Connexion
À quatre semaines de l’ouverture du Salon automobile de Genève, prévu du 6 au 16 mars prochain à Palexpo, le monde de l’automobile est sur les dents.
Les préparatifs pour cette grande messe internationale, où 250 exposants présenteront leurs dernières nouveautés et quelque 65 conférences de presse sont au programme des deux journées de presse précédant l’ouverture du salon au public, battent leur plein.
L’heure est aux constructeurs de stands, issus des métiers artistiques et techniques, qui montent les installations et les décors de cette cité éphémère qui accueillera plus de 700 000 visiteurs.
Dans quelques jours, pour réaliser la transformation des halles vides en salon de l’auto, décorateurs, menuisiers, peintres, serruriers, mécaniciens, électriciens, tapissiers… donneront le meilleur d’eux-mêmes. Une mini-armée montera et décorera plus d’un demi-million de mètres cubes de marchandises afin de mettre en valeur les produits exposés et de faire rêver les visiteurs.
Selon l’organisation, ce chantier suppose une organisation et une logistique très strictes, basées sur une répartition précise dans le temps pour chaque exposant de l’accès aux halles. «C’est à cette condition que la délicate opération de construction des décors de cette cité temporaire peut avoir lieu avec un maximum d’efficacité», lit-on dans le communiqué publié à cette occasion.
Dès la semaine prochaine, les internautes pourront suivre en direct sur le site du Salon de l’auto le montage de stands. Ceux-ci, comme chaque année, rivaliseront d’ingéniosité et de beauté pour présenter dans les meilleures conditions les nouveautés automobiles.
«Les constructeurs nous ont soumis des projets de stands exceptionnels. Je peux l’affirmer, cette édition du Salon sera magnifique !» s’enthousiasme, dans le communiqué, André Hefti, le directeur général du salon. «Un monde de rêves et de lumières destiné à mettre en valeur les nouvelles réalisations technologiques, économiques, écologiques, urbaines, esthétiques ou sportives du monde de l’automobile, se bâtit sous nos yeux».
