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L’œuvre «Min El Jalia» pour célébrer la Marche verte

À l’occasion de la Fête de la Marche verte du 6 novembre, l’artiste-peintre Harwan Red offre à voir, au Théâtre national Mohammed V à Rabat, du 3 au 11 novembre, une magnifique collection de ses peintures auxquelles est associée, exceptionnellement, une œuvre d’art imposante, un portrait de S.M. le Roi, créée et produite avec le précieux soutien de son partenaire Mustapha Ouaich.

L’œuvre «Min El Jalia» pour célébrer la Marche verte
Le portrait de S.M. le Roi a été créé et produit avec le précieux soutien de Mustapha Ouaich. Ph. Kartouch

L’artiste Harwan Red n’arrête pas de nous surprendre avec des prestations grandioses qu’il réalise un peu partout dans le monde. Cette fois-ci, c’est la Fête du 6 novembre qu’il a tenu à célébrer, au Maroc, en dédiant à Sa Majesté le Roi Mohammed VI une œuvre monumentale on ne peut plus originale, représentant le Souverain et dont la dimension est évaluée à 70 m². Baptisée «Min El Jalia», cette composition de plusieurs tableaux laisse apparaître le visage du Roi Mohammed VI.
«Cette œuvre que j’ai réalisée, avec le soutien de Mustapha Ouaich est un message fort pour nous, en tant que membres de la diaspora marocaine, de montrer notre amour et notre attachement à notre Roi et notre pays. Puis, pour dire que même en vivant ailleurs, nous n’oublions jamais notre patrie», souligne l’artiste Harwan Red.

Cela n’est pas étonnant de la part de cet artiste qui a toujours œuvré pour la mise en valeur et la visibilité positive du Maroc à travers le monde entier. Ses multiples actions le prouvent largement. Les plus récentes en date ne sont autres que son exposition à l’espace «The Royals», au réputé quartier Beverly Hills de Los Angeles, qui fut une belle opportunité pour Harwan pour exposer son travail devant une élite du public américain. Sans oublier ses prestations dans des musées et galeries prestigieuses. Ce qui lui a valu de nombreuses distinctions, comme la médaille de mérite parrainée par l’Unesco, le Prix du mérite à Bruxelles, le Prix Michel Angelo à Bruges et le Prix Europa ARTE à Paris. Puis des titres de reconnaissance dans divers autres pays comme la Chine, l’Italie, les États-Unis.
Toutefois, plusieurs expositions l’attendent encore prochainement au Musée de Bruges (Belgique) aux côtés des œuvres d’Andy Warhol et d’autres grands maîtres de la peinture et dans d’autres pays où il est sollicité par des espaces de notoriété. «Tout ce qui m’arrive ces dernières années était un rêve autrefois, que je vois en train de se réaliser. C’est le fruit d’un travail acharné et d’une persévérance constante. Car, malgré les hauts et les bas, je n'ai jamais cessé de croire en mon art et ma créativité», précise Harwan qui avoue que ces multiples reconnaissances l’encouragent à aller de l’avant pour mériter le respect des artistes et des professionnels. Rappelons que Harwan n’est pas uniquement un peintre. Il a aussi confirmé son don pour la réalisation de courts métrages qui furent couronnés par l’octroi du «Golden Artistic Awards» à Bruxelles (Belgique) du meilleur réalisateur et un «Prix d’honneur» qui lui ont été remis par le maire, au Brukmer film festival. Par ailleurs, l’écriture reste également pour Harwan un moyen pour s’exprimer et raconter ses expériences dans la vie. Il a publié, à cet effet, l’ouvrage «L'art thérapie, l'opportunité d'une seconde vie» qu’il a déjà présenté dans certaines villes, expliquant son expérience de thérapie par l’art. 

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