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Le PDG de Cosumar optimiste quant à l’avenir du secteur de l’agroalimentaire

Invité hier de l’émission «L’Info en Face», le président-directeur général du groupe Cosumar s’est exprimé sur nombre de questions qui font l’actualité : facture électronique, commerce, climat économique… Également président de la Fédération nationale de l'agroalimentaire, Mohamed Fikrat, s’est montré plutôt optimiste quant à l’avenir du secteur de l’agroalimentaire.

Invité de l’émission «L’Info en Face» diffusée par «Matin première», le président-directeur général du groupe Cosumar et président de la Fédération nationale de l'agroalimentaire (Fenagri), Mohamed Fikrat, a apporté son éclairage sur plusieurs questions d’actualité. Au micro de Rachid Hallaouy, il s’est exprimé sur nombre de sujets. Interpellé sur la question de la facture électronique, qui a fait débat ces derniers jours, le responsable a rappelé que la question de l’identifiant commun de l'entreprise (ICE) et celle de la facturation électronique ont en effet suscité de fortes inquiétudes chez certains opérateurs économiques, notamment ceux actifs dans le secteur du commerce. Il y a eu quelque part une incompréhension des dispositions légales par rapport à ces deux questions, car la plupart de ceux qui ont protesté croyaient être concernés par la nouvelle procédure, a souligné M. Fikrat. «La Dirction générale des impôts et le ministère du Commerce ont mené une campagne de sensibilisation afin d’apporter plus de précisions sur ces questions», toujours selon le président de la Fenagri. Revenant sur le potentiel du secteur de l’agroalimentaire, M. Fikrat s’est dit optimiste en ce qui concerne l’année 2019. Les dernières pluies et les potentialités que représente le secteur sont derrière cette position. Plus en détail, le président de la Fédération nationale de l'agroalimentaire a mis en avant les avancées réalisées dans le cadre du Plan Maroc vert, qui a donné un coup de fouet à la production dans plusieurs secteurs. Selon lui, l’agroalimentaire représente aujourd’hui 4% du PIB du Maroc. Un chiffre qui reste très faible au moment où on peut prétendre à 10% du PIB, a-t-il estimé. 

 

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