C'est devant son public au stade Frédéric Kibassa Maliba que le TP Mazembe défendra son titre de Super coupe, samedi prochain, à Lubumbashi. Lors de la dernière édition, les Congolais ont battu le Stade Malien chez lui. Et pour confirmer leur force, ils ont montré au monde entier un football africain de haute facture lorsqu'ils ont atteint la finale de la Coupe du monde des clubs champions en décembre dernier.
Son futur rival, le FUS de Rabat, a remporté la coupe de la CAF et la Coupe du Trône. Aujourd'hui, après l'euphorie de sacres, les protégés de Houcine Ammouta espèrent retrouver leur combativité. Depuis la victoire sur le WAC, lors de la 10e journée du championnat national, le FUS affiche de par la succession des rencontres, un bilan mi-figue mi-raisin. Sur ses sept dernières rencontres, le club rbati n'a, en effet, enregistré qu'une seule petite victoire sur la lan¬terne rouge le Chabab Kasbat Tadla, contre deux défaites face à l'AS FAR et au Kawkab de Marrakech et quatre nuls, dont deux blancs, avec le bilan maigre de trois réalisations. Le mercato d'hiver l'a privé de certains de ses éléments clé, notamment le défenseur Abdelfettah Boukhris parti au club belge de Standard de Liège, Ayoub El Khaliqi, qui a atterri au WAC, et l'attaquant Daniel Monshari, prêté au Koweït pour six mois. Pour combler ces vides, le FUS a recruté deux milieux de terrain,Tahar Doghmi et Hamid Boujar, le défenseur Youssef Abbouda et l'attaquant Abderrahmane Saidi.
Après une trêve de presque un mois entrecoupée par le Challenger espoirs, le Fath dis¬putera une rencontre histori¬que. Il porte la lourde respon-sabilité de réitérer l'exploit unique en son genre à l'échelle nationale du Raja de Casablanca. Mohamed Benchrifa, le capitaine de l'équipe, est très confiant, en dépit de la notoriété de l'adversaire. «C'est une rencontre unique où tout se jouera dans les 90 minutes. Nous sommes prêts mentalement pour affronter les vice-champions du monde. Nous avons souhaité que TP Mazembe batte l'Inter de Milan pour que notre victoire soit encore plus précieuse.
L'équipe dispose de grands attaquants, comme Ngando Kasungo et Given Singuluma, convoités par des club anglais, mais le club n'a pas voulu les céder pour garder sa force», souligne Benchrifa. Prévue le 29 janvier prochain, la finale de la Super coupe sera un véritable choc. Les Congolais qui avaient battu le Stade Malien en finale lors de la précédente édition auront à coeur de rééditer leur exploit.
De son côté, le FUS, qui avait créé la sensation en battant en finale de la Coupe de la CAF, le CS Sfaxien, va tenter d'être à la hauteur des ambitions du public marocain.
Notons que depuis sa création en 1993, ce titre n'a été gagné par un vainqueur de la coupe de la CAF qu'à deux reprises. Ces deux exceptions se sont toutes les deux produites au désavantage d'équipes marocaines, notamment le Raja face aux Tunisiens de l'Etoile du Sahel en 1998 et le Wydad devant les Ivoiriens d'Africa Sports en 1993. Les Verts restent la seule équipe marocaine à avoir remporté la Supercoupe. C'était en 2000.
Son futur rival, le FUS de Rabat, a remporté la coupe de la CAF et la Coupe du Trône. Aujourd'hui, après l'euphorie de sacres, les protégés de Houcine Ammouta espèrent retrouver leur combativité. Depuis la victoire sur le WAC, lors de la 10e journée du championnat national, le FUS affiche de par la succession des rencontres, un bilan mi-figue mi-raisin. Sur ses sept dernières rencontres, le club rbati n'a, en effet, enregistré qu'une seule petite victoire sur la lan¬terne rouge le Chabab Kasbat Tadla, contre deux défaites face à l'AS FAR et au Kawkab de Marrakech et quatre nuls, dont deux blancs, avec le bilan maigre de trois réalisations. Le mercato d'hiver l'a privé de certains de ses éléments clé, notamment le défenseur Abdelfettah Boukhris parti au club belge de Standard de Liège, Ayoub El Khaliqi, qui a atterri au WAC, et l'attaquant Daniel Monshari, prêté au Koweït pour six mois. Pour combler ces vides, le FUS a recruté deux milieux de terrain,Tahar Doghmi et Hamid Boujar, le défenseur Youssef Abbouda et l'attaquant Abderrahmane Saidi.
Après une trêve de presque un mois entrecoupée par le Challenger espoirs, le Fath dis¬putera une rencontre histori¬que. Il porte la lourde respon-sabilité de réitérer l'exploit unique en son genre à l'échelle nationale du Raja de Casablanca. Mohamed Benchrifa, le capitaine de l'équipe, est très confiant, en dépit de la notoriété de l'adversaire. «C'est une rencontre unique où tout se jouera dans les 90 minutes. Nous sommes prêts mentalement pour affronter les vice-champions du monde. Nous avons souhaité que TP Mazembe batte l'Inter de Milan pour que notre victoire soit encore plus précieuse.
L'équipe dispose de grands attaquants, comme Ngando Kasungo et Given Singuluma, convoités par des club anglais, mais le club n'a pas voulu les céder pour garder sa force», souligne Benchrifa. Prévue le 29 janvier prochain, la finale de la Super coupe sera un véritable choc. Les Congolais qui avaient battu le Stade Malien en finale lors de la précédente édition auront à coeur de rééditer leur exploit.
De son côté, le FUS, qui avait créé la sensation en battant en finale de la Coupe de la CAF, le CS Sfaxien, va tenter d'être à la hauteur des ambitions du public marocain.
Notons que depuis sa création en 1993, ce titre n'a été gagné par un vainqueur de la coupe de la CAF qu'à deux reprises. Ces deux exceptions se sont toutes les deux produites au désavantage d'équipes marocaines, notamment le Raja face aux Tunisiens de l'Etoile du Sahel en 1998 et le Wydad devant les Ivoiriens d'Africa Sports en 1993. Les Verts restent la seule équipe marocaine à avoir remporté la Supercoupe. C'était en 2000.