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Le Brésil et l’Espagne partent favoris

Dans trois jours, le Brésil accueillera la Coupe des confédérations de la FIFA. Une compétition intercontinentale qui réunit le pays organisateur de la Coupe du monde, le tenant du titre, et les champions des six confédérations affiliées à l’instance internationale du football.

Le Brésil et l’Espagne partent favoris
La Seleçao pourra compter sur l’expérience de Fred (au milieu) et la fougue du duo composé de Neymar (à gauche) et Lucas Moura (à droite).

À une année de la Coupe du monde, le Brésil accueille, du 15 au 30 juin, la Coupe des confédérations.
Une compétition qui fait office de répétition générale avant le Mondial et qui réunit les champions des 6 confédérations affiliées à la FIFA, en plus du champion du monde en titre et du pays organisateur.
Ainsi, le Brésil, qui détient le record de titres en Coupe des confédérations avec 3 sacres (1997, 2005 et 2009), semble le premier favori à soulever le trophée sur son terrain et devant son public, avec la pléiade de stars qui composent la «Seleçao» avec à leur tête la nouvelle recrue du Barça, Neymar.

Le charismatique sélectionneur Felipe Scolari peut donc compter sur ses protégés pour remporter le titre. Aux côtés du pays hôte, la sélection espagnole, qui part en tant que favorite de la compétition, sur le même pied d’égalité que le Brésil. La «Roja» est championne du monde et d’Europe en titre, avec une constance et des statistiques ahurissantes. Là encore, grâce au travail d’un entraîneur qui ne manque pas de charisme (ni de moustaches), Vicente Del Bosque, et dont les schémas tactiques sont exécutés quasi parfaitement par les joueurs, qui ont fait de l’Espagne, jusque-là, une sélection redoutable, une grande nation du ballon rond.

Les champions continentaux et la bête noire

Outre ces deux grandes équipes, la Coupe des confédérations verra la participation des champions continentaux. Ainsi, le Nigeria (Afrique), le Japon (Asie), le Mexique (Amérique du nord et centrale), l’Uruguay (Amérique latine), Tahiti (Océanie) prendront part à cette coupe. En outre, l’Italie participera en tant que vice-champion d’Europe, la Squadra Azzurra ayant perdu en finale face à l’Espagne. Les Italiens pourraient jouer le trouble-fête, au même titre que l’Uruguay, véritable bête noire du Brésil qu’il a défait en 1950 en finale de la Coupe du monde.

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