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Des structures performantes d’accueil pour l’insertion des jeunes

Nul doute que le nombre grandissant en matière de création d’établissements dédiés à la formation et l’insertion socio-professionnelle des jeunes illustre l’intérêt sans cesse témoigné en faveur de la jeunesse marocaine, véritable moteur de la vie socio-économique et porteuse des espérances pour un demain meilleur.

Des structures performantes d’accueil  pour l’insertion des jeunes
Sa Majesté le Roi Mohammed VI pose la première pierre d'un Complexe socioculturel pour l'insertion des jeunes

D’où l’importance de tels établissements qui permettent aux jeunes de mieux capitaliser leurs potentialités pour une insertion garantie dans le marché de l’emploi et contribuent également à leur épanouissement dans divers domaines de la création comme c’est le cas du complexe socio-culturel pour l’insertion des jeunes dont les travaux ont été lancés, ce vendredi à Casablanca, par S.M. le Roi Mohammed VI.

Un établissement de plus qui témoigne de la Haute sollicitude dont le Souverain a toujours entouré les jeunes aux fins de les prémunir contre toutes les formes de précarité et d’exclusion sociale dans le milieu urbain comme dans les campagnes. Une manière aussi de les inciter à prendre part à la dynamique socio-économique que connaît le Royaume. Ce complexe socio-culturel qui sera réalisé grâce aux fonds alloués par la Fondation Mohammed V pour la solidarité, en partenariat avec l’Initiative nationale du développement humain (INDH) et l’Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail (OFPPT), vient ainsi renforcer la capacité des autres établissements de même vocation déjà implantés dans la métropole. Des structures performantes qui offrent aux jeunes l’opportunité de développer leur savoir-faire et de faciliter, après coup, leur insertion dans le marché de l’emploi. La mission de ses établissements qui ne cessent de se multiplier, grâce aux efforts de la Fondation Mohammed V pour la solidarité, ne se confine pas seulement sur ce registre puisqu’ils contribuent aussi à développer la fibre sociale chez les jeunes en les poussant à s’impliquer dans le travail associatif. Ils développent également chez eux des vocations dans divers registres de la création culturelle et artistique, notamment dans le domaine des arts plastiques, le théâtre ou encore la musique.

À cela s’ajoutent diverses autres formations, particulièrement dans les domaines de l’informatique, l’infographie et l’apprentissage des langues vivantes, en plus de l’accompagnement et de l’encadrement des jeunes porteurs de projets. Multiples et ciblées, les missions de ces établissements concernent également la protection des jeunes, surtout ceux qui vivent dans les zones précarisées, contre les dérives et toutes les formes d’addiction à la drogue.

C’est dire l’importance des complexes socio-culturels qui consolident ainsi le rôle joué auparavant par les maisons de jeunes implantées un peu partout dans le Royaume et fréquentées par pas moins de 6 millions de jeunes. Des établissements qui étoffent également l’offre assurée par les centres socio-sportifs de proximité, lesquels, de création toute récente, se proposent de promouvoir les potentialités et l’aptitude sportive des jeunes. Toutes ces missions dévolues aux complexes socio-culturels s’inscrivent dans le droit fil de la philosophie de l’INDH qui a permis d’impulser une nouvelle dynamique en permettant la réalisation d’innombrables projets socio-économiques et culturels en faveur surtout des populations précarisées, selon une approche participative guidée par la bonne gouvernance.

Ainsi et grâce aux nombreuses structures socio-culturelles dédiées à la promotion des capacités des jeunes, le Maroc est devenu un modèle en matière de développement humain. Un pays où la solidarité a toujours été ce lien fort qui unit tous les Marocains. 

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