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Cousin du Seat Ateca avec lequel il partage la plateforme (MQB) et les portières, le Karoq, qui vient d’être dévoilé au Salon de Francfort, remplace le crossover Yeti dans la gamme Skoda.
S'inspirant logiquement du récent Kodiaq, le SUV 7 places de 4,70 m coiffant la gamme Skoda, il est bien fini. Son intérieur bénéficie d'une planche de bord spécifique qui peut recevoir, pour les niveaux de finitions les plus
élevés, un combiné d'instruments à affichage numérique de 12,3 pouces.
L’originalité du Karoq se cache à l'arrière, avec la banquette dite VarioFlex proposée en option. Segmentée selon les proportions 40/20/40, elle permet d'accueillir 3 passagers sur de courtes distances ou, plus confortablement, de rabattre le dossier de la place centrale en un large accoudoir tandis que les sièges latéraux montés sur glissières laissent arbitrer entre espace aux jambes et volume de coffre.
Celui-ci peut ainsi être modulé de 479 à 588 litres, ou même jusqu'à 1.810 litres en démontant les sièges arrière, qui deviennent amovibles avec l'option VarioFlex. Fidèle au slogan «Simply Clever» de la marque, le Karoq innove sur le plan pratique avec en option un crochet d'attelage rétractable électriquement.
Sous le capot, le Karoq laisse le choix entre 4 moteurs, deux essence 1.0 et 1.5 TSI de 116 et 150 ch et deux diesel 1.6 et 2.0 TDI de 116 et 150 ch. Chaque moteur est proposé au choix avec une boîte manuelle 6 rapports ou une robotisée double embrayage 7 rapports. Enfin, le 2.0 TDI est systématiquement conjugué avec une transmission aux 4 roues.
