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Le Maroc a fait des droits de l’Homme un choix stratégique

Le Maroc, sous la conduite de S.M. le Roi Mohammed VI, a fait de la protection des droits de l’Homme l’un des piliers de la dynamique de réforme globale ainsi qu’un choix stratégique, y compris dans sa diplomatie et ses relations avec ses partenaires. Les provinces du Sud s’inscrivent également dans cette dynamique, au même titre que le reste des régions du Royaume.

Le Maroc a fait des droits de l’Homme un choix stratégique
S.M. le Roi Mohammed VI a reçu, mardi 17 octobre à Rabat, Horst Köhler nouvel envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies pour le Sahara

Le Maroc, sous la conduite de S.M. le Roi Mohammed VI, a fait de la protection des droits de l’Homme l’un des piliers de la dynamique de réforme globale dans laquelle il s’est inscrit depuis des années. Dans son oral devant le Conseil des droits de l’Homme (CDH) à Genève, le ministre d’État en charge des Droits de l’Homme, Mustapha Ramid, avait mis en avant les différentes avancées en la matière, enregistrées notamment au niveau des régions sud du Maroc. Dans ce sens, le responsable avait souligné que le processus de consolidation de l’édifice démocratique se poursuit avec une large adhésion de la population des provinces du Sud lors des différentes échéances électorales nationales et locales ainsi qu’au niveau des organes élus. L’ancien ministre de la Justice et des libertés avait également mis en relief l’importance des missions des institutions nationales des droits de l’Homme, particulièrement le Conseil national des droits de l’Homme, dont le rôle a été plusieurs fois salué par le Conseil de 
sécurité.
S’impliquant activement dans les efforts de développement déployés au plan local, la population des provinces du Sud adhère au «nouveau modèle de développement dans la région, en ligne avec le processus de régionalisation avancée qui a été consacré par la Constitution 2011», avait assuré M. Ramid. En recevant, Horst Köhler nouvel envoyé personnel du Secrétaire général des Nations unies pour le Sahara, le mardi 17 octobre à Rabat, les hauts responsables marocains ont réaffirmé l’engagement du Royaume en faveur d’une solution politique, consensuelle et négociée sur la base de l’initiative marocaine d’autonomie, qualifiée par le Conseil de sécurité de «sérieuse et crédible».
Avançant à pas sûrs vers le développement économique et social, le Royaume fait souvent objet d’attaques, notamment de la part des voisins algériens, sur la question des droits de l’Homme. L’une des plus récentes avait eu lieu à la fin du mois dernier au siège de l’ONU à New York et a avorté, comme d’habitude, grâce à la vigilance de la diplomatie marocaine. En effet, prenant part à une réunion au siège de l’ONU, le représentant de la délégation algérienne avait tenté de nouveau d’instrumentaliser la question des droits de l’Homme au Sahara marocain pour nuire aux intérêts suprêmes du pays.

Tentant de s’attaquer à l’un des événements des plus glorieux, à savoir la Marche verte, le représentant de l’Algérie avait proféré des contre-vérités fallacieuses auxquelles la diplomatie marocaine a été obligée de réagir. Dans ce sens, le chef de la délégation marocaine a rappelé à l’audience le caractère glorieux, pacifique et historique de la Marche verte, à travers laquelle le Maroc a récupéré ses provinces du Sud. Ensuite, il a exposé devant les membres des Nations unies le calvaire des populations de Tindouf en Algérie, qui ne sont nullement des réfugiés, mais bien des séquestrés.

La 72e session de la quatrième Commission de l’Assemblée générale de l’ONU a été marquée par des pétitions ayant mis à nu les violations des droits de l’Homme dans les camps de Tindouf et le détournement par les dirigeants du Polisario des aides humanitaires destinées aux populations séquestrées dans ce territoire algérien, et mis en avant la pertinence du plan d’autonomie sous souveraineté marocaine pour résoudre définitivement le conflit autour du Sahara marocain. Pour rappel, la 72e session de la quatrième Commission de l’Assemblée générale de l’ONU a été marquée par des pétitions ayant mis à nu les violations des droits de l’Homme dans les camps de Tindouf et le détournement par les dirigeants du Polisario des aides humanitaires destinées aux populations séquestrées dans ce territoire algérien. La session onusienne avait été également marquée par des témoignages éloquents sur le développement, la prospérité et la protection des droits des citoyens dans les provinces du Sud. Experts et représentants de la société civile, marocains et étrangers, avaient mis en exergue les principales avancées en matière des droits de l’Homme dans cette partie du Royaume. 

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