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Le Comité national de prévention des accidents de la circulation (CNPAC) et l'Association des Importateurs des Véhicules au Maroc (AIVAM), ont signé jeudi 03 février au Sheraton Casablanca, une convention de partenariat relative à l'amélioration de la sécurité routière au profit des professionnels de la route et du grand public. Toujours dans le cadre de ses objectifs de démocratiser les éléments de sécurité active et passive, respecter les normes de pollution en harmonie avec la politique nationale de l'environnement ainsi que les diverses actions sociales qu'elle entreprend au profit de l'Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH). L'AIVAM, sous la direction de son président Mohamed Amal Guedira, a tenu à participer activement dans la réduction de la fréquence et la gravité des accidents de circulation routière, en collaborant avec le CNPAC.
Azzedine Chraïbi, secrétaire permanent du CNPAC, a exprimé l'immense joie que procure ce partenariat à l'ensemble du comité, collaboration qui traduit la volonté des deux partenaires à multiplier les actions et les initiatives pouvant réduire la fréquence et la gravité des accidents de circulation. Ce qui va de pair avec les missions et la stratégie du CNPAC, qui se traduisent, entre autres, par l'accompagnement et le suivi médiatiques de la politique de sécurité routière, la préparation et la réalisation des plans d'action d'information et d'éducation routières, la participation à l'effort de l'équipement des services de la sécurité routière en mettant à leur disposition les moyens matériels et en assurant leur formation à leur utilisation… «La stratégie du CNPAC est de divulguer la politique du gouvernement en matière de sécurité routière à l'opinion publique et acquérir son adhésion aux efforts entrepris par un changement de comportement sur la route», a signalé Azzedine Chraïbi. De son côté Mohamed Amal Guedira, a bien précisé que: «Le CNPAC, est un partenaire dynamique pour approfondir nos engagements de sécurité routière, en appuyant des actions de sensibilisation et de prévention au profit des usagers de la route en tant qu'association citoyenne, luttant conjointement contre les causes des défaillances techniques source d'accidents et l'accompagnement du nouveau code de la route sur son volet technique». C'est dans cette perspective que les deux nouveaux partenaires, ont lancé la première campagne conjointe sous le thème: « Sensibilisation sur les dangers de l'utilisation des pièces contrefaites». Campagne qui se prolongera du 04 février au 10 mars, s'appuyant sur un dispositif mobilisant les métiers de radio, presse et affichage, ainsi qu'en élaborant des actions de distribution de supports de sensibilisation dans les principales artères des villes à parcs automobiles importants. Elle sera surtout, l'occasion pour procéder à la distribution de 160.000 bons pour «Diagnostic technique gratuit» des véhicules, au niveau de 8 grandes villes du Royaume, chez les concessionnaires de l'AIVAM et leurs agents agréés qui participent à cette opération.
Cette campagne de sensibilisation s'inscrit dans le cadre du danger que représentent l'augmentation constante du phénomène de la contrefaçon et les conséquences désastreuses qui en résultent. «Dans l'industrie automobile, la part des pièces de rechange contrefaites est estimée, au Maroc, atteindre entre 20% et 30%», a affirmé Mohamed Amal Guedira. Qui a particulièrement insisté sur les méfaits des pièces contrefaites sur la sécurité des conducteurs et l'économie nationale : «La contrefaçon des pièces de rechanges est une menace pour la sécurité du consommateur, une dégradation et un non respect des conditions de travail. Mais aussi, un risque pour l'économie, une atteinte à l'innovation, à l'originalité, aux métiers, à la propriété intellectuelle et aux marques et à leurs images», a-t-il certifié.
Les deux entités ne comptent pas arrêter leur partenariat à cette campagne de sensibilisation sur les dangers des pièces de rechange contrefaites, ils ont assuré avoir l'intention de mener d'autres actions sur ce thème, en étroite collaboration avec toutes les institutions des secteurs public et privé contribuant à la lutte contre la reproduction et la circulation des produits contrefaits et frauduleux. Tout en œuvrant pour mettre en place une réglementation plus stricte relative à la distribution des pièces de rechange contrefaites, créer un label qualité comprenant la délivrance d'un certificat de conformité pour les pièces de rechange, mettre en place de campagnes de sensibilisation des consommateurs aux risques des pièces contrefaites et se concerter avec les importateurs pour une mise à niveau des prix des pièces de rechange, dans le but d'être plus compétitifs sur le marché.
Azzedine Chraïbi, secrétaire permanent du CNPAC, a exprimé l'immense joie que procure ce partenariat à l'ensemble du comité, collaboration qui traduit la volonté des deux partenaires à multiplier les actions et les initiatives pouvant réduire la fréquence et la gravité des accidents de circulation. Ce qui va de pair avec les missions et la stratégie du CNPAC, qui se traduisent, entre autres, par l'accompagnement et le suivi médiatiques de la politique de sécurité routière, la préparation et la réalisation des plans d'action d'information et d'éducation routières, la participation à l'effort de l'équipement des services de la sécurité routière en mettant à leur disposition les moyens matériels et en assurant leur formation à leur utilisation… «La stratégie du CNPAC est de divulguer la politique du gouvernement en matière de sécurité routière à l'opinion publique et acquérir son adhésion aux efforts entrepris par un changement de comportement sur la route», a signalé Azzedine Chraïbi. De son côté Mohamed Amal Guedira, a bien précisé que: «Le CNPAC, est un partenaire dynamique pour approfondir nos engagements de sécurité routière, en appuyant des actions de sensibilisation et de prévention au profit des usagers de la route en tant qu'association citoyenne, luttant conjointement contre les causes des défaillances techniques source d'accidents et l'accompagnement du nouveau code de la route sur son volet technique». C'est dans cette perspective que les deux nouveaux partenaires, ont lancé la première campagne conjointe sous le thème: « Sensibilisation sur les dangers de l'utilisation des pièces contrefaites». Campagne qui se prolongera du 04 février au 10 mars, s'appuyant sur un dispositif mobilisant les métiers de radio, presse et affichage, ainsi qu'en élaborant des actions de distribution de supports de sensibilisation dans les principales artères des villes à parcs automobiles importants. Elle sera surtout, l'occasion pour procéder à la distribution de 160.000 bons pour «Diagnostic technique gratuit» des véhicules, au niveau de 8 grandes villes du Royaume, chez les concessionnaires de l'AIVAM et leurs agents agréés qui participent à cette opération.
Cette campagne de sensibilisation s'inscrit dans le cadre du danger que représentent l'augmentation constante du phénomène de la contrefaçon et les conséquences désastreuses qui en résultent. «Dans l'industrie automobile, la part des pièces de rechange contrefaites est estimée, au Maroc, atteindre entre 20% et 30%», a affirmé Mohamed Amal Guedira. Qui a particulièrement insisté sur les méfaits des pièces contrefaites sur la sécurité des conducteurs et l'économie nationale : «La contrefaçon des pièces de rechanges est une menace pour la sécurité du consommateur, une dégradation et un non respect des conditions de travail. Mais aussi, un risque pour l'économie, une atteinte à l'innovation, à l'originalité, aux métiers, à la propriété intellectuelle et aux marques et à leurs images», a-t-il certifié.
Pièces de rechange
Tout en mettant l'accent sur les avantages et toutes les garanties qu'offre l'achat d'une pièce de rechange chez les concessionnaires eux-mêmes, à savoir, une garantie des concessionnaires, des pièces d'origine et une main d'œuvre qualifiée, les pièces de rechange proposées obéissent à des cahiers des charges exigeants et elles font l'objet de tests et de crash-tests rigoureux.Les deux entités ne comptent pas arrêter leur partenariat à cette campagne de sensibilisation sur les dangers des pièces de rechange contrefaites, ils ont assuré avoir l'intention de mener d'autres actions sur ce thème, en étroite collaboration avec toutes les institutions des secteurs public et privé contribuant à la lutte contre la reproduction et la circulation des produits contrefaits et frauduleux. Tout en œuvrant pour mettre en place une réglementation plus stricte relative à la distribution des pièces de rechange contrefaites, créer un label qualité comprenant la délivrance d'un certificat de conformité pour les pièces de rechange, mettre en place de campagnes de sensibilisation des consommateurs aux risques des pièces contrefaites et se concerter avec les importateurs pour une mise à niveau des prix des pièces de rechange, dans le but d'être plus compétitifs sur le marché.
