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Saïd Zarrou : Le projet de sauvegarde et de valorisation de la Baie de Cocody est devenu «une réalité» grâce à la vision commune et éclairée de S.M. le Roi et du Président ivoirien

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Le projet de sauvegarde et de valorisation de la Baie de Cocody a pris corps pour devenir «une réalité», et ce grâce à la vision commune et éclairée de S.M. le Roi Mohammed VI et du Président ivoirien, S.E.M. Alassane Ouattara, a souligné, lundi à Abidjan, le président du directoire de Marchica Med, Saïd Zarrou. «Le chantier s'est complètement transformé, car on est à l’achèvement de la première phase.

Ce qui est très important aujourd’hui, c’est que tout un chacun des Ivoiriens constate de visu ce changement», s’est félicité M. Zarrou dans une déclaration à la presse, en marge de la cérémonie de présentation de l’état d’avancement de ce projet devant S.M. le Roi et le Président ivoirien. «Pour la seconde phase de ce projet, nous avons déjà réalisé toutes les études requises, qui seront dans les jours à venir mises à la disposition des entreprises privées marocaines et ivoiriennes désireuses de s’associer à la concrétisation de ce chantier symbole d'une Côte d’Ivoire émergente», a-t-il dit. Et de faire observer que, dès le lancement de ce projet, les Instructions de S.M. le Roi étaient claires : «il s’agit d’assister nos amis Ivoiriens pour que cette lagune, qui connaît un taux de pollution très élevé, puisse connaitre le même sort que celui de Marchica au Maroc», a-t-il rappelé. Ce gigantesque chantier illustre parfaitement le modèle de coopération Sud-Sud prôné par le Royaume, une coopération basée sur le partage d’expérience et d’expertise selon la logique gagnant-gagnant, a poursuivi M. Zarrou, notant que l’achèvement des travaux du projet est prévu pour fin 2020.

M. Zarrou a, par ailleurs, donné un aperçu sur le montage financier de ce projet, à commencer par l’engagement de la Société ivoirienne de banque (SIB), filiale d’Attijariwafa bank, qui a financé un crédit-relais pour le démarrage des travaux, notant que l’étude menée par la suite a permis de conclure que le projet dans son intégralité nécessiterait quelque 450 millions de dollars. 

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