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La dynamique de la coopération entre le Maroc et la France dans le domaine de l'investissement a été, mercredi à Rabat, au centre des entretiens d'une délégation parlementaire française conduite par le président du groupe d'amitié franco-marocaine à l'Assemblée nationale, Jean Roatta, avec de hauts responsables au ministère de l'Economie et des finances.
Les deux parties se sont félicitées, à cette occasion, de l'excellence des relations franco-marocaines et de la coopération qu'entretiennent les deux pays dans divers domaines dont celui de l'investissement, rappelant, à cet égard, que la France est le premier investisseur étranger au Maroc, avec près de 40 % du volume des investissements étrangers au Maroc durant les cinq dernières années.
Les deux parties ont également souligné que cette dynamique s'est renforcée par la réalisation, par la France, de nouveaux grands projets notamment dans les domaines ferroviaire, d'infrastructures logistiques, de l'offshoring et de l'industrie automobile.
Elles ont en particulier insisté sur la nécessité d'échanger et de renforcer la cadence des visites pour consolider davantage la coopération bilatérale dans divers domaines d'intérêt commun.
Lors de cette réunion, les parlementaires français et les responsables du ministère de l'Economie et des finances ont également évoqué plusieurs sujets relatifs notamment aux effets de la crise internationale sur la croissance économique au Maroc, à la lutte contre la pauvreté et le chômage, et à l'adéquation de la formation au marché de l'emploi, ainsi que la question des bourses d'études en France.
Les discussions ont porté en outre sur le statut avancé du Maroc avec l'Union européenne, la question de la francophonie et le rôle de la diaspora marocaine en France.
Les deux parties se sont félicitées, à cette occasion, de l'excellence des relations franco-marocaines et de la coopération qu'entretiennent les deux pays dans divers domaines dont celui de l'investissement, rappelant, à cet égard, que la France est le premier investisseur étranger au Maroc, avec près de 40 % du volume des investissements étrangers au Maroc durant les cinq dernières années.
Les deux parties ont également souligné que cette dynamique s'est renforcée par la réalisation, par la France, de nouveaux grands projets notamment dans les domaines ferroviaire, d'infrastructures logistiques, de l'offshoring et de l'industrie automobile.
Elles ont en particulier insisté sur la nécessité d'échanger et de renforcer la cadence des visites pour consolider davantage la coopération bilatérale dans divers domaines d'intérêt commun.
Lors de cette réunion, les parlementaires français et les responsables du ministère de l'Economie et des finances ont également évoqué plusieurs sujets relatifs notamment aux effets de la crise internationale sur la croissance économique au Maroc, à la lutte contre la pauvreté et le chômage, et à l'adéquation de la formation au marché de l'emploi, ainsi que la question des bourses d'études en France.
Les discussions ont porté en outre sur le statut avancé du Maroc avec l'Union européenne, la question de la francophonie et le rôle de la diaspora marocaine en France.
