Menu
Search
Mercredi 24 Avril 2024
S'abonner
close
Mercredi 24 Avril 2024
Menu
Search
Accueil next Économie

Dar Al Amane lance le produit «Mourabaha Li-Naql»

Dar Al Amane lance le produit «Mourabaha Li-Naql»
Dar Al Amane offre d’autres produits de financement et d’investissement notamment «Al mourabaha», selon Marouan El Malki, responsable partenariat et coopération du groupe.

La fenêtre participative de Société Générale «Dar Al Amane» a lancé mercredi dernier lors d’une rencontre à Rabat un nouveau produit baptisé «Mourabaha Li-Naql». «L’objectif de cette rencontre est de présenter les principes du financement participatif à nos partenaires commerciaux. C’est aussi une occasion pour expliquer tous les détails relatifs à “Mourabaha Li-Naql”, deuxième produit participatif de la banque après “Mourabaha Al Amane Lil-Akar”», explique Ahlam Bennis, responsable marketing à Dar Al Amane. «Notre banque se caractérise par ses offres compétitives ainsi que sa rapidité dans le traitement des projets clients. Dar Al Amane représente la fenêtre participative de Société Générale et fait partie des premiers établissements bancaires qui ont ouvert leurs bureaux au Maroc après l’obtention de l’agrément de BAM en mai 2017», ajoute-t-elle.
En outre, la responsable marketing a souligné que Dar Al Amane a lancé son activité participative par la présentation d’un ensemble de produits innovants destinés aux particuliers, professionnels et entreprises. Objectif : offrir de nouveaux moyens de financement notamment la nouvelle génération des cartes bancaires, les chéquiers et les applications électroniques.
À l’occasion de cette rencontre, le responsable partenariat et coopération à Dar Al Amane Marouan El Malki a expliqué que la banque offre d’autres produits de financement et d’investissement notamment «Al Mourabaha». Celle-ci consiste à acheter un bien et le revendre au client selon un contrat agréé par le Conseil supérieur des Ouléma (CSO). Pour sa part, Abdelkrim Laayouni, chargé des études au secrétariat général du ministère des Habous et des affaires islamiques a insisté sur le fait que les banques participatives n’acceptent pas dans leurs opérations bancaires «Riba», car il considère que l’argent n’est pas une marchandise qui s’achète et se vend. 

Lisez nos e-Papers