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La secrétaire d'État chargée de l'Eau, Charafat Afailal, a indiqué, en fin de semaine dernière, que «la Journée d'action pour l'eau est la confirmation de l’importance de l’eau dans l'Agenda de l'action climatique globale, lancé à Marrakech en 2016». La Journée de l'eau a été inscrite pour la première fois dans l'agenda de la COP à Marrakech l'année dernière. «C’est une opportunité pour poursuivre la mobilisation pour que l’eau continue à être au cœur des préoccupations de la communauté internationale et demeure une priorité des négociations sur le climat». Outre les États insulaires menacés par la montée des eaux, elle a fait remarquer que l’Afrique est le continent le plus affecté par le phénomène de pénurie, sous l’effet notamment de la sécheresse, avec tout ce que cela engendre en termes de conflits et de flux migratoires causant des désastres humanitaires.
D’où le lancement de l’initiative de «l’eau pour l’Afrique». Lors de cette journée, la majorité des plans climatiques nationaux avec une composante d'adaptation indique que le financement devrait tripler à 255 milliards d'euros par an pour atteindre les objectifs du développement durable.
