Connexion
L’Algérie ou encore l’Égypte qui espéraient enrôler Hervé Renard devront faire une croix sur le technicien français. Ce dernier a mis les choses au clair en assurant, mardi via un tweet, qu’il n’ira pas pour une autre nation africaine au cas où il quitterait le Maroc. Les nations qui espéraient l’enrôler devront aller chercher ailleurs. «Certaines personnes évoquent mon avenir dans les médias afin de semer le trouble dans l’esprit des Marocains et s’il est encore un peu trop tôt pour savoir de quoi sera fait cet avenir, une chose est certaine : par respect pour le Maroc et tous les Marocains, je ne partirai en aucun cas pour une autre nation africaine, quelle qu’elle soit», a-t-il écrit sur son compte Twitter.
Une précision claire et nette qui ne devrait pas plaire à ceux qui l’ont approché. Toutefois, le Français a maintenu le flou sur son avenir en refusant de dire s’il reste ou s'il part. Probablement, il attend de s’entretenir avec Fouzi Lekjaa, président de la FRMF, avant de prendre sa décision. En cas de départ du Maroc, Renard a de fortes chances de rebondir au Japon. D’après nos informations, la Fédération japonaise de football a approché le sélectionneur national avant la Coupe du monde, mais ce serait resté sans suite. Le profil de Renard plait au pays du Soleil levant qui cherche un entraîneur meneur d’hommes. Un profil diamétralement opposé à celui de Vahid Halilodzic, connu pour sa rigueur tactique.
