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Afin de doter les organisations non gouvernementales marocaines des outils technologiques dont elles ont besoin pour une productivité optimale et une meilleure proximité avec les populations cibles, Microsoft a offert, à titre gracieux, l'Office 365, un outil de travail et de collaboration, aux associations marocaines.
«Cet outil informatique va aider les ONG à jouer pleinement leur rôle d’acteur actif du développement social. En plus de leur faire gagner du temps, cette offre leur permet d’accéder aux outils professionnels de productivité et de collaboration de Microsoft, basés sur la technologie du Cloud. Les ONG, les associations et les organisations à but non lucratif peuvent ainsi se doter d’une messagerie gratuite et instantanée, des fonctionnalités de modification et de stockage de documents en ligne ainsi de la vidéoconférence pour travailler à distance.
Ces avantages, qui comptent parmi d'autres, leur permettent d’être plus efficaces et d’étendre davantage leurs programmes», souligne le géant informatique dans un communiqué. Et de poursuivre : «De nombreuses organisations ont d’ores et déjà adopté cet outil dans le cadre de notre programme “YouthSpark”, visant à soutenir les jeunes et les acteurs de la société civile, lancé l’année dernière. Les chiffres de l’étude réalisée par TechSoup Global sont révélateurs de l’efficacité de ce dispositif. En effet, les ONG soulignent que grâce à ces outils, elles ont une facilité d’utilisation à hauteur de 79%, une réduction des coûts allant jusqu’à 62% et une sécurité des données qui s’élève à 54%». Parmi les associations ayant profité de cet outil figure Injaz Al Maghrib.
«La solution Cloud Office 365 nous a permis de poursuivre notre expansion géographique à travers toutes les régions du Royaume tout en maintenant l'impact et la qualité de nos programmes. En effet, nos coordinateurs, d'Oujda à Laayoune, sont connectés en temps réel et en continu avec les métiers supports du siège, garantissant un meilleur partage de l'information et ainsi une plus grande réactivité sur le terrain», se réjouit Yassine Mseffer, directeur général de l’association.
