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L'ancien joueur des Diables Rouges qui, soulignons-le au passage, conduisait pour la première fois une équipe nationale, a imputé la défaite du Maroc à l'arbitrage-maison, selon lui, du referee mauricien.
L'enfant du Plat Pays a, par ailleurs, salué la combativité et l'engagement physique des Lions de l'Atlas tout en soulignant le comportement incompréhensible de l'arbitre venu des Île Maurice.
Au cours de ce point de presse tenu à la veille de la rencontre qui devait opposer hier le Maroc au Botswana, Eric Gerets a, d'un autre côté, mis en exergue la domination quasi totale de ses joueurs en seconde mi-temps : «Nous nous sommes procuré de fran-ches occasions de revenir au score, dilapidées malheureusement par excès de précipitation».
Après avoir rappelé que le prochain match face à ces mêmes Fennecs sera décisif, Eric Gerets a fait savoir que la rencontre qui devait se dérouler entre le Maroc et le Botswana avait pour but de faire acquérir plus d'expériences aux joueurs locaux pour les préparer à la prochaine CHAN. Mais, estiment certains observateurs, Eric Gerets n'a pas tout dit et a passé sous silence ses choix technico-tactiques et sa grande passivité au cours de la rencontre qui a vu la victoire des coéquipiers de Yabda sur penalty, converti en but, dès la cinquième minute.
Ces observateurs soulignent, à ce propos, que Gerets certainement ébranlé par la grande tension qui régnait sur la pelouse du Stade Annaba et par l'ambiance surchauffée dans les tribunes, ambiance sportive il faut le préciser, n'a pas su réagir à temps. Eric Gerets n'a rien tenté durant les 85 minutes qui ont suivi le but des Algériens, pour réajuster son système et calmer ses joueurs. Un Houcine Kharja méconnaissable et un Mbarek Boussoufa qui errait comme une âme en peine, auraient dû céder leur place à d'autres joueurs laissés sur le banc de touche. C'est dire que Gerets porte une part de responsabilité dans cet échec.
Mais, ajoutent ces observateurs, puisque les 4 équipes sont redevenues au même point de départ avec 4 points chacune, l'ex-entraîneur du Hilal a tout le temps pour réajuster le tir et d'effacer ce faux-pas dont, finalement, les Lions de l'Atlas n'ont pas à en rougir.
L'enfant du Plat Pays a, par ailleurs, salué la combativité et l'engagement physique des Lions de l'Atlas tout en soulignant le comportement incompréhensible de l'arbitre venu des Île Maurice.
Au cours de ce point de presse tenu à la veille de la rencontre qui devait opposer hier le Maroc au Botswana, Eric Gerets a, d'un autre côté, mis en exergue la domination quasi totale de ses joueurs en seconde mi-temps : «Nous nous sommes procuré de fran-ches occasions de revenir au score, dilapidées malheureusement par excès de précipitation».
Après avoir rappelé que le prochain match face à ces mêmes Fennecs sera décisif, Eric Gerets a fait savoir que la rencontre qui devait se dérouler entre le Maroc et le Botswana avait pour but de faire acquérir plus d'expériences aux joueurs locaux pour les préparer à la prochaine CHAN. Mais, estiment certains observateurs, Eric Gerets n'a pas tout dit et a passé sous silence ses choix technico-tactiques et sa grande passivité au cours de la rencontre qui a vu la victoire des coéquipiers de Yabda sur penalty, converti en but, dès la cinquième minute.
Ces observateurs soulignent, à ce propos, que Gerets certainement ébranlé par la grande tension qui régnait sur la pelouse du Stade Annaba et par l'ambiance surchauffée dans les tribunes, ambiance sportive il faut le préciser, n'a pas su réagir à temps. Eric Gerets n'a rien tenté durant les 85 minutes qui ont suivi le but des Algériens, pour réajuster son système et calmer ses joueurs. Un Houcine Kharja méconnaissable et un Mbarek Boussoufa qui errait comme une âme en peine, auraient dû céder leur place à d'autres joueurs laissés sur le banc de touche. C'est dire que Gerets porte une part de responsabilité dans cet échec.
Mais, ajoutent ces observateurs, puisque les 4 équipes sont redevenues au même point de départ avec 4 points chacune, l'ex-entraîneur du Hilal a tout le temps pour réajuster le tir et d'effacer ce faux-pas dont, finalement, les Lions de l'Atlas n'ont pas à en rougir.
