ouverture qui a fait le choix de la démocratie et qui a suffisamment de courage politique pour aménager un très large espace à l'expression de toutes les opinions.
C'est pourquoi ce pays est et restera ouvert à la presse internationale mais fermé à ceux qui cherchent à porter atteinte à ses intérêts en se drapant d'une couverture qui ne leur sied pas.
Nous n'accepterons pas de recevoir ceux qui se font passer pour des journalistes alors qu'ils sont des activistes. Mais les journalistes qui font leur travail dans le plein respect de la déontologie, nous les recevrons à bras ouverts».
Selon M.Naciri, le Maroc ne donnera pas aux autres parties l'occasion de dire que, le Royaume tergiverse sur les négociations. « Nous croyons que la seule issue à ce problème est basée sur les négociations. Ceux qui croient qu'ils peuvent mettre le Maroc à genou doivent se réveiller de leur sommeil. Il n'y a aucune force sur terre qui puisse le faire ».
« Contrairement à des rumeurs propagées par certains milieux en Espagne, le gouvernement déclare officiellement qu'une telle question n'a fait l'objet d'aucune discussion, qu'elle n'a pas été posée et qu'elle ne se posera pas» a souligné Khalid Naciri lors d'un point de presse tenu jeudi dernier à Rabat à l'issue du Conseil de gouvernement.
Pour le haut responsable marocain, il s'agit «d'une question d'ordre humanitaire avant tout et le Maroc ne compte pas recourir à des sanctions collectives.
Car cela ne fait pas partie de ses principes ni de sa vision stratégique».
Toutefois, le gouvernement n'a pas remis en cause sa décision prise il ya une semaine, de réévaluer l'ensemble de ses relations avec l'Espagne.
«Après examen de la situation et surtout la résolution pour le moins inamicale et incompréhensible du Parlement espagnol, le gouvernement de S.M. le Roi avait estimé que les circonstances requéraient une réévaluation de l'ensemble des relations entre le Maroc et l'Espagne dans tous les domaines. Nous n'avons pas changé d'avis » a affirmé le porte-parole officiel du gouvernement.
M.Naciri a indiqué dans le même ordre d'idées que cette réévaluation se ferait dans le plein respect des principes fondamentaux de préservation de la dignité nationale et de la défense des intérêts vitaux de la nation.
Il a ajouté que cette réévaluation se ferait également conformément au désir très sincère du Maroc de créer les conditions d'un «partenariat sérieux, constructif et mutuellement avantageux».
Le haut responsable marocain s'est montré particulièrement intransigeant sur le principe du respect des intérêts suprêmes du Royaume, insistant sur le fait que les relations avec l'Espagne ne pourront jamais se construire aux dépens des intérêts légitimes du Maroc.
«Il est plus évident que -jamais au grand jamais- les relations entre le Maroc et l'Espagne ne pourront s'établir sur des déséquilibres qui porteraient atteinte aux intérêts légitimes de notre pays. Tant que nos intérêts vitaux sont préservés, nous continuerons à tendre la main aux Espagnols pour construire un nouveau partenariat» a-t-il dit.
Le Maroc exige donc un nouveau partenariat, basé sur le respect mutuel et non pas une relation alimentée par de vieux complexes.
M. Naciri a déploré à cet égard l'attitude de certains journalistes qui, se cachent derrière leur statut professionnel, pour servir des agendas politiques hostiles au Royaume.
«Le Maroc est un pays d'ouverture qui a fait le choix de la démocratie et qui a suffisamment de courage politique pour aménager un très large espace à l'expression de toutes les opinions.
C'est pourquoi ce pays est et restera ouvert à la presse internationale mais fermé à ceux qui cherchent à porter atteinte à ses intérêts en se drapant d'une couverture qui ne leur sied pas.
Nous n'accepterons pas de recevoir ceux qui se font passer pour des journalistes alors qu'ils sont des activistes. Mais les journalistes qui font leur travail dans le plein respect de la déontologie, nous les recevrons à bras ouverts».
Sahara marocain
Concernant les éventuelles répercussions des événements de Laayoune sur le processus de négociations sur le Sahara marocain, Khalid Naciri a fait savoir que « le gouvernement est tenu de respecter ses engagements moraux, politiques et internationaux. Je le dis et redis, le gouvernement en parfaite harmonie avec les sentiments du peuple marocain a adhéré de bonne foi au processus de négociations sous les auspices des Nations unies ».Selon M.Naciri, le Maroc ne donnera pas aux autres parties l'occasion de dire que, le Royaume tergiverse sur les négociations. « Nous croyons que la seule issue à ce problème est basée sur les négociations. Ceux qui croient qu'ils peuvent mettre le Maroc à genou doivent se réveiller de leur sommeil. Il n'y a aucune force sur terre qui puisse le faire ».
