«La diplomatie des peuples : faire face aux nouveaux défis», tel est le thème de la première conférence régionale de
«Sister Cities Africa», une organisation qui vise à développer des partenariats entre les villes africaines et américaines. Des représentants de l'Afrique du Nord, de l'Est et de l'Ouest, des États-Unis d'Amérique, ainsi que des académiciens, des diplomates et des représentants de la Ligue des États arabes ont ensemble discuté du jumelage entre métropoles, ses avantages, ses objectifs et surtout des mécanismes pour assurer sa pérennité.
Les différents protagonistes ont ainsi convenu que «le but essentiel du jumelage entre les villes est la création de sociétés équilibrées basées sur la solidarité et la justice sociale».
Pour eux, la diplomatie des peuples est le cadre idéal pour l'échange du dialogue, des cultures et des expériences constructives pour accompagner le changement radical que connaît la région arabe et africaine. Ainsi, le citoyen doit être préparé afin qu'il puisse participer à la démocratisation des sociétés.
Pour ce faire, les associations responsables du jumelage devraient s'activer dans différents domaines à savoir la culture, la jeunesse, la participation de la femme, l'enseignement, le sport, la musique, l'échange d'étudiants, ainsi que l'octroi de bourses scolaires et la coopération économique, etc.
Les participants à cette première conférence ont également recommandé la mise en valeur de l'importance de l'utilité publique dans l'opération de jumelage des villes. «Les acteurs principaux de chaque opération de jumelage sont les élus, les autorités locales, les établissements publics, les organisations non gouvernementales, la société civile, le secteur privé et les sponsors (dans le cadre la collaboration contractuelle), ainsi que les associations des diasporas résidant à étranger», ont-ils souligné. Et de préciser qu'il faut créer une base de données des organisations, institutions, conseils et individus œuvrant dans le domaine du jumelage.
L'ensemble de ces acteurs s'activera à soutenir le développement local. «Notre mission est de promouvoir les échanges culturels et économiques, et consolider les relations bilatérales et multilatérales entre des populations américaines et africaines. Notre vision est de créer une plateforme solide en Afrique visant à encourager des jumelages et des partenariats entre les villes africaines, d'une part, et entre les villes africaines et américaines, d'autre part, dans le but de réduire le fossé entre le Nord et le Sud et de faire connaître et apprécier la culture de l'autre », affirme Boubker Mazoz, président et fondateur de «Sister Cities Africa».
À ce propos, les différents intervenants à cette première conférence ont souligné l'importance de création d'un network comprenant les différents acteurs et intervenants dans le domaine du jumelage pour avoir un espace de dialogue visant à la construction d'une plateforme de communication entre eux. Ce procédé est à même de rentabiliser les accords de jumelage entre villes lesquels se multiplient au cours des années. Il ne s'agit, donc, plus de signer un partenariat et le laisser lettres mortes, mais il faudrait désormais y impliquer toutes les composantes de la société à travers le renforcement de la culture du bénévolat, du volontariat et de la citoyenneté, ainsi que les valeurs de la coexistence, l'acceptation d'autrui, la tolérance et la compréhension.
Afin de permettre à tout le monde de bénéficier des accords signés entre les métropoles, les participants à la Conférence de «Sister Cities Africa » ont insisté sur l'obligation de créer des mécanismes participatifs pour réussir le jumelage et assurer son suivi et sa pérennité. La mise en œuvre des différentes clauses de partenariats de jumelage, «Sister Cities Africa» en fait son cheval de bataille.
Selon Boubker Mazoz, l'organisation met actuellement en place un vaste réseau d'associations de jumelage entre les villes africaines, d'une part, et entre les villes africaines et américaines, d'autre part. Elle compte initier un certain nombre de programmes, tels que des partenariats entre des écoles et des universités, des échanges des jeunes et des séjours culturels en famille.
«Sister Cities Africa», une organisation qui vise à développer des partenariats entre les villes africaines et américaines. Des représentants de l'Afrique du Nord, de l'Est et de l'Ouest, des États-Unis d'Amérique, ainsi que des académiciens, des diplomates et des représentants de la Ligue des États arabes ont ensemble discuté du jumelage entre métropoles, ses avantages, ses objectifs et surtout des mécanismes pour assurer sa pérennité.
Les différents protagonistes ont ainsi convenu que «le but essentiel du jumelage entre les villes est la création de sociétés équilibrées basées sur la solidarité et la justice sociale».
Pour eux, la diplomatie des peuples est le cadre idéal pour l'échange du dialogue, des cultures et des expériences constructives pour accompagner le changement radical que connaît la région arabe et africaine. Ainsi, le citoyen doit être préparé afin qu'il puisse participer à la démocratisation des sociétés.
Pour ce faire, les associations responsables du jumelage devraient s'activer dans différents domaines à savoir la culture, la jeunesse, la participation de la femme, l'enseignement, le sport, la musique, l'échange d'étudiants, ainsi que l'octroi de bourses scolaires et la coopération économique, etc.
Les participants à cette première conférence ont également recommandé la mise en valeur de l'importance de l'utilité publique dans l'opération de jumelage des villes. «Les acteurs principaux de chaque opération de jumelage sont les élus, les autorités locales, les établissements publics, les organisations non gouvernementales, la société civile, le secteur privé et les sponsors (dans le cadre la collaboration contractuelle), ainsi que les associations des diasporas résidant à étranger», ont-ils souligné. Et de préciser qu'il faut créer une base de données des organisations, institutions, conseils et individus œuvrant dans le domaine du jumelage.
L'ensemble de ces acteurs s'activera à soutenir le développement local. «Notre mission est de promouvoir les échanges culturels et économiques, et consolider les relations bilatérales et multilatérales entre des populations américaines et africaines. Notre vision est de créer une plateforme solide en Afrique visant à encourager des jumelages et des partenariats entre les villes africaines, d'une part, et entre les villes africaines et américaines, d'autre part, dans le but de réduire le fossé entre le Nord et le Sud et de faire connaître et apprécier la culture de l'autre », affirme Boubker Mazoz, président et fondateur de «Sister Cities Africa».
À ce propos, les différents intervenants à cette première conférence ont souligné l'importance de création d'un network comprenant les différents acteurs et intervenants dans le domaine du jumelage pour avoir un espace de dialogue visant à la construction d'une plateforme de communication entre eux. Ce procédé est à même de rentabiliser les accords de jumelage entre villes lesquels se multiplient au cours des années. Il ne s'agit, donc, plus de signer un partenariat et le laisser lettres mortes, mais il faudrait désormais y impliquer toutes les composantes de la société à travers le renforcement de la culture du bénévolat, du volontariat et de la citoyenneté, ainsi que les valeurs de la coexistence, l'acceptation d'autrui, la tolérance et la compréhension.
Afin de permettre à tout le monde de bénéficier des accords signés entre les métropoles, les participants à la Conférence de «Sister Cities Africa » ont insisté sur l'obligation de créer des mécanismes participatifs pour réussir le jumelage et assurer son suivi et sa pérennité. La mise en œuvre des différentes clauses de partenariats de jumelage, «Sister Cities Africa» en fait son cheval de bataille.
Selon Boubker Mazoz, l'organisation met actuellement en place un vaste réseau d'associations de jumelage entre les villes africaines, d'une part, et entre les villes africaines et américaines, d'autre part. Elle compte initier un certain nombre de programmes, tels que des partenariats entre des écoles et des universités, des échanges des jeunes et des séjours culturels en famille.