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Selon la Division de l’action sociale à la préfecture d’Aousserd, ces projets ont été réalisés dans le cadre de partenariats conclus avec des associations, des coopératives, des conseils élus, des services extérieurs et l’Agence du Sud.
Ils s’inscrivent dans le cadre des programmes de lutte contre l’exclusion sociale en milieu urbain, de lutte contre la précarité et la marginalisation, outre le programme transversal, de renforcement des infrastructures et de mise à niveau des compétences locales.
S’agissant du programme de lutte contre l’exclusion sociale en milieu urbain, il a été procédé à la programmation de 193 projets pour un montant d’environ 39,178 millions de DH, dont 31,8 millions financés par l’INDH.
Ces projets sont destinés à renforcer l’accès des habitants des quartiers ciblés aux services et équipements sociaux de base, à dynamiser le tissu économique et à appuyer l’animation sociale, culturelle et sportive, ainsi que le renforcement de la gouvernance et des compétences locales.
Concernant le programme de lutte contre la précarité et la marginalisation qui vise notamment la réintégration familiale et socioprofessionnelle des personnes en situation de précarité, l’amélioration des prestations qui leur sont fournies et la construction de centres d’accueil répondant à leurs besoins, un budget de près de 11,362 millions de DH, financé entièrement par l’INDH, a été consacré à la réalisation de 17 projets. Pour ce qui est du programme transversal, il a porté sur la réalisation de 580 projets avec un montant d'environ 70,831 millions de DH, dont 38 millions financés par l’INDH.
La même source souligne que depuis le lancement par S.M. le Roi Mohammed VI de l’INDH en 2005, les différents acteurs locaux dans la province d’Aousserd se sont mobilisés pour la concrétisation des objectifs de ce chantier social important à travers l’instauration des bases d’un développement économique et social équilibré et l’adoption d’une approche s’appuyant sur le principe de participation, de planification stratégique, de transparence et de
gouvernance. Pour ce faire, la commission provinciale du développement humain a adopté des plans d’action appropriés et ambitieux visant la réalisation des projets socio-économiques, la consolidation des infrastructures de base, la mise à niveau et la construction de centres sociaux et de santé, la contribution à l’animation sociale, culturelle et sportive et le développement des activités génératrices de revenus, en plus du renforcement des capacités locales et la formation.
